Un Pervers Près De Moi 4, Le Jeu Commence
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je regarde Alain dans les yeux, je fond en larme.
_Pourquoi tu nous fais ça ? Tu es un malade, je ten prie arrête ça.
_ Pourquoi je vous fait ça ? Ça fait des années que ta mère ne baise plus avec moi et pour tout te dire, ce soir rien nétait prémédité. Cest le hasard. Si je ne tavais pas vu au toilette, je ny serais jamais retourné pour ta sur. Puis vu ce quelle ma fait, jai compris que je pouvais faire ce que je veux de vous. Et tu sais quoi Lucie ?
Il me regarde dans les yeux, je peux voir un léger sourire sur son visage.
Jai peur dentendre sa réponse mais je veux savoir.
_ Qu..qu..quoi ? Lui dis je en bégayant.
_ Avec ce que ta sur ma fait et ce que jai sur toi, vous mappartenez, vous êtes comment dire...
_ soumises à toi lui dis je en me dirigeant vers la porte tout en essuyant mes larmes.
_ « Non, je dirai plutôt que vous êtes mes deux putes. Je peux faire ce que je veux de vous ».Il passe sa langue sur la lèvre supérieur. « Je vais pouvoir vous baiser autant que je veux et quand je le souhaite. Je vais me régaler. »
Je me fige tout en ayant la poignée de la porte dans ma main droite. Je nen crois pas mes oreilles. Quallons nous devenir Fanny et moi ? Deux femmes soumises à leurs beau père ?
Non ce nest pas possible, on doit réagir. Il en est encore temps.
Jouvre la porte de la chambre dami et je me dirige vers la salle de bain. Elle est collé à ma chambre qui, elle, est en face de celle de ma mère et Alain.
En pénétrant dans la salle de bain, jéclate en sanglot de nouveau, je pleure comme un bébé. Je prends soin de fermer à clef. Je nen peu plus de cette situation. Il faut trouver une solution au plus vite. Je me nettoie les yeux et le visage puis repasse un coup de crayon ainsi quun peu de mascara pour camoufler mes yeux gonflés.
Au bout dune dizaine de minutes, jentends des pas dans les escaliers, puis une voix:
_Lucie ? Tu es ou ? On tattend en bas.
Cest Arnaud, cela veut dire quAlain est descendu. Je me regarde dans la glace, souffle un bon coup et dit :
_ Je veux bien un get27 avec du Perrier sil te plaît . Jarrive, je descends doudou.
Je sors de la salle de bain, descend les escaliers et arrive dans la salle à manger. Personne. Ou sont ils ?
Je progresse dans le salon, je trouve mon mari et Steph. Je commence à être paniquée, je leurs dis dun ton assez sec:
_Ou sont les autres ?
Steph, assis sur le canapé en train dutiliser son smartphone me répond:
_ Alain et Fanny sont dehors en train de fumer.
Oh non, pourvu que ma mère soit là, avec eux.
_ Et ma mère ?
Allez, réponds moi avec eux, allez.
_ Je ne sais pas, en tout cas son manteaux et encore la.
Il me fait signe avec le doigt pour mindiquer lemplacement du manteau.
Et merde, ça ne sent pas bon cette histoire, il faut vite que je les retrouve.
_ Elle va revenir ta mère. Tu veux bien maider à essuyer la vaisselle, cest encore moi qui me tape tout Lucie !
Arnaud était en train de faire la vaisselle, mais là je men contre fou, il y a plus urgent. Ma sur est peu être seule avec ce malade.
_ Tu nas quà demander à Steph, il fait rien la.
Je mavance vers la porte dentrée.
Steph ne réagis pas mais Arnaud souffle et ne dis rien.
Jouvre la porte et je sors. Le froid vient me caresser la peau. Jaurai du prendre un manteau mais tant pis, il y a bien plus urgent. Personne dehors, je men vais dans le garage , je regarde dans tous les coins, personne non plus. Je sors du garage, je commence à trembler. Jangoisse.
Que se passe t-il ? Ou sont-ils ?
En sortant du garage, jentends une voix me dire:
_Lulu, je suis là, on est à lintérieur.
Ouf, soulagement, ma mère ma dit quils étaient là, je me dépêche à rentrer.
Jouvre la porte, je grelote de froid.
_Mais vous étiez où ?
_ Ben au toilettes et les garçons là.
Je fronce les sourcils et linquiétude me reprend.
_ Fanny et Alain, ils ne sont pas là ?
Ma mère hausse les épaules et les sourcils.
_Mais quest ce que jen sais , jétais au toilettes.
Oh non, ils sont que tous les deux. Jimagine le pire.
Steph se lève et me dit:
- Tu veux que je taide à les chercher ?
Non surtout pas, ça ne ferai quempirer la situation, il ne faut pas quil bouge dici.
_ Non non, cest bon ne tinquiètes pas, ils vont certainement pas tarder.
Je vois que tous le monde me regarde, ma mère me demande même si je me sens bien. Elle me dit quà minuit, il est normale que je sois fatigué et quelle comprendrait que je parte me coucher.
Je lui réponds et lui assure que tous va pour le mieux, mais je vois quelle en doute.
Je reprends mes recherches. Je décide de partir à létage.
Zzzzzz zzzzzz zzzzzz
Mon téléphone vibre, je latt, je vois une demande de face Time de ma sur. Je réponds, je laperçois dans le petit recoin, derrière le garage. Je ne comprends pas cette appelle. Il fait sombre, mais son visage est éclairé, comme si il y avait un flash. Cest yeux sont fermés, ses lèvres rentrées comme si elle ce les pincés.
_ »Fanny, quest ce qui se passe « ? Pas de réponse. « Fanny, tu mentends ? »
_ On tentends, ne tinquiète pas Lucie.
Oh non, cest la voie dAlain. Je crains le pire. Pourquoi il mappelle ?
_ Vous êtes où ? Dis je avec crainte.
_ On est derrière ton garage et je lui fais du bien à ta sur.
La caméra descend et ne se concentre plus sur le visage de Fanny. Je peux voir que sa robe est descendue, ses énormes seins sont à lair, elle est en shorty noir et talon. La robe et les collants sont aux niveau des pieds.
_ Arrête ça, sale enfoiré, laisse ma sur tranquille.
_De quoi ? Elle adore ça cette grosse truie.
Je lentends sadresser à ma sur et il lui dit:
_Dis a Lulu à quelle point tu aimes ça salope ?
Jentends ma sur me répondre, pas convaincue.
_ jad..jad...jadore.
Alain continue à sadresser à ma sur .
_ Ah tu fais ta timide devant ta petite sur. On va voir si tu vas résister ou bien faire comme tout à lheure.
Le téléphone se stabilise, il a posé sur quelque chose, je ne peux pas dire quoi.
Alain se met fasse à Fanny, il lui att violemment la mâchoire, sort sa langue et lèche ses lèvres.
Ma sur a les yeux fermés et se laisse faire, comme si elle approuvée.
_Sors ta langue Fanny !
Elle sexécute et tire sa langue. Alain frotte la sienne contre delle de ma sur. Il finit par lui gober, puis ses lèvres viennent se poser contre celle de Fanny.
Tout en lui roulant une pelle, je vois sa main droite tripoter les gros seins de ma sur. Il les malaxes, passe son index autour du mamelon rosée. Il finit par lui pincer les tétons. Il les prends à pleine main et lui dit:
_ Tu veux que je te les bouffes comme tout à lheure salope ?
Il lui parle à moins de dix centimètres du visage. Je la voie hocher de la tête.
Il descend en léchant son coup. Ma sur reste muette et elle a les yeux fermés. Il commence par le sein gauche. Sa langue tourne autour du mamelon. Jentends ma sur gémir. Il continue en jouant avec son téton puis dun coup, il aspire son sein. Ma sur pousse un petit cri. Il ne délaisse pas le sein gauche, il le malaxe.
_ « Tu aimes ça espèce de grosse salope ? » Ma sur ne dit rien, continue à gémir les yeux fermés. « Réponds moi ! » Dit il en haussant la voie.
_ Oui jaime ça Alain, dit elle dune toute petite voix, pas convaincu par ce quelle dit elle même.
_ Je le savais, maintenant je vais te bouffer la chatte. Écarte bien tes cuisses ! Lucie regarde bien, ça sera bientôt ton tour.
Jai de plus en plus de mal à supporter les images. Il faut que je trouve une solution.
Ça y est jai une idée.
_ Alain, jamais tu ne mauras, jamais, tu entends !
_ Je te rappelle quavec tous ce que jai sur toi, tu as intérêts à obéir.
Je me mets à crier :
_MAMAN ! MAMAN !
_ A quoi tu joues Lucie, je peux briser votre existence à toutes les deux. Ne joue pas avec moi !
Je vois Fanny ouvrir les yeux, surprise par mes cris. Elle a peur et froid je pense. Je la voie trembler. Alain lui est à genoux, devant le shorty de ma sur.
_ MAMAN ! Jinsiste en criant plus fort
Jentends une petite voix au loin me répondre
_Quest ce quil y a ma Lulu ?
_Tu peux dire à Alain de faire moins de bruit dehors, jai mon voisin qui vient de menvoyer un sms.
Alain sénerve au téléphone, il devient agressif :
_ Espèce de pétasse, arrête ça tout de suite. Ça va mal se passer pour toi.
Je ne fait pas attention à ce quil dit.
_ Il est chiant celui la. Jy vais, le temps de mettre mon manteau. Il est où ? Me dit ma mère.
_Derriere le garage, dans le recoin.
Alain est furieux et me dit:
_ Tu viens de faire une énorme erreur. Javais juste lintention de me faire plaisir ce week end avec vous mais là, ce que tu viens de faire, change tout. Tu vas le regretter. Tu mentends sale pute, TU VAS LE REGRETTER !!
Ses propos me terrifie mais je me dois daider ma petite sur. Alain hurle comme un fou, il risque vraiment de réveiller les voisins pour le coup.
_Quest ce quil fait là bas ? Me demande ma mère.
_ Je lui avait demandé de vérifier larrivée deau au niveau du tuyau darrosage.
_ A minuit ?
_ Non, je lui avait dit de le faire demain, mais tu connais ton mari.
_Ok, jatt mon manteau et jy vais.
Jentends toujours la voix dAlain dans mon téléphone.
_ Dépêche toi de thabiller et de dégager de la grosse truie. MAIS DÉPÊCHE TOI , TA MÈRE ARRIVE !
Je nentends pas ma sur, je ne voix plus rien, Alain à enlevé son flash et balance le téléphone de Fanny par terre.
De lautre côté, jentends la porte souvrir, cest ma mère qui sort.
Le portable étant toujours allumé, je peux entendre légèrement ce qui se passe.
Alain senerve et lui dit :
_ Tu attends que je rentre avec ta mère puis ensuite tu ressors. Cest comprit ?
_ Oui.
Ma sur a une petite voix. Elle doit être traumatisée.
Au bout de quelques instants, jentends ma mère et Alain entrée. Moi je suis descendu dans le salon avec les garçons qui sont assis sur le canapé, autour de la table basse.
En descendant, ils nont pas arrêté de me questionner sur mon attitude étrange et nos absences répéter avec ma sur. Jai vaguement répondu, que lon avait besoin de parler. Je ne suis pas sûr de les avoir convaincus.
_ Franchement Alain, cest une heure pour regarder larrivée deau. Tu fais tout à lenvers, comme dhabitude, dit Marie, en posant son manteau sur le haut du canapé.
_ Cest ta fille qui ma demandé de regarder.
Avec ma mère, il ne fait vraiment pas le malin. Il vient sasseoir juste à côté de moi. Il ne me regarde pas, mais je peux voir quil est énervé, il est concentré sur son téléphone. Je ne sais pas ce quil fait et je men fou.
Cinq minutes plus tard, je vois Fanny revenir, le visage sombre, elle a lair en colère également, étrange. Elle ne dit pas un mot, monte les escaliers en trombe.
Il faut que jaille voir comment elle va. Je commence à me lever, je sens une main agripper ma cuisse droite. Cest celle dAlain. Il me fait signe avec sa tête de me rasseoir.
Je ne comprends pas mais je veux savoir pourquoi. Il me montre son portable.
Oh non, pas ça.
Il envoyé une photo de moi seins nue à une personne. Merde...des frissons dangoisse parcours tout mon corps. Je lève la tête vers lui et commence à lui dire:
_ Tu as env...
Il minterrompt immédiatement pour éviter déveiller les soupçons. Il me montre son téléphone et me chuchote :
_Par sms.
Je prends mon téléphone et jécris :
_ A qui tu as envoyé cette photo ?
Il écrit à son tour:
_ A Guy !
MON DIEU.
Guy cest le prénom de mon père. Jai peur, cest le pire scénario possible pour moi.
Je lève la tête et le fixe dans les yeux. Mon regard est remplie de larme de tristesse mais aussi de colère.
Il faut que je sache,sil a une réponse, et ce quil lui a répondu.
_ Guy , mon père ?
Je le vois sourire, cest sur cest à lui. Oh non, pas ça, pitié.
Il menvoie un message:
_ Non, pas ton père, le mari dEsmé. Il vient de me répondre.
Je lis le sms, je suis quand même soulagé. Jai eu très peur. Maintenant, cest un autre problème qui commence.
Je ne réponds pas, je ne veux pas savoir ce quil a dit.
_ Tu veux savoir ? Menvoie t-il par sms.
Je me lève, ignorant ses messages pour aller voir ma sur. Je me dirige vers les escaliers.
Arnaud, Steph et ma mère sont toujours en train de boire le digestif et de discuter.
Jagrippe la rambarde, tourne ma tête vers le salon. Alain écrit quelque chose sur son smartphone. Je monte les premières marches.
Mon téléphone vibre, cest encore Alain.
_ Qui ta dis de monter sale petite pute ? Guy ma dit quil se doutait que tu étais une grosse chienne et quil sest branlé plein de fois en pensant à toi quand tu venais à la plage avec nous, il y a cinq ou six ans. Il ma demandé également sil était possible de pouvoir te baiser et je lui ai dit que ça va peut être devenir possible.
Je lis le sms en montant les marches, je suis dégoûté, Guy a 64 ans, encore un vieux pervers.
Je reçois un nouveau message.
_ La prochaine fois que tu me désobéis, jenverrai la photo à deux de tes amis. Tu es à moi, cest compris ?
Je ne réponds pas, il faut que jarrive à me débarrasser de son téléphone, sinon, je serais coincés.
Jarrive à la porte de la salle de Bain de létage , jentends pleurer. Cest sûrement Fanny.
_ Fanny, cest Lucie, comment tu te sens ?
_ A ton avis? Comment tu te sens toi ? je me sens horriblement mal. Pourquoi tu as fait ça Lucie? Jen étais débarrassé après ?
Je ne comprends pas ce que me dit ma sur. Je nai rien fait de mal, pourquoi ai-je droit à des reproches ?
_ De quoi tu parles ? Jai voulu taider, je voula...
_ MAIS occupes toi de toi, jen avais finit avec ça et maintenant, il va jouer avec nous.
Elle éclate de nouveau en sanglot.
_ Fanny, il ne sarrêtera pas tant que lon...
Elle minterrompt de nouveau et sénerve:
_ NON ! Il ma dit mot pour mot, je vous baise toutes les deux et après cest terminé, on en parle plus. Maintenant, tu me laisses tranquille. Je vais me débrouiller. Tu ne fais quempirer la situation.
Je nen crois pas mes oreilles, je fais tout pour laider et maintenant, cest de ma faute.
_ Fanny écoute moi...
_ Non, casse toi de là, laisse moi tranquille je tai dit.
_ « Quest ce qui se passe? » me dit Steph en finissant de monter les marches. « Jentends crier depuis en bas »
Je me retourne vers lui, commence à méloigner de la porte pour redescendre et lui dit:
_ Jen sais rien, elle nest pas bien, je te laisse gérer, jai eu ma dose.
_ Mais elle ta dit quoi ?
_ Tu verras par toi même.
Il me fixe avec un regard assez noir.
Incroyable, je fais tout pour laider et voilà le résultat.
Je descends les escaliers.
Me voilà en bas, plus personne au salon. En mapprochant, je vois quAlain à laisser son portable sur la table. Bingo cest ma chance.
Je me dépêche à le prendre. Je me dirige vers les toilettes du bas avec la porte qui ne ferme pas.
Je veux être discrète et détruire son portable sans que lon ne me voit.
Je suis dans les toilettes, ma curiosité me dit de regarder à qui dautre il aurait pu envoyer les photos. Je suis contre le mur, dos à la porte.
Jentre dans son telephone, je vais voir ses messages. Je vois là convers...
Une force violente me pousse contre le mur et fait tomber le téléphone par-terre.
_ Alors Salope, on me vole maintenant ? Je vais te punir pour ça .
Oh putain, cest Alain.
Mon profil droit est plaqué contre le mur. Il a son corps collé à moi. Je sens ses mains caresser mes fesse, elle monte petit à petit sur mon dos puis me saisit la tête . Il me cogne la tête doucement contre le mur pour que je sois un peu plus docile. Il me chuchote dans loreille:
_ Tu tes déjà faites enculé ?
Un frisson le parcours le corps. Pas ça , cest lune des pire choses pour moi.
Ma tête est écrasée contre le mur, je lui répond comme je peux:
_Nnnnn...nnno....Non!
_ Ça va être le moment alors .
Je me mets à trembler, je sais que je suis obligée de le laisser faire.
Jentends sa ceinture se défaire, la braguette descendre . Son souffle accélère, il fait des bruits de bouche. Ses mains redescendent sur mon fessiers. Je sens mon collant et mon shorty descendre.
Je suis comme paralysé, je ne bouge plus.
_ Penche toi petite pute et écarte tes jambes.
Pas ça, je nai jamais voulu pratiquer, cest tellement humiliant.
En me penchant, je jette un il derrière moi, je le vois, la queue à la main, lécher sa lèvre supérieure.
Je sens une main, appuyé sur le creux de mes reins. Sa bite frotte mon anus et passe sur mes fesses.
_Tu es prêtes ?
Je ne dis rien et sais que je nai pas le choix. Il colle son gland sur mon anus et je le sens pousser doucement avec son bassin.
Mon trou est serré et je vois quil a du mal à rentrer.
_ Cest serré ce petit trou de pute. Je vais y arriver.
Il recommence et me dilate lanus petit à petit. Une douleur commence à se faire sentir. Je serre les dents , les yeux plissés, les larmes aux yeux.
_Arrette, ça me fait mal. Aaaaaaaie.
Il ne mécoute pas et continue sa progression. Jentends des rales de plaisir. Il vient dentrer le gland. Ça me fait atrocement souffrir. Il pousse encore un peu plus.
_ Aaaaaiiiiiie , AIIIIIIIIE ! Jai mal Alain.
Il ne mécoute pas et termine dun coup sec. Jhurle de douleur. Alain me met la main sur la bouche pour atténuer et commence des vas et viens. Je sens son gros ventre claque mon cul . Il me bourdonne lanus. Ma tête cogne le mur.
Je suis entrain de me faire sodomiser par mon beau père.
Je gémir de douleur mais parfois de plaisir.
_ Tu aimes ça ma Lulu hein ? Je sens que tu aimes quand je te défonces ton petit cul.
Il accélère le mouvement, je crie dans sa main de plus en plus fort. La douleur est persistante. La sensation nest pas bonne. Alain respire de plus en plus fort. On peut entendre le bruit de ses couilles taper ma chatte.
Au bout de cinq minutes, Alain commence a se tendre. Jentends des sons étranges:
_ Oooowaaaaahhh ouiiiii !
Il sort sa queue de mon anus et gicle sur ma fesse droite.
_ Mmmmmmh oui, cest tellement bon.
Je sens son sperme chaud collé sur ma fesse. Je sens que ça coule jusquà ma cuisse.
Il se rhabille , ramasse son portable et me dit:
_ Ce nest que le début et rhabille toi sale pute, tous le monde pourrait te voir.
Il sort les toilettes, me laissant la, le cul souillé de son sperme. Mon anus me fait terriblement mal. Je retiens les larmes, je ne veux pas me remaquiller de nouveau.
Je prends le papier toilette, essuie tous le sperme dAlain et le jette dans les toilettes.
Je ressors, retourne au salon.
_ Bon ma Lulu, Alain et moi on va se coucher,me dit ma mère au moment ou jentre dans le salon en ayant du mal à marcher.
_ Jai oublié mon portable dans le salon, monte Marie, jarrive réplique Alain.
Il me dévisage. Oh non, est ce que je vais encore prendre ?
_ A tout de suite. Bonne nuit ma Lulu dit ma mère
_ Bonne nuit maman.
Alain vérifie que ma mère soit partie, matt par le bras et me dit :
_ Alors ça ta plue ta première sodomie ?
Je vois son visage radieux, souriant.
_ Tu veux un mensonge ? Où je raconte la vérité ?
_ Dis moi la vérité.
_ Cétait horrible, tu me dégoûtes, jai mal.
Je vois Alain serrer les dents et prendre sur lui. Dinstinct, je me recule pour éviter den prendre une. Il est de plus en plus violent.
_ Ce nest que le début mais je ne viens pas te voir pour ça. Je veux que cette nuit, tu maides à me faire sucer par ta sur. Il est minuit et demi, et à trois heures du matin, sur le canapé du salon, je veux une bonne grosse pipe bien baveuse de Fanny.
Plus je le regarde, plus jai envie de lui faire du mal. Je le déteste, je le méprise.
_ Jamais je ne taiderai à faire ça, tu es un malade. Va te faire foutre !
Jessaye de monter les escaliers mais il matt le bras violemment
_ Lâche moi, tu me fais mal !
_ « Ferme la ! Si tu ne maides pas, jenvoie la photo de ta chatte à tes oncles et ton père. A ton avis, comment vont-ils réagir ? » Il sourit, se gratte la joue. « Moi, je suis sur quils vont se branler sur toi. On essaye ? »
Mon visage se pétrifie. Comment cette homme a til pu devenir un monstre pareil, pervers et sans Coeur.
Jessaye de lamadouer en lui reparlant de notre passée, du bonheur que lon vivait tous ensemble.
Je mets une main sur son épaule, le regarde dans les yeux et dis:
_ Alain, je ten prie, arrête, on oublie tout. On était heureux maman, Fanny, toi et moi . On peut de nouveau être une famille. Tu sais, tu nes pas mon père mais je taimais, comme mon second papa. Tous le monde tapprécie Alain.
Je vois le visage dAlain changer, est ce que jaurai réussi à lattendrir ?
_ « Tu sais Lucie, une famille, ça ne se critique pas. Dans une famille, on humilie pas les gens. Un second papa, on ne lui dit pas quil est gros, quil pue, quil est moche et fainéant. Alors nessaye pas de mamadouer, tu nes rien pour moi. » Son visage se durcit à nouveau. « Toi et ta sur vous êtes simplement mes deux putes et puisque tu refuses de maider, je vais détruire vos deux couples. » je le vois sourire à nouveau. » Du coup, on va compliquer le jeu, Je veux que tu ailles voir Steph, que tu le chauffes et que tu le masturbes. Bien évidemment, tu filmes tout ça et tu me lenvoies. Ça pourrait convaincre ta sur de me sucer sans avoir recours au chantage. »
Je suis bouche bée, cette homme est un monstre et na aucun cur.
Je ne peux pas faire ça à ma sur, elle ne me le pardonnerai pas.
_ Tu as jusquà 2h30 du matin pour menvoyer la vidéo. Passer ce délai, tous mes contacts seront la chienne et salope que tu es. Cest bien compris ?
Javale ma salive difficilement et hoche la tête pour dire oui. Que vais-je faire ?
A suivre...
. Nhésitez pas à me donner vos idées pour la suite de cette histoire et comment vous voyez le scénario évoluer.
Les commentaires, quils soient positifs ou négatifs, me motivent pour écrire. Nhésitez pas à en laisser plein, ça ne vous coûte rien.
Merci Alexcoquin.
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