La Deuxième Vie De Sabrina
Cette histoire, vieille de 5 ans, est tirée de faits réels. Nétant pas lun des protagonistes mais un futur amant de Sabrina (3 ans après ces événements), jai tenté de reconsti ce qui changea la vie de la belle Sabrina. Je me suis « appuyé » sur ce quelle ma dit et sur les révélations que me fit mon ami Louis. Si par hasard, Sabrina (ce nest pas son vrai prénom) lisait ces lignes, je serais heureux quelle me donne son avis !!!!
A 32 ans, Sabrina était lheureuse maman dun garçon de 6 ans et dune fille de bientôt 3 ans. Mariée avec son amour de jeunesse et seul amant de sa vie, elle se pensait heureuse. José, son mari, en bon français dorigine portugaise, jumelait deux cultures si proches sans toujours bien discerner les incohérences et les manques générés
Cétait un excellent mari et un très bon père. Son éducation Judéo-chrétienne convenait à Sabrina, dautant mieux quelle navait aucun repère dissonant. Bref, comme le lui disait souvent son amie Christine, Sabrina aimait José sans savoir si elle naurait pas été mieux avec un autre homme. Mais Christine était le diable en jupon. Mariée, elle baisait avec des tas de mecs et se comportait comme ce que Sabrina considérait être une salope. Elle adorait Christine, mais sa sexualité lui paraissait abjecte
Depuis quelques semaines, Sabrina vivait une réorganisation de la société pour laquelle elle travaillait. Cétait même une sorte de révolution. On venait de lui annoncer que le nouveau directeur du site serait Louis. Elle le connaissait parfaitement. Cétait lui qui lavait recruté et qui lui avait appris tout ce quelle savait de son travail ! Une sorte de père, pour elle, bienveillant et protecteur. Il avait quitté le site 6 ans plus tôt, non sans avoir couché avec une bonne partie des femmes, dont Christine. Cela avait valu des railleries de la part de cette dernière à une Sabrina, qui navait pas reçu davances de la part de Louis. Intimement, Sabrina avait été vexée de cette apparente indifférence manifestée par Louis.
Bref, Sabrina était passablement sur les nerfs. Les autres femmes du site la regardaient de travers et Louis nétant pas encore en fonction, elle navait pas pu en discuter avec lui. Lundi, il serait là. En ce samedi, elle ne parvenait pas a penser à autre chose et José lui avait fait remarqué quelle était bien « absente ». Depuis 6 mois, il était sur la route du lundi au vendredi et, généralement, les samedis et dimanche étaient des jours bénis pour le couple
Ils avaient fait mollement lamour hier soir. José avait pensé que cétait la fatigue. Ce matin, Sabrina lui avait annoncé sa promotion à venir. Elle ne lui avait pas caché les commentaires de Christine et les doutes de ses collègues. José connaissait Louis, il savait que cétait un homme à femmes. Un jour, il lui avait demandé de bien vouloir ne pas importuner Sabrina. Louis avait éclaté de rire et lui avait répondu quelle était trop jeune pour quil en fasse une de ses « conquêtes ». « On verra ça dans quelques années », avait il ajouté.
Savoir que Louis était de retour et quil faisait de Sabrina son adjointe, le titillait. Mais, il avait confiance en elle. Son plus grand « souci » était que ce poste allait prendre beaucoup de temps à Sabrina. Elle allait devoir assister à des réunions interminables, des séminaires éloignés et changer pas mal de choses à leur vie de famille
En échange, elle gagnerait beaucoup plus (pas loin de 1000 euros mensuel de bonif) et même plus que lui ! Il fallait accepter, tout en se tenant sur ses gardes.
« Tu sais, ma chérie, jai confiance en toi et je pense que Louis te respecte assez pour éviter de te faire des avances. Mais, sil venait à le faire, sache que je ne ten voudrais pas si tu étais tentée !! »
« Tu déconnes ou quoi ? Je ne suis pas une pute !!! »
José éclata de rire et lui donna un baiser.
« Mais, non, je te charrie
Lundi, tu pourras faire la lumière sur tout ça avec lui. Nempêche que ça va pas mal compliquer notre vie
».
« Ça, tu nimagines même pas à quel point. Cest 10 à 12 heures de boulot par jour ! Plus les séminaires trimestriels de 3 jours, parfois même le week-end
Va falloir trouver des solutions pour les s ! ».
« Je crois quil ny a quune solution et elle ne te plaît pas ! ».
« Ben oui, mais tu as raison. Je vais devoir accepter que ta mère vienne vivre chez nous
Je ne veux pas refuser cette promotion, mais ça va être dur pour moi daccepter les contraintes ! ».
« On attend lundi pour appeler ma mère ? ».
« Tu devrais peut être lui en parler demain quand tu lappelleras. Juste à titre informatif. »
Le reste du week-end fut satisfaisant. Belle maman avait accepté (elle en rêvait) lidée de devoir venir vivre chez eux. Veuve, elle sennuyait chez elle. José du partir dès le dimanche à 18h, il avait une mission dans le sud et ne rentrerait, probablement, que le samedi matin.
Lundi matin : Sabrina arriva à 8h45 (pour 9h) et monta directement au bureau de Louis. Il était déjà là, comme à son habitude, en avance, un café posé sur son bureau le regard fixé sur son écran dordinateur.
« Salut ma belle ! Prête à prendre tes nouvelles fonctions ? »
« Bonjour. Justement, jaimerais en parler avec toi. »
« Je técoute
»
« Je suis flattée de ton choix, mais jaurais aimé que tu men parles avant. Tu te doutes bien que cette promotion fait jaser
»
« On ne peut pas empêcher les cons de parler ! Dailleurs, cest encore là quils sont le moins mauvais
Tu es soupçonnée davoir couché ? Tu nes pas la première, y en aura dautres après toi et, pour le moment, cest faux ! Alors, tu vas prendre tes fonctions, être parfaite dans ce rôle et montrer à tout le monde que tu es la meilleure adjointe possible !!! »
« Jy compte bien.
« Je note. Cependant, je vais devoir te demander quelques concessions. Je veux que tu modifies ta façon de thabiller. Tu vas être une sorte dimage de la société. Alors, évites les pantalons, optes pour des robes ou des jupes pas trop longues et mets des escarpins à talons assez hauts. Je sais que tu en portes parfois dans la vie privée. »
« Il va falloir que je vois ce que jai dans ma garde robe. Mais je veux bien me plier à cette exigence ».
« Tu sais quoi ? Invites moi à dîner chez toi ce soir et je taiderais à faire le tri de tes vêtements. En fait, je nai pas encore de logement sur place et ça mévitera de manger seul au restaurant. Tu veux bien ? »
Sabrina avait souvent invité Louis chez elle lors de ses débuts. Il avait toujours été correct, même quand José était absent. Elle navait aucune raison de lui refuser ce plaisir.
« OK, mais ce sera à la bonne franquette ! Je nai rien préparé
Comme ça, tu feras connaissance avec mes s ! »
« Très bien. Jai demandé quon tinstalle dans le bureau qui jouxte celui-ci. Ce nest pas encore aménagé, il faut monter linformatique qui est dans ton ancien bureau et je veux quune porte soit installée pour que nous puissions aller de mon bureau au tien sans passer par lextérieur. »
« Bien, je vais amener le matériel nécessaire et minstaller. »
La journée fut consacrée à linstallation des deux bureaux et aux ajustements indispensables. Louis fit faire un devis pour la porte de communication et une entreprise serait diligentée pour que les travaux soient effectués au plus vite. A 16h30, il lui dit de rentrer chez elle et convint quil y serait à 19h30.
Sabrina récupéra ses s à 17h, alla faire quelques courses pour le dîner et rentra se consacrer aux préparatifs. Elle se dit quil lui fallait montrer sa bonne volonté vestimentaire à Louis. Elle choisit une petite robe blanche, arrivant à mi cuisses, des escarpins noirs aux talons de 8 cm.
Elle fit dîner les s à 19h et les installa devant la télé en attendant Louis. Toujours ponctuel, il fut là à lheure dite. Il sourit en la voyant et lui dit que cétait un bon début vestimentaire
Ils passèrent à table, après que Sabrina eut couché les s. Louis fut très peu bavard, il la regardait dune façon qui gênait Sabrina. Son regard avait toujours été perçant et même déshabillant. Ce soir, elle le ressentait encore plus. Il laida à débarrasser la table et ils rangèrent en silence. Puis il dit :
« Déjà 21h ! Il est temps de voir ce que tu as dans ta garde robe
Allons y ! »
Sabrina le conduisit dans la chambre conjugale. Un instant, cela la dérangea. Cétait une intrusion dans son intimité
Il la laissa marquer cette hésitation, sans commentaire. Elle ouvrit son dressing et il dit ;
« Mon dieu, il ny a pas trop de féminité dans tout cela. 4 ou 5 robes à peine potables ! Pas plus de jupes ! Des hauts très ordinaires
Sabrina, ma belle, comment est ce possible ? »
« Ben, jai pas mal maigri depuis la naissance de ma fille. Et jai plus trop lenvie de mhabiller comme une midinette. Jai 32 ans, tu sais ? »
« Cest ça, tu es bientôt une vieille femme !!! Je tai connue plus hardie en matière de fringues
On va devoir remédier à ça ! »
Il sortit 3 robes, qui étaient acceptables. 2 jupes, dont une que Sabrina trouvait trop courte. 2 chemisiers et un débardeur. Pour les chaussures, il déclara que seuls les escarpins quelle portait étaient « possibles ».
« Il va falloir aller faire des achats. Mercredi après midi, je temmène. On va tobtenir une prime pour financer ça. Dans le même temps, les ouvriers qui doivent faire la porte entre nos bureaux seront plus à laise pour travailler
Mais, dis moi, comment sont tes sous vêtements ? »
Instantanément, Sabrina rougit. Elle se sentait très mal à laise avec cette question, tant elle redoutait quelle lui soit posée. De toutes évidences, Louis passait à loffensive. Au fond delle-même, elle le savait. Il la voulait et il pensait quelle ne résisterait pas trop
Avait-il tort ???
« Aller, montres-moi ceux que tu portes ce soir ! »
Tremblante, rouge et sans volonté, elle retroussa sa robe, assez ample pour que ce soit facile. Elle portait un tanga blanc, très banal, en dentelle
« Le soutif est assorti ? »
« Oui ».
« Cest décevant de conformisme. Sous une robe comme celle-ci, tu aurais pu te dispenser de soutif, en plus !!! Il faut investir dans de la lingerie féminine !!! Aller, ôtes ta robe et montre-moi tes autres dessous
»
Sabrina obéit. Sa robe fut déposée sur le lit. Puis, elle ouvrit le tiroir renfermant sa lingerie. Louis le vida avec dépit. Rien ne convenait
« Sabrina, comment ton mari peut accepter que tu portes de telles horreurs ? Tu es une très belle femme, maintenant épanouie et tu thabilles comme une gourde et tu mets des dessous informes
Et au lit, tu as mis les conseils de Christine en pratique ? »
« Je me sens bien comme ça. José sen fout et je ne cherche pas de mecs !!! Les conseils de Christine, elle peut se les garder ! »
« Bon, je vois quil va falloir que jimpose ! Allez, à poil Sabrina ! »
Elle eut limpression quelle allait sévanouir. Le ton de Louis était pour le moins impératif. Son regard la glaçait. Aucun doute, elle devrait plier ! Dans sa tête, la défaite était consommée
Elle enleva sous soutien gorge puis son tanga, dévoilant deux beaux seins fermes et une chatte lisse.
« Parfait. Allonges-toi sur le lit et laisses toi aller. »
Elle sexécuta, fermant les yeux. Doucement, il lui écarta les jambes avant de venir poser sa main sur le pubis de Sabrina. Les doigts commencèrent une danse agile visant à ouvrir ce sexe encore timide. Bientôt, il se pencha et sa langue vint en aide à ses doigts. Sabrina gémit, sa chatte se mouillait inexorablement
Deux doigts la pénétrèrent, lui arrachant un cri. En moins de 10 minutes, Louis la fit jouir très fort. Elle garda les yeux clos, mais elle émit des grognements puis des gémissements explicites. Il se leva et elle perçut des froissements indiquant quil se déshabillait. Il lui ordonna de se mettre en levrette sur le travers du lit. Sabrina naimait pas trop cette position quelle jugeait avilissante. Mais elle obéit. Il la prit par les hanches et son sexe pénétra son vagin dilaté en deux poussées. Elle fut surprise par la grosseur de cette bite. En plus, il devait faire au moins 20 cm. La sensation de remplissage intense lui fit ouvrir les yeux. Louis commença très vite de profonds va et vient, accélérant sans cesse, la soumettant à un rythme inouï !!! Sabrina comprit vite quelle découvrait ce quun amant pouvait lui faire découvrir. Pour la première fois de sa vie sexuelle, elle appelait les coups de reins de son partenaire et elle en voulait davantage. Ce fut elle qui lui réclama de la baiser plus fort, elle jouit deux fois, avec une intensité inconnue delle. Ce qui la surprit le plus fut quil ne jouisse pas. Il se retira de sa chatte défoncée, puis il écarta ses fesses.
« Comme il est mignon ce petit cul ! Tu as une rondelle exceptionnelle qui va souvrir sans problème
Ce soir, tu vas devenir une vraie femme ! »
« Non, je ten prie, ne me sodomise pas ! Jai trahi mon mari mais je ne peux pas donner mon cul à un autre
»
« José ne veut pas de ton cul ! Cest contre sa religion chérie !!! Mais, moi, je vais bien le remplir et tu vas aimer ça, ma salope. Détends toi, pousses pour maccueillir et nhésites pas à gueuler !!! »
Le gland força sur létroit anneau. Sabrina fut stupéfaite de la relative facilité avec laquelle il pénétra son cul. Lentement, Louis fit entrer toute sa bite et elle eut mal, mais bien moins que prévu.
« Tu as une très grande souplesse anale. Cest rare et précieux. Tu fais partie de ses rares femmes qui peuvent faire des doubles anales
»
Accélérant ses coups, il finit par se vider dans le cul dune Sabrina comblée après un premier orgasme anal. Ils prirent une douche commune puis revinrent dans la chambre où Sabrina le suça jusquà ce quil puisse lenculer un deuxième fois avant de se finir dans sa chatte. Ce fut à ce moment quelle prit conscience quil nutilisait pas de capote et quelle avait oublié sa pilule !!! Elle le lui dit et il lui déclara :
« Je ne baise que les salopes avec capotes. Les gentilles petites femmes fidèles comme toi, je les prends à cru ! Et si tu tombes enceinte, José ny verra aucun mal !!! »
Ce soir là, commençait la deuxième vie de Sabrina
Suite bientôt!
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