Le Beau Skieur De Maud Devient Son Photographe

On se souvient que, avec mon accord, Maud avait passé l’après-midi entre les bras de son beau skieur, pendant que j’étais au cinéma. Le soir, dans le lit, elle m’avait tout raconté, me faisant bander comme un dingue. Le lendemain matin, nous nous sommes retrouvés tous les trois au petit déjeuner. J’ai appris qu’il s’appelait Antoine. Il a fait une bise à ma femme sur le front, puis est allé chercher son café et son plateau. J’ai rapidement dit deux mots à Maud.
« Tu sais, je me demande bien quelle contenance prendre face à lui. Il sait que je suis au courant de tout, tu lui as dit hier que je t’avais donné la permission de faire l’amour avec lui. Alors, on ne va pas faire semblant, lui et moi, d’ignorer la chose !
- Laisse venir, mon chéri. Tu sais que j’ai envie de lui, je sais que ça t’excite, et lui, il a envie de moi. On est d’accord tous les trois, non ?
- Vous allez remettre ça aujourd’hui ?
- Il voudrait bien, moi aussi. »
Antoine revenait avec son plateau. Sur le programme de la journée, nous sommes tous les trois tombés d’accord pour marquer une petite pause dans nos activités sportives et passer une journée relaxe. Cinéma ? Promenade ? Lèche-vitrine ? Antoine était photographe et proposa de faire un album « Maud ».

« Ton épouse est photogénique. Je t’offre une série de photos qu’on pourrait réaliser ce matin. »
Il précisa qu’il me donnerait la carte SD de son appareil et que je pourrais ainsi voir les photos sur mon ordi et en faire des tirages sur papier.
« Des photos… des photos coquines ? ai-je demandé.
- Des photos de charme. Elle est charmante, Maud. »
Pendant la première partie de la matinée, nous nous sommes promenés sur les sentiers enneigés. Antoine a fait de multiples prises de vue de mon épouse, chaudement vêtue, riant aux éclats, puis légèrement dévêtue, puis les seins nus, adossée à un mélèze. Au loin, d’autres promeneurs nous regardaient. Maud n’en semblait pas gênée, le photographe non plus et moi, j’en étais excité.


Antoine a proposé des photos « plus intimes », mais pour cela, il fallait rentrer.
« Tu es d’accord pour des prises de vue plus déshabillées ? Totalement même ? Tu sais, pour moi, c’est de la routine. »
Notre chambre, plus grande que celle d’Antoine, servit de studio. Sur les conseils du photographe, Maud dut choisir ce qu’elle avait de plus sexy dans sa lingerie.
« Le mari veut-il assister à la séance ? Ce n’est pas obligatoire. »
Je mourais d’envie de voir ma femme se dénuder devant Antoine et exhiber son corps à l’objectif. Je voulais aussi le voir, lui, le deviner plein de désir pour Maud et l’entendre lui donner des ordres pour la pose.
« Qu’est-ce que tu préfères, Maud, que je reste ?
- Comme tu veux, mon chéri. »
Ainsi, elle aurait accepté d’être seule avec lui, comme la veille pendant tout l’après midi. Cela m’excita beaucoup. J’étais partagé entre le désir de les voir et le plaisir malsain d’aller me promener seul, de bander dans mon coin en m’imaginant ce qu’ils ne manqueraient pas de faire. Je suis finalement resté, persuadé que Maud aurait d’autres occasions de se donner à lui en toute intimité et de m’en faire ensuite le récit détaillé, si excitant pour moi.
D’une prise de vue à l’autre, Maud changeait de lingerie selon les indications d’Antoine. Sauf au début, elle ne prenait même pas la précaution de se dissimuler un peu en retirant une culotte pour en passer une autre, laissant voir la très légère pilosité, bien taillée et bien entretenue qui entourait les lèvres de son sexe. Antoine lui donnait des ordres précis.
« Seins nus, maintenant. Tu gardes ta culotte, tu resserres les cuisses. Bien, Maintenant tu les écartes… encore... mieux que ça ! »
La culotte n’était qu’une dentelle transparente laissant deviner le brun de sa touffe. Puis Maud dut se présenter entièrement nue, rester debout, s’allonger sur le dos, sur le ventre, le sexe dissimulé par un genou replié, puis les cuisses largement ouvertes, de façon obscène.
Je ne sais pas si Antoine bandait, moi oui. Il en vint à demander à Maud si elle acceptait de poser pour une photo « à la limite ». Il expliqua qu’elle devait se mettre à genoux sur le lit, penchée en avant, la tête enfouie dans l’oreiller, les fesses relevées et les genoux écartés.
« Maud, il faut que tu t’ouvres au maximum et que tu relèves bien les fesses. On doit voir ton sexe et ton anus. »
La prise de vue dura un bon moment. En bon technicien, Antoine s’approchait pour corriger une posture, touchant l’épaule, le genou, le creux du dos ou les fesses de son modèle pour les relever encore et bien faire apparaître le sexe et l’anus.
« Les lèvres ouvertes, ce serait mieux, » chuchota-t-il.
Il se dirigea à nouveau vers le lit, posa son appareil et, utilisant les doigts des deux mains, il les plongea dans le sexe de Maud pour en écarter les lèvres qui demeurèrent entrebâillées de façon obscène. Ses doigts étaient mouillés et il les essuya sur les poils bruns qui cernaient les lèvres, leur conférant le brillant que seule la mouille d’une femme est capable de produire.
A la fin de la séance, je me suis rapproché de ma femme pour lui susurrer des compliments et l’embrasser sur la bouche.
« Tu as été très bien. Tu as envie de lui ? »
Elle cligna des yeux pour me dire oui. Alors je me suis adressé au photographe.
« Maud semble avoir besoin de tes services, comme hier après midi. Tu préfères que je me retire ? Dans ce cas, nous nous retrouverons au restaurant.
- Tu peux rester.
- Et toi, ma chérie, que préfères-tu ?
- Reste avec nous ».

Je suis resté et j’ai vu ma femme se donner à quelqu’un qu’elle désirait follement. Antoine était aussi bon baiseur que bon photographe. Un beau mec, bien taillé, le sexe vertical comme me l’avait dit Maud la veille dans notre lit. Il a su la faire jouir comme jamais, après l’avoir fait gémir par les intrusions de sa langue entre les lèvres de son sexe et sur son clito.
Fou d’excitation, je regardais ma femme rendre hommage à une verge dressée qu’elle promenait sur ses joues et son front et qu’elle engloutissait avec gourmandise dans la bouche, après avoir sucé le gland comme un cornet de glace.
Ils ont joui en même temps, se regardant dans les yeux.

Le photographe a regagné sa chambre. Avec Maud, nous avons fait une toilette avant le restaurant. Accroupie dans la baignoire, Maud se lavait entre les cuisses. Je l’ai regardée, elle m’a souri. Elle s’est redressée et m’a attiré vers elle, a abaissé mon pantalon et mon slip que j’avais abondamment mouillé. Ma verge a jailli, le gland décalotté, luisant de mouille. Elle a doucement massé mon gland.
« Mon grand chéri… »
Puis elle m’a tourné le dos, s’inclinant en avant pour me présenter son sexe en s’écartant les fesses à deux mains. J’y ai plongé ma verge et je n’ai pas tardé à y décharger de puissantes giclées, dans une extrême jouissance.

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