Malade, Satisfaite

Couchée, malade, je n’en peux plus. Il me tarde d’être mieux. Heureusement que j’ai quelqu’un, Maria, une espagnole, pour s’occuper de la maison. Je satisfais mon mari en le caressant. J’aime bien le faire bander, lui sortir la queue, l’examiner en détail. Je suis satisfaite quand je le tiens dans la main. Il sait, je sais que je vais lui donner du plaisir, pas celui auquel il aurait droit. Je le masturbe, c’est déjà bien. J’aime avoir sa queue dans la main, la serrer un peu, faire rougir son bout. Je l’abandonne pour passer ma main sur ses couilles. J’aime les frôler, passer dessous, puis mettre ma main entre ses jambes. Il sait où je vais. Je fais trainer mes doigts pour très lentement aller vers son petit trou. Il a mit un bon moment avant d’accepter MA caresse. Je passe le doigt au fond de sa raie, je câline lentement l’anus avant de doucement entrer mon doigt dans le cul. Il attend la pénétration. Je lui mets le doigt le plus profond possible. Il resserre son anus quand je suis tout au fond. J’aime sentir cet instant qui montre qu’il apprécie.
Lui me regarde, sans rien me faire, il attend son heure. Ma simili sodomie est agréable pour lui comme pour moi. J’aime le posséder par ce petit trou. Il me le faisait bien avant que je sois alitée. Il vient plus près de moi pour que mon autre main prenne sa queue. Je le branle lentement en allant à la même vitesse que dans son cul. Je sais qu’il va jouir quand les muscles du l’anus se referment sur le doigt. J’aime cet instant où l’orgasme arrive en donnant son sperme. Des fois il se penche sur moi, j’ouvre la bouche, il me nourrit avec sa semence : j’aime ça.
Il ne faut pas lui en demander plus, il n’aime pas me branler quand je reste immobile. Si je pouvais me branler ce serait bien. Alors je patiente. Un matin Maria me porte le petit déjeuner. Elle en profite pour refaire un peu le lit. Je suis trempée de désir. J’ai un besoin immédiat d’orgasme. Elle finit le ménage, puis revient me voir : elle me découvre, enlève le drap.

Je comprends la suite quand elle relève la petite chemise de nuit. Elle expose tout mon corps : elle me regarde en détail.
Je reste muette de surprise. Elle passe une main caressante sur mes jambes, mon ventre, mes seins. Maria caresse mes épaules, descend pour de bon sur ma poitrine. Elle caresse délicatement les seins, fait ressortir la tétons qui bandent doucement. J’attends la suite sans rien dire pour ne pas détruire la magie, le mirage
Ces mains sont de plus en plus douces sur moi quand elle atteint le nombril puis le pubis. Elle écarte mes jambes : je suis entièrement exposée. Je n’attendais jamais une telle action.
Elle entame un massage, elle part des cuisses, passe sur le pubis, monte doucement vers les seins, le cou. Elle redescend toujours aussi caressante. Ma cyprine doit aller sur mon petit trou.
Elle me tourne sur le ventre. Mes fesses ont aussi droit au massage/caresses. Elle monte dans le dos, redescend encore, passe dans la raie. Elle frôle l’anus que j’ouvre au passage. J’ai envie, j‘ai besoin d’une bonne jouissance. Si mon mari était là, il pourrait me branler, me baiser en forçant un peu, mais non, seule Maria s’occupe de mon corps enfiévré. Mon Dieu que j’ai envie.
Elle passe lentement dans la raie, touche plus franchement l’anus. Oui, qu’elle insiste, j’ai envie. Elle caresse le dos, descend encore, passe dans la raie, arrive à la hauteur de ma chatte. Elle y met un doigt. Elle l’enfonce doucement elle le ressort, elle me doigte. Je sens qu’elle ajoute une autre doigt. Je me laisse faire en gémissant un peu. Soudain elle pose son pouce, sans doute, sur l’anus. Si elle pousse un peu, elle va le rentrer.
Maria pousse son pouce dans mon cul. Elle me fait du bien, je sens mon ventre éclater de plaisir quand j’atteins un sommet. Je me relève un peu pour qu’elle me caresse encore. Je jouis plusieurs fois à la file. C’est bon, encore.
Et moi qui ne peux rien lui faire. J’ai une idée, idiote peut être. Le soir quand mon époux entre, je lui raconte ce que Maria m’a fait que j’ai bien joui.
Je vois qu’il bande.
J’appelle Maria qui étonnée arrive dans la chambre.
- Maria, vous m’avez bien branlée, vous m’avez bien faite jouir, voulez vous jouir aussi.
- Merci Madame, je me suis masturbée après.
- Pas devant moi.
- Non madame.
- Baisez devant moi mon mari.
Ni elle ni mon époux ne disent un mot. Je vois bien sa queue grossir, je remarque les yeux de Maria qui semblent aussi inspecter la bite. Ca crève les yeux que mon époux, avec mon autorisation va baiser la bonne. Je crois bien qu’elle aussi ne demande pas mieux. Le plan se met en place par mon époux : elle relève mes draps, il me découvre. Il baisse son pantalon : il bande. Maria le regarde, me regarde ma chatte qui est mouillée. Obéissant à son instinct elle est nue devant nous. Elle s’assoit sur le lit, att la queue de mon chéri. Elle le met dans sa bouche. Je suis excitée au possible envoyant ses lèvres autour de la bite de mon mari. Il lui tient la tête, il lui baise la bouche.
Elle le lâche, la bite a un mouvement vers le haut. Maria ouvre ses jambes, attire la bite vers elle. Mon mari entre la queue dans la chatte offerte. Devant moi, sans défense, il enfile la bonne. Ils coordonnent leurs mouvements. Je voudrais moi aussi participer : ils s’installent de telle façon que j’ai accès au cul de mon mari. J’y mets mon doigt, fais des va-et-vient. Il me semble baiser moi-même Maria. Je sens l’anus qui s’ouvre et se ferme : mon mari jouit dans le con de la bonne.
Comme pour me remercier, Maria passe sa main entre mes jambes. Elle me masturbe lentement, je jouis encore.
A entendre divers bruits dans la maison, je sais qu’ils baisent tous les deux. Je préfère ça plutôt qu’ils se planquent. Au moins ils peuvent me raconter comment ils baisent. J’aime savoir pour quand Maria me masturbe j’imagine comment elle se fait mettre par mon chéri qui tous les jours vient chercher son orgasme de mes mains, des fois à présent quand Maria me branle ou me suce comme je le demande souvent.

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