Aventure Rocambolesque
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je mappelle Christine, jai vingt un ans, je pense être une belle femme vu le nombre de courtisans que jaie quand je sors en boite. Mais ça ne mintéressait pas trop, je préfère les femmes, Je suis esthéticienne et mon métier me permet de faire des conquêtes. Avec certaines de mes clientes ce ne sont que des petits plaisirs dans la cabine, vite oubliés jusquau mois suivant. Avec dautres cest beaucoup plus compliqué. Quand je suis en couple je nai pas de préférences, jaime autan donner du plaisir quen recevoir. Et pourtant il mest arrivé des aventures complètement folles. Cest depuis ma dernière histoire que les hommes ne me laissent plus indifférente.
Il y a presque un an. Je vivais avec Marie, une très belle fille. Elle était très virile et se comportait en male dominateur. Moi qui avais toujours vécue seule dans mon appartement, je me suis retrouvé sa présence imposée dés le premier mois. Le soir, elle me demandait de lui raconter mes journées et quand je recevais certaines de mes clientes avec lesquelles nous avions quelques relations amoureuses, elle devenait très jalouse et pour me punir de mon infidélité, elle me faisait jouir a en crever. Grace a elle je passais mes soirées à râler de plaisir sous ses caresses, cétais merveilleux, a tel point que javais de plus en plus de mal à assurer correctement mon travail dans la journée. A part ça, jétais très bien avec elle. Un jour, je ne sais pas ce qui lui a pris, après mavoir donné un orgasme merveilleux, elle ma dit
- Tu sais, on est très bien ensemble, jaimerais que tu me fasses un .
Je suis restée toute bête.
- Oui, je taime bien mais je ne peux pas te donner un , tu na pas ce quil faut.
- Tu es très belle je suis sure que tu trouveras un donneur si tu nen trouve pas, moi, je le choisirais.
- Tu veux que je couche avec un homme pour me faire mettre enceinte ?
- Oui, cest le seul moyen davoir un ensemble.
- Mais je naime pas les hommes.
- Cest juste pour une nuit. Si tu veux, je serais avec toi, et je taiderais à supporter ce moment. Ce quil faut cest quun homme te féconde pour que nous puissions avoir notre .
Moi qui ne voulais pas mengager pleinement avec une partenaire jétais servie. Me faire faire un par un homme, quelle idée saugrenue. Je lui ai demandé
- Tu as déjà couché avec un homme toi ?
- Oui, quand jétais jeune, très jeune même, je me suis faite violer par des hommes. Cest depuis ce jour que je préfère les femmes. Avec elles je me sens beaucoup mieux.
- Ah bon, et comment ça se passe avec les hommes, moi, je ne sais pas, jai toujours été avec des filles depuis lécole.
- Ah bon, tu es vierge alors ?
- Non, je me suis fait dépuceler dans le dortoir par une copine.
- Comment elle a fait ça ?
- Jétais en pension religieuse, nous étions en chambrées de six filles, nous nous câlinions tous les soirs après avoir jouis on dors beaucoup mieux, un soir, lune dentre nous a sortie une grosse bougie et en nous expliquant quon aurais davantage de plaisir en sen servant, elle nous a dépucelé toutes les cinq et cest vrai, nous avons très bien jouis avec sa bougie. Voila, cest tout.
- Et bien moi, ce nest pas pareil, je nai pas eut autan de chance que toi.
- Et tu ne pourrais pas le porter, toi, notre futur ?
- Il nest pas question quun homme me retouche, jai trop souffert a cause deux et puis ce sera moi le père et on na jamais vu un père porter sa progéniture. Cest le rôle de la mère donc ton rôle.
- Mais je naime pas les hommes !
- Tu maimes à moi ?
- Oui, je taime.
- Alors par amour pour moi tu feras ce que je te demande.
- Je ne sais pas si je pourrais.
- Tu le feras, je te le demande et même je te lordonne.
Après mavoir dit ça elle sest remise à me caresser et a membrasser tendrement. Elle ma encore fait jouir très fort.
Les jours ont passé, elle ne me parlait plus de sa lubie et je trouvais ça très bien puis un soir elle est entrée avec un homme, cétais un beau male, grand, fort, le visage bien bronzé et barbu. Devant mon air interrogateur elle a fait les présentations :
- Ma copine Christine, un collègue de travail Marc. Je lai invité à prendre lapéro pour voir si tu lui plais.
- Pourquoi je devrais lui plaire ?
- Si tu lui plais, il pourra te féconder.
- Jai le droit de donner mon avis ?
- Non, je lai décidé ainsi. Je tai laissé trois semaines pour me ramener un reproducteur potentiel, tu nen a rien fait, maintenant cest moi qui prends les choses en main. Apporte nous a boire vite.
Je nen revenais pas. Ils sont partis au salon et se sont installé me laissant tout préparer à la cuisine doù jécoutais leur conversation.
- Elle est belle Christine ?
- Oui, très belle.
- Tu veux la baiser ?
- Jai rien contre, un tel canon ce nest pas tous les jours que je peu men taper, ma femme à coté, cest un petit boudin.
- Tu as combien ds ?
- Huit pourquoi ?
- Pour savoir si tu es un bon reproducteur, ta femme aime avoir beaucoup ds cest pour ça quelle ne se protège pas.
- Non, elle a essayé de se protéger mais comme elle ne peut pas prendre la pilule a cause dun problème hormonal, nous avons essayé le retrait et mon troisième gosse est arrivé après ça, elle a testée plusieurs trucs différents comme le diaphragme et ce fut mon quatrième marmot, le gel spermicide et le cinquième a vu le jour, ensuite la cape vaginale et jai eut mon sixième et jen passe, a chaque fois quelle essaye un nouveau truc, elle se retrouve en cloque.
- Mais si vous ne les voulez pas, elle peu avorter.
- Ah non, elle ne veut surtout pas, sa religion lui interdit.
- Et les capotes alors ?
- Jaime pas trop et jai quand même eut mes deux premiers gosses a cause des préservatifs qui ont éclaté alors tu sais, le seul moyen quelle à trouvé cest labstinence et la moi, ça ne me plaie pas du tout.
Ils se sont tu quand je suis entré dans la pièce avec mon plateau. Puis je me suis assise et Marie a fait le service. Je voyais son copain qui narrêtait pas de me regarder sen devenais gênant. Puis dun coup il a lancé
- Cest quand que je dois la baiser ta copine ?
- Quand tu veux mais a partir du moment où tu commence il va falloir que tu la tire tous les jours pendant au moins une semaine pour que ça puisse marcher.
- Super, je vais adorer ça.
Ils parlaient ensemble comme si je nexistais pas. Ça ma mise hors de moi.
- Jai peut être mon mot à dire dans votre histoire non ?
Marie ma regardée méchamment puis ma dit sur un ton très autoritaire que je ne lui connaissais pas
- Non, tu na rien à dire, tu na quune chose à faire, cest ce que je te demande, cest tout.
Son copain a demandé
- Elle a déjà connu des hommes
- Non, jamais, elle na été quavec des femmes pourquoi ?
- Elle doit être pucelle et moi, jai un gros membre, je risque de la blesser.
- Non, elle nest plus vierge, elle sest fait sauter la pastille par une de ses copines pendant quelle était a lécole.
Il sest levé, approché de moi et sest mis à me caresser doucement la poitrine. Jétais paralysée, je nosais rien faire ni rien dire, je me contentais de le laisser faire en réprimant mon dégout. Il a déboutonné mon chemisier puis dégrafé mon soutien gorge. Il sest un peu éloigné et ma regardé.
- Elle est vraiment magnifique, dommage quelle soit lesbienne.
- Ne te plain pas tu va pouvoir la baiser.
- Oui, cest vrai, demande lui de se foutre complètement a poil que je puisse la contempler.
Marie me la demandé sur un ton très autoritaire :
- Quand je te demande un truc, cest tout de suite, pas demain, a poil vite.
Jai obéis. Une fois nue elle ma faite tourner sur moi-même pour que son copain puisse bien me reluquer. Javais limpression dêtre une bête de foire à lexposition avant labattage.
Au bout dun moment, elle sest approchée de moi et pour me remercier de mon obéissance elle sest mise à me caresser tendrement. Jéprouvais beaucoup de plaisir sous ses caresses, elle ma tirée sur le canapé et sest mise à me lécher le sexe. Cétait tellement bon que jen oubliais même son copain qui se rinçait lil en nous regardant faire. Au bout dun moment elle est remontée sur moi et ma embrassé goulument en me caressant la poitrine et en même temps, jai senti une autre bouche laper mon jus intime. Jai complètement décollé.
Alors que jétais en partie comateuse suite à lorgasme qui mavait submergé, elle sest levée, sest déshabillée puis est passée sur moi en collant son minou sur ma bouche.
De ses mains elle me caressait doucement le ventre et javais toujours cette autre bouche qui se délectait de mon jus, je suis repartie dans la course au plaisir. Au bout dun petit moment je lai sentie me trafiquer le minou et un truc énorme est entré en moi. Mon plaisir a complètement décollé, cétais merveilleux, jamais je navais eut de telles sensations. Ce truc buttais tout au fond de mon sexe et a chaque butée javais comme un spasme de plaisir qui menvahissait. Ça na pas duré très longtemps, assez rapidement jai senti comme une brulure au fond de mon ventre, Marc venais de jouir en moi, je sentais pour la première fois de ma vie le jus dun homme menvahir. Cétais merveilleux, je jouissais comme jamais. Quand jai refait surface, Marc était dans le fauteuil et buvait un verre en souriant. Marie ma demandé :
- Alors tu as aimé ce petit câlin.
Je narrivais pas à trouver mes mots, ça avait été si bon. Devant mon silence elle a ajouté
- A voir ton expression tu as bien aimé ça, et bien rassure toi, tu va y avoir droit pendant une semaine tous les soirs. Tu es daccord maintenant ?
- Oh oui !!, mais pourquoi, juste une semaine, jaimerais faire ça tous les soirs, tout le temps, jaimerais même recommencer tout de suite, cest tellement bon.
- Une semaine cest le temps que javais prévu pour être sure que tu sois fécondée mais si tu désire plus longtemps, ça ne dépends pas de moi mais de Marc, cest lui qui décide comme pour recommencer maintenant, moi, je suis fatiguée et je vais partir me coucher mai si tu le désire je pense que Marc naura rien contre lidée de te baiser une nouvelle fois.
De me voir copuler avec ce géant barbu ma fait froid dans le dos et jai tout de suite répondue
- Moi aussi je suis fatiguée, raccompagne ton copain et partons nous coucher.
Je suis partie la première dans la chambre, en marchant, je sentais un truc visqueux qui dégoulinais de mon minou le long de mes jambes, je suis partie me laver a la salle deau. Quand Marie est revenue, jétais encore sous la douche. En me voyant elle sest mise à crier
- Il ne faut pas te laver tout de suite, tu va détruire nos chances davoir un bébé.
- Mais je ne peux pas rester comme ça, cest dégoutant, il y a plein de foutre qui sort de mon minou, je vais tacher les draps.
- Sort de la douche et viens me rejoindre au lit.
Je me suis exécuté. Dans le lit elle a tout de suite foncée sur mon sexe pour voir sil restait un peu de sperme en moi. Comme je métais bien nettoyé avec la douchette il nen restait plus et elle sest mise en colère.
- Si tu enlève tout son jus, tout de suite tu ne tomberas pas enceinte, il te faut tout garder en toi le plus longtemps possible pour être sure que ça marche. Demain je lui demanderais de te baiser deux fois de manière à ce que tu en ais un maximum au fond du ventre et je tinterdis de te laver.
- Mais je vais tacher les draps en me couchant.
- Ce nest pas grave on les lavera.
- Vien me faire un câlin.
- Non, je suis fatiguée, on dort.
Le lendemain après une journée tout à fait normale, je suis rentrée à la maison Marie et Marc étaient déjà la et buvaient un verre en discutant. Après mon arrivée, Marc sest levé, ma attrapé par la taille et ma embrassée goulument, jai dabord eut envie de le repousser puis son baiser fougueux ma faite changer davis. Je lai laissé faire. Il ma déshabillée en me caressant doucement, cétais très agréable. Quand jai été nue, il a dégrafe son pantalon, ma attrapé aux hanche et ma soulevée puis empalée sur son truc. Le plaisir ma envahie tout de suite, il a un peu marché et jai cri é le premier orgasme qui ma envahie, il ma couchée sur le canapé et sest mis à me pilonner fortement. Cétais merveilleux je passais dun orgasme a un autre sans discontinuer puis ça a été lapothéose quand il a éjaculé au fond de mon ventre, la, cétais tellement fort que je suis tombée dans les pommes. A mon réveil, il était encore en moi et continuait ses aller et venue au plus profond de mon minou. Chaque fois quil replongeait, je sentais tout le sperme de sa précédente éjaculation fuser au plus profonds de mon ventre. Le gargouillement de ce foutre dans mon utérus et dans mes trompes ma fait a nouveau avoir un orgasme merveilleux qui a provoqué une sorte de spasme de mon vagin ce qui a déclenché chez lui une nouvelle décharge colossale, javais limpression quon avait ouvert un robinet dans mon ventre et que je me remplissais a grands jets de son jus. Il semblait ne plus sarrêter de jouir, cétais fantastique. Nous sommes tombés tous les deux dans une sorte de coma jouissif.
Longtemps après jai refait surface, il était toujours sur moi complètement avachi. Marie est venue maider pour le pousser et me permettre de me relever.
- Alors, ça va bien ? je ne te manque pas trop a ce que je vois, il y a plus de trois heures que tu crie ton plaisir en copulant avec cet homme, je comprends maintenant, tu étais lesbienne par-ce-que tu navais jamais connu dhommes pas vrai ?
- Non, cest faut, je taime toi, lui, il me fait énormément jouir cest vrai mais je le fais pour toi cest tout, ne sois pas jalouse comme ça. Je pense quavec tout le jus quil a mis en moi, tu laura vite ton bébé, cest sur.
Elle a regardée mon minou doù séchappais doucement des filets de sperme qui dégoulinaient le long de mes cuisses elle sest précipité sur moi ma e a me coucher, ma relevé les jambes et a repoussé tout le jus qui sortait dans mon minou en disant
- Il ne faut pas en perdre une goutte pour que ça marche.
- Ne taffole pas, il ma complètement remplie, il men a mis des litres.
- Non, il faut tout garder en toi.
De ses mains elle remontait le sperme de me jambes et le renfonçait en moi. Ses doigts qui entraient et ressortaient de mon minou ont fait à nouveau naitre en moi un plaisir subtil, je me suis mise à gémir. Elle a plaqué sa main sur mon sexe et ma amenée au lit en disant
- On le laisse la, il dort bien, viens te coucher avec moi, je vais empêcher son jus de sortir de toi.
Nous nous sommes couchées elle a gardé sa main plaquée a mon minou toute la nuit.
Il ma baisé tous les soirs, pendant toute la semaine. Le dernier soir Marie a dit à son copain
- Cest bon maintenant, elle doit avoir pris, ce nest pas la peine de continuer. Je tappellerais si jai encore besoin de toi merci beaucoup pour le service.
- Cest moi qui te remercie, grâce à vous jai passé une semaine de rêve. A bientôt, jespère.
Après ce dernier jour, je ressentais comme un manque. Bien sur javais du plaisir et même beaucoup de plaisir avec Marie mais il me manquait quand même un truc. Je me suis surprise à regarder les hommes dans la rue en essayant de découvrir la taille de leur sexe. Les jours ont passé et mes règles sont arrivées comme tous les mois. Marie était désespérée, elle était presque sure que jallais me retrouver enceinte. Elle ma emmenée chez le gynécologue pour faire un contrôle complet et savoir si oui ou non, je pourrais avoir des s. A la réponse du médecin elle a décidé de recommencer mais ce coup ci ce serais pendant tout le mois quil me baiserait.
Jai eut droit a un mois délicieux, elle avait choisi trois hommes différents pour éviter les pannes, ils se relayaient, un jour un le lendemain un autre ainsi de suite. Je croie que je nai jamais autan jouis de ma vie a tel point que après la première semaine, jai du fermer mon institut. Je navais plus la force de travailler. Je passais mes journées à dormir et mes nuits à jouir et à engranger du foutre.
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