A L'Hôtel
Je vais essayer de raconter non seulement plusieurs épisodes de notre vie sexuelle, mais aussi l'ambiance
Y arriverai-je ? Essayons toujours.
Nous avons pris l'habitude avec mon épouse Viviane de prendre une chambre d'hôtel pour être tranquille. Il faut dire qu'à la maison avec les s, la proximité ne nous permettait que des élans amoureux silencieux et ma chérie aimait bien exprimer sa jouissance. Non pas des hurlements, sinon les voisins auraient déjà appelé la police plusieurs fois. Mais des petits cris, des expressions verbales d'amour, bref, comme tous les couples
Du moins c'est ce que je pense, je ne connais que mon couple.
Nous commencions toujours par une douche amoureuse sous laquelle je la savonnais de partout, insistant sur ses seins lourds et assez gros, elle fait un bonnet D. Elle aimait cette caresse et au bout de quelques années de mariage, nous avons découvert qu'elle jouissait rien qu'en lui caressant les tétons. Alors immanquablement, en préliminaire, soit sous la douche soit au lit, je commençais toujours par m'occuper de ses seins, elle les a très sensibles avec de belles et larges aréoles brunes. Ses tétons s'allongeaient du double quand elle était excitée. Je les suçais, les lui pinçais, pas trop fort, mais assez fermement quand-même et quand elle jouissait alors là, soit je les lui mordillais soit je les pinçais plus fort allant même jusqu'à les lui étirer. Puis comme sa jouissance était souvent longue, entrecoupée de gémissements et de "hmmm oh oui continues
", je les caressais en prenant ses globes entre les mains, ses tétons entre mes doigts et je les léchais d'une langue délicate. Ce que j'aimais beaucoup c'était de sentir ses tétons durcir dans la paume de mes mains, puis de prendre ses seins par en dessous pendant que je les pinçais, là je sentais ses glandes mammaires se gonfler, ses seins devenaient lourds et fermes
Un vrai régal pour moi et pour elle aussi.
Puis je la caressais de partout, de mes doigts, je la couvrais de baisers sur le ventre, les bras, les jambes, même ses pieds, mais pas trop car elle est très chatouilleuse.
Après un peu de repos, je la pénétrais et je jouissais dans son sexe. Les positions variaient peu soit à la missionnaire soit elle me chevauchait ce qui me permettais de m'occuper de ses seins que j'aimais bien caresser.
Voilà comment ça se passait. Nous étions satisfaits de cela et nous y prenions beaucoup de plaisir avec beaucoup d'amour et de tendresse.
Mais au bout d'un certain temps, nous étions obligés de constater qu'il manquait la flamme du début. Nous en avons parlé et nous ne savions pas que faire. Puis j'ai eu l'idée de lui proposer de s'habiller avec des sous-vêtements un peu sexy. Cela eut l'effet de nous émoustiller considérablement. Elle se prenait au jeu et prenait des poses un peu maladroites mais qu'elle voulait osées. Moi ça me convenait, j'aimais bien voir sa poitrine et ses fesses gainées de satin et de dentelle. Elle y prit tellement goût qu'elle en acheta de plusieurs couleurs et formes.
Notre scénario changea beaucoup, avant la douche je la caressais et la déshabillais, nous nous excitions comme des gamins qui se découvraient sexuellement. Je la complimentais et elle gloussait de plaisir à chacune de mes paroles. Je remarquais qu'elle avait des sécrétions vaginales plus abondantes.
Puis il y eu la fameuse guêpière noire avec les bas résilles noir. Une étape de plus venait d'être franchie. Elle était sublime dedans, sa peau blanche ressortait en contraste avec le noir. Sa poitrine semblait plus volumineuse et ses aréoles dépassaient des bonnets, je pense que si elle avait levé les bras ses tétons seraient sortis tout seuls. Et quand elle se retourna, j'eus un coup au cur, enfin façon de parler, c'était mon sexe qui réagit brutalement par une érection immédiate.
Je me suis approché d'elle et me mis derrière elle en mettant mes mains sur ses seins, je me collais contre son dos et mon sexe dur se mit entre ses fesses.
- Tu sens l'effet que tu me fais ?
- Hmmm ben dis donc ça va être ma fête tout à l'heure.
Je ne la reconnaissais pas, jamais elle aurait tenu de pareil propos, elle si retenue, si prude
- Pas tout à l'heure, tout de suite
Et je la poussais contre le mur de la chambre, elle prit appui sur le mur les mains à plat, les seins collés dessus, ce qui eut pour effet de la faire se cambrer. J'écartais ses jambes avec les miennes et prenant mon sexe d'une main je le glissais contre le sien et d'une main fébrile et impatiente je cherchais à la pénétrer. Elle glissa une main entre ses jambes et m'aida à m'introduire en elle. Elle était toute mouillée, sans préliminaire elle était déjà prête à me recevoir. Je m'enfonçais en elle d'un coup, jusqu'au fond.
- Oh oui ! Plus fort ! Oh, que c'est bon !...
Elle cambrait ses reins prenant appui des deux mains sur le mur et moi la prenant aux hanches. Je la prenais de toute la longueur de mon sexe, m'enfonçant le plus possible. Elle soupirait, je la sentais mouiller comme jamais, elle donnait des coups de reins vers l'arrière comme pour mieux me recevoir.
- Oh mon chéri, je te sens bien. Je te sens jusqu'au fond du ventre. C'est terrible... Oh oui
Vas-y ! Prends-moi à fond !
Ce n'est pas possible, ce n'est pas elle qui a dit ça
et pourtant si
Et je donnais encore plus d'amplitude à ma pénétration. Ce fut elle qui jouit la première dans une série de cris de fond de gorge. Je ne la reconnaissais pas. Jamais elle n'avait joui aussi fort. Mais je n'étais pas au bout de mes surprises, loin de là.
à suivre
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