Aventure Rocambolesque - Chapitre 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Chapitre 3
Un samedi soir, Un garçon assez joli, ma dragué en moffrant à boire, je lai laissé faire, nous avons dansé, pas mal bu puis il ma embrassé. Cétait très agréable et lalcool aidant, je me suis laissé faire. Il ma caressée et faite jouir dans la boite au milieu de tout le monde, jétais tellement saoule et excitée que jaie accepté de sortir avec lui. Il ma raccompagné jusqu'à mon appartement en me caressant et membrassant, cétais si merveilleux quune fois chez moi, je lai laissé entrer et nous nous sommes mutuellement déshabillés, jétais tellement excitée que je lui ai imposé de me prendre très vite. Quand est parti chercher une capote je lui ai demandé de revenir et de me faire lamour tout de suite, jen avais trop envie. Je nen pouvais plus dattendre, je lai à venir sur moi pour quil plonge au plus profond de mon intimité et jai tout de suite jouis. Mon plaisir ne sest pas arrêté, il na fait quaugmenter pendant tout le temps ou il ma fait lamour cétais fantastique, nous avons jouis très fort tous les deux en même temps et nous nous sommes endormis assommés par lextase et aussi surement un peu par lalcool que nous avions bu.
Quand je me suis réveillé le matin javais très mal a la tète, la bouche pâteuse, quand je lai vu dormir a coté de moi, il ma fallu un moment pour me rappeler ma soirée, je me sentais toute mouillée entre les jambes, jy aie porté la main, cétais tout poisseux. Je lai secoué pour lui demander sil avait mis un préservatif et la, il ma soufflé en me répondant :
- Non, je nai pas eut le temps de le mettre, tu étais tellement pressé que tu nas pas voulu que je lenfile et tu as insisté pour que je te prenne tout de suite.
Jai du devenir toute pale en pensant aux risques que je courrais, je ne prends rien pour me protéger. Il sest inquiété :
- tu es malade ou quoi, tu es toute pale.
- Je suis pale parce que jai peur.
- Peur de quoi ?
- Dêtre enceinte à cause de hier soir.
- Dêtre enceinte ? ce nest pas possible, tu ne prends rien ?
- Non, bien sur et je pensais que tavais un préservatif.
- Jen avais mais tu nas pas voulu attendre que je le mette, je pensais que tu prenais la pilule.
- Non, je ne prends rien et cest sur, je vais me retrouver en cloque a cause de toi.
- Non, pas a cause de moi, cest toi qui na pas voulu attendre.
- Je ne veux pas être enceinte, tu aurais du te retenir.
- Ah, non, ne ten prends pas a moi, cest toi qui a insisté pour que je te prenne tout de suite, si tu mavais prévenu que tu ne prenais rien, je me serais méfié et jaurais mis la capote ou je me serais retiré. Mai la, tu na rien dit et tu ma tellement bloqué au moment de jouir que même si javais voulu, je naurais pas pu me retirer. Si tes en cloque cest de ta faute, moi, jy suis pour rien.
- Si, si on en est arrivé la, cest de ta faute, cest toi qui ma faite boire.
- Oui je tai offert des verres mai tu aurais du les refuser. Regarde, je savais que javais bu et on est rentré a pied, je nai pas pris ma voiture, boire ou conduire il faut choisir. Et pour toi, il faut plutôt dire boire ou baiser il faut choisir. Quand tu as un verre dans le nez, tu ne te contrôle plus. Bon il se fait tard, il faut que je rentre.
Sur ces mots il est sorti du lit, sest rhabillé puis il est parti en me disant :
- A la prochaine, fait ce quil faut pour ne pas trop grossir et après tu pourras me retrouver, je suis tous les samedi soir a la boite. Et on pourra reprendre notre pied ensemble si tu veux, en se protégeant bien sur si tu le désire vraiment.
Après son départ, je suis partie me laver. Pendant ma toilette, je me suis mise à rire en pensant a Marie qui sétais donné tan de mal pour que je me retrouve en cloque et que maintenant par accident, ça risquais darriver. Une bonne heure plus tard, quelquun a sonné a ma porte cétais le garçon qui mavais fait lamour pendant la nuit.
- On ne peu pas se quitter comme ça, tu as du café ?
- Oui, je viens juste de le préparer.
- Tu minvite à le boire ? on pourra discuter, voila les croissants.
- Si tu veux, entre.
Jai apporté le café, nous avons mangé ses croissants tout en discutant puis il sest levé et a fait mine de partir, je me suis approchée de lui pour lui faire la bise et le remercier pour ses croissants et la, je ne sais pas ce qui sest passé, il ma prise dans ses bras, et ma embrassé goulument. Cétait très bon. Ses mains se sont mises à me caresser et je me suis abandonnée au plaisir. Nous nous sommes rapidement retrouvés nue sur le lit et il ma pénétrée. Je me suis un peu débattue pour le faire sortir et lobliger à mettre un préservatif. Il ma chuchoté à loreille :
- au point ou tu en es, cest totalement inutile, profite du plaisir que je te donne.
Je me suis totalement abandonnée dans ses bras. Jai jouis plusieurs fois avant de sentir sa jouissance me remplir puis il sest retiré mais na pas arrêté de me caresser. Au bout dun moment il bandait a nouveau et a replongé en moi pour me faire décoller une nouvelle fois.
Nous avons fait ça toute la journée, lamour, un peu de repos et encore lamour. Vers midi, jétais tellement épuisé que malgré toute son attention, je narrivais plus à jouir, il sest arrêté, a attrapé des pastilles dans sa veste, les a mis à fondre dans deux verres deau puis il men a donné un et a avalé lautre. Après avoir fini son verre il ma regardé et a dit :
- Avale vite ce truc puis vien me rejoindre, il reste des croissants.
Je me suis exécutée. Environ une demie heure après, cest comme si javais le feu dans le ventre, je navais quune envie : faire lamour. Et cest ce que nous avons fait jusquau soir. Ça a été la journée la plus jouissive de toute ma vie.
Avant quil parte je lui ai demandé de me laisser quelques comprimés. Il nen avait plus et ma promis de men rapporter.
Le lendemain matin dans ma boite aux lettres javais une enveloppe à mon nom avec une dizaine de pastilles à lintérieur et un petit mot me remerciant pour cette si merveilleuse journée en bas du mot son numéro de portable. Je les ai rangées dans mon tiroir à secrets.
Les jours suivants jétais partagée entre langoisse dêtre enceinte et la joie de lannoncer à Marie, jattendais mes règles. Je les ai enfin eut et me suis promis a moi-même de faire beaucoup plus attention la prochaine fois.
Je continuais à prendre et a donner du plaisir avec certaines de mes clientes dans mon institut mais jai remarqué que ce que jaimais le plus cétait de sentir un homme se vider les burnes au fond de mon ventre. Je nen revenais pas, Marie avait fait de moi une vraie salope.
Il y a une autre aventure que jai eut pendant que Marie était en clinique. La aussi, jai failli me retrouver en cloque mais ça na pas marché.
Cest en boite que jai rencontré ce garçon, il était très beau, sportif, sympa. Il ma invité à passer le week-end a la montagne avec lui. Jai acceptée.
Vers midi, après une matinée de marche assez fatigante, nous avons fait une étape pour manger au bord dun lac, cétais merveilleux. Il faisait très beau, Je me sentais bien dans ses bras, jaimais beaucoup quil membrasse et me caresse, nous nous sommes endormis lun contre lautre sous le soleil. A notre réveil une bonne heure après le temps avait changé, de gros nuages noirs annonçaient un bel orage et la température avait bien baissée. Rapidement nous avons récupéré nos affaires pour reprendre la marche vers un refuge, nous venions juste de commencer a marcher que les premières gouttes sont tombées. En quelques minutes nous étions trempés. Au bout dune demi-heure de marche sous une pluie battante, Éric mon copain a la porte dune vieille bergerie pour que nous puissions nous abriter. Je grelottais de froid avec mes vêtements tout mouillés. Pour nous réchauffer il a allumé un feu dans une espèce de cheminée avec de la paille et des buches qui étaient la.
Le lendemain il est venu voir si je ne métais pas enrhumée dans la montagne, a peine étais il dans ma chambre que je lui ai sauté au cou pour lembrasser et le caresser, il ma déshabillée, caressée, et ma possédé comme un fou jai adoré ça mais jai eut beaucoup moins de plaisir que dans la montagne, après mêtre remise, jai vu le préservatif usagé par terre a coté du lit. Je comprends mieux la différence de plaisir. Je nai pas eut ma dose de foutre au fond du ventre, il est resté dans la capote. Après mavoir baisée il est reparti. Je ne lai plus revue.
Marie est sortie de la clinique, elle semble aller beaucoup mieux. Pour fêter son retours, nous avons fait lamour toute les deux toute la soirée. Après avoir bien jouis elle ma dit :
- Il faudrait que je te trouve dautres hommes pour te féconder, jaimerais tant avoir un avec toi.
Rapidement elle a mis en place des rendez-vous et je jouissais presque tous les soirs. Mais pas de grossesses en prévision. Puis un soir alors que je commençais a décoller avec un grand bonhomme qui avait une allure de bucheron, jai attrapée Marie, je lai déshabillée et pendant que lhomme me butinais la moule je me suis mise a la chauffer un maximum. Quand il a voulu me prendre, jai poussé Marie et jai guidé son chibre en elle. Elle sest un peu débattue puis petit a petit le plaisir la envahie, comme elle se débattais moins, je lai lâché et je me suis mise a la caresser a la fin elle a jouis très fort en même temps que lhomme tout au fond de son ventre.
Elle était comateuse, je lai poussée sur le coté et jai sucé le mec pour quil puisse me faire la même chose. Rapidement il sest remis à bander et ma prise, cétais très agréable.
Après quil ait jouis, je lai aidé à se rhabiller et je lai raccompagné à la porte. Marie était toujours sur le canapé, elle nétait plus comateuse, elle se frottait le sexe et essayais de faire sortir delle le précieux jus que le bucheron avais injecté. Je me suis installée entre ses jambes et me suis mise à lui nettoyer le sexe avec ma langue. Rapidement elle sest mise à jouir sous cette caresse. Quand elle a refait surface son sexe était tout propre et elle ma dit
- Ne me refait jamais un truc comme ça.
- Mais tu as bien jouis non ?
- Oui, jai bien jouis, cétais très bon, mais uniquement parce que tu étais la, jai horreur des hommes et de leur gros chibres tendus.
- Tu as tord cest très agréable de se faire défoncer la moule par ces chibres monstrueux, et le meilleur cest de les sentir se vider au fond de notre ventre. Tu ne me diras pas le contraire, tu as jouis très fort quand il ta inondé a lintérieur.
- Oui, cest vraie, jai jouis très fort mais pour moi, cest physique, je naime pas les hommes cest tout.
- On va au lit ?
- Oui, jarrive, je vais me laver et je te rejoins tout de suite, garde en toi sa semence cest peut être ce coup ci que tu me feras un bébé.
Ça na pas marché, jai eut mes règles, par contre Marie, elle, elle a eut du retard, tellement de retard que nous sommes parties acheter un test de grossesse. Il était positif. Cest elle qui va porter notre .
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