A L'Hôtel -2-
-2-
Elle a acheté deux autres guêpières, et à chaque fois c'était le 14 juillet et carnaval réunis. Je prenais toujours autant de plaisir à la caresser, la lécher, la pénétrer et elle aussi aimait s'abandonner à mes caresses, ses tétons étaient devenus tellement sensibles qu'il suffisait de quelques minutes pour qu'elle jouisse avec ma bouche et mes doigts
Pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Il faut dire qu'avec les 3 maternités, ses seins avaient encore pris du volume et elle allaitait jusqu'à un an. Ce qui n'était pas sans attirer l'attention de la famille et des voisines qui trouvait ça anormal, mais ni moi ni elle ni moi y trouvions à redire.
Puis il y eu la naissance du quatrième. Elle se fit ligaturer les trompes et là, je ne sais pas ce qui s'est passé, mais sa libido prit un tournant qui me surpris, mais que je ne regrette pas du tout. Alors que les grands gardaient le petit le soir, nous avons repris nos escapades.
La première fois que nous avons repris une chambre. Elle avait mis sa guêpière noire et à nouveau, je la pris debout contre le mur, ses reins cambrés, la faisant jouir très rapidement, j'avais sorti ses seins des balconnets et je les malaxais fermement et tirais ses tétons. Elle avait les reins creusés et m'encourageait à continuer.
Je suis resté un long moment encore à la pénétrer jusqu'à ce que moi aussi je me répande en elle. De me sentir jouir lui déclencha autre orgasme
Ca aussi c'était une première, il n'y avait qu'avec ma langue que j'arrivais à la faire jouir deux fois, et encore en prenant mon temps. Mais là ce fut plus ample, plus fort et surtout plus rapide.
Essoufflé, je suis resté en elle le temps que mon sexe débande. Puis nous nous sommes étendus sur le lit
elle en guêpière et moi tout nu.
- Mon chéri, ce fut très fort, j'ai jamais eu autant de plaisir, qu'est-ce qui m'est arrivé ?
- C'est ta guêpière noire qui m'a encore donné envie de te prendre là de suite comme ça
- Et bien dis donc, si j'avais su je l'aurai mise d'autres fois, j'osais pas de peur de te choquer.
- Et bien non tu vois, au contraire. Tu devrais la mettre plus souvent
mais attention, il va falloir assumer après.
- Assumer quoi mon chéri ? Elle me dit ça avec une intonation que je ne lui connaissais pas, un sourire provocant au coin des lèvres.
- Assumer ce que tu vas susciter en moi.
- Quoi par exemple ? toujours avec cette même voix et ce sourire encore plus appuyé.
- Ça par exemple.
Et lui prenant la main je lui dis :
- Caresses-moi.
Elle le fit sans hésiter, elle me caressait parfois mais jamais bien longtemps, nous étions très classiques dans nos ébats. Pendant ce temps d'une main je plongeais dans son décolleté et je titillais ses tétons qui étaient maintenant libres de toute entrave.
Son souffle s'accéléra et je sentis sa poitrine durcir et ses tétons s'ériger. Pour plus de facilité elle se coucha sur le côté un coude entre mes jambes.
Puis elle fit une chose que j'avais jamais osé lui demandé, elle approcha son visage de mon sexe et posa un baiser sur le bout de mon sexe décalotté.
- Merci toi, tu m'as donné beaucoup de plaisir tout à l'heure.
- Ce n'est pas un merci à la hauteur de la peine qu'il s'est donné
Mon cur battait la chamade, j'avais osé lui laisser entendre qu'il fallait qu'elle en fasse plus.
- Comme ça alors ?
Et elle ouvrit la bouche et pris mon gland en entier dans sa bouche.
Ma femme, la mère de mes s venait de me faire une fellation
enfin n'exagérons rien, elle venait juste de mettre sa bouche sur le bout de mon sexe. Il faut dire qu'après quatre grossesses et dix ans de mariage, nous étions assez classiques dans nos rapports sexuels.
- Mieux que ça encore.
Mon souffle était court, jusqu'où allait-elle aller ?
Et là elle enfonça mon sexe tout du long et commença à agiter sa langue sur le gland.
- Ho ma chérie, c'est bon, continues comme ça
Sens comme elle gonfle à nouveau.
- Je vois ça, elle a l'air d'aimer mes remerciements.
- Ça te choque pas de me
de
faire ça ?
- Non, toi tu me le fais bien et j'aime ça
tu aurais pu me le demander, moi je croyais que t'aimais pas ça.
- Et bien si justement, comme tu vois j'aime ça
- Hmmm, dit-elle la bouche remplie de mon sexe qui durcissait à vue d'il.
Pendant que sa main enserrait mon sexe et me branlait, sa bouche entourant mon gland, montait et descendait avec sa main, ce qui fait qu'elle prenait une bonne longueur en bouche
Elle accéléra et son souffle devint plus rapide. Ses tétons que je tirais entre mes doigts s'étaient allongés plus que de coutume et ses seins devenaient lourds et durs. Ses reins étaient animés de mouvements comme si elle avait un sexe en elle. Je compris qu'elle était excitée et qu'elle attendait la jouissance
Mon épouse, allait jouir en me suçant. Elle était tout entière à sa fellation, elle bavait sur sa main, sa bouche était crispée sur mon sexe, elle me faisait un peu mal parfois en descendant sa main, elle décalottait un peu trop mon gland, mais j'osais pas l'interrompre. Puis soudain elle sembla se tétaniser, elle lâcha mon sexe et l'enfonça dans sa bouche
Elle jouissait en tremblant de tout son corps, je lui tirais sur ses seins et elle gobait mon sexe en entier... Que lui arrivait-il ? Elle était déchaînée, je ne l'avais jamais vu comme ça
Puis elle se calma, gardant toujours mon sexe dans sa bouche, j'étais dur comme jamais.
- Viens
je te veux dans ma bouche
jusqu'au bout.
Alors là, j'étais sur les genoux
Façon de parler, j'étais sur le dos et mon épouse me suçait avec une gourmandise surprenante et me disait qu'elle allait me faire jouir entre ses lèvres.
- Oui, continues, je vais bientôt jouir
Et elle reprit la masturbation de ma hampe avec sa bouche toujours collée sur mon gland. Elle était détendue, toute concentrée sur sa fellation.
- Attention, je vais jouir
ha
ça vient
je
Et brusquement mon sperme gicla dans sa bouche, abondamment, il sortait d'entre ses lèvres et glissait sur ses doigts, mais je jouissais dans sa bouche.
- Merci mon chéri, as-tu aimé ?
Alors je me suis penché sur elle, lui ai pris la tête entre les mains et je l'ai embrassé, ses lèvres encore parfumées de ma liqueur.
- Et toi, as-tu aimé ?
- Oh oui, pourquoi avons-nous autant attendu pour s'aimer comme ça ?
- On va se rattr, mon amour, on va se rattr, on va mettre les bouchées doubles.
Et plongeant à nouveau sur mon sexe, elle l'engloutit à nouveau
mais c'était un limaçon maintenant avec lequel elle jouait de la langue pour tenter de le réveiller.
- Allez réveilles-toi, c'est pas fini, tu as encore du travail
Et bien je la reconnaissais plus du tout.
- Attends, laisses moi faire, lui dis-je.
Je la fis se lever et lui fis remarquer que sa culotte était trempée.
- Oui mon chéri, c'est de ta faute, attends je l'enlève.
Elle se tint debout devant moi, ses poils pubiens étaient humides et son sexe gonflé. Elle écartait ses poils et ses lèvres et se touchait.
- Regarde dans quel état tu m'as mise. Je suis toute mouillée.
- Attends je vais te nettoyer tout ça.
Et l'attirant à moi sur le lit, je plongeais sur sa chatte, bouche en avant et je me mis à la lécher de partout. Son sexe était gluant de nos sécrétions réunies. Il avait un goût différent, c'était celui de mon sperme mélangé à sa liqueur.
- Oh oui, continues
Je sens que ça viens à nouveau
Tu vas me rendre folle
Je perds pieds, je sais plus ce qui me passe par la tête
Continues comme ça.
Elle me prit ma tête à deux mains et me colla encore plus contre son sexe. Je faillis et pour me donner un peu plus de liberté, je la pris sous les genoux et lui remontais les jambes sur sa poitrine dégageant ainsi un accès plus aisé à ma bouche.
- Tiens tes jambes que je puisse mieux te parcourir.
Elle mit ses mains sous ses cuisses et les croisant elle se tenait ouverte et me donnait un libre accès à son sexe et ses fesses.
Je mis les miennes sur le renflement de ses cuisses à la jointure de son sexe. J'eus une vision d'ensemble de son intimité. Je voyais son anus que j'avais déjà vu, mais sans m'y attarder outre mesure. Mais là je le voyais plus large que d'habitude, il était de couleur bistre, plissé de nombreuses stries et semblait palpiter. Je fis une chose impensable il y avait à peine une heure. Je fis descendre ma langue dessus et me mis à le titiller du bout.
- Oh
fit-elle
- Je t'ai fait mal ?
- Non c'est pas ça mais c'est que
c'est
- Tu n'aimes pas ? Tu veux que j'arrête ?
- Non, c'est que
c'est que
ohhhhh
Et moi je mis ma langue en pointe et m'enfonçais un peu plus dans la corolle de son anus.
- Ohhhhhhh
. Oui
Non
. Si
. C'est bon
Oh
Qu'est-ce que tu me fais faire ?
- Je te fais aimer l'amour ma chérie et laisses moi faire
Je te ferai pas de mal.
- Oui c'est bon, continues
mais va pas trop loin, restes comme ça
dessus
Je remontais sur son sexe, elle coulait abondamment et son bassin était animé de mouvements d'avant en arrière. Je pris son clitoris entre les dents et me mis à la sucer, la langue durcie pour le frotter avec force. Elle tenait toujours ses jambes relevées et ses cuisses se mirent à s'agiter de soubresauts et un autre orgasme s'annonça, il tardait à venir
Alors je fis une chose, encore une autre impensable, je mis mon index sur son anus et j'y enfonçais le bout
il n'offrit aucune résistance et c'est de toute sa longueur que je la pénétrais.
- Oh oui, je viens
Je jouis
Je
Ahhhh
C'est fort
Trop fort
Ahhh
Tu me tues
Oui
Continues
Viens
Et elle jouit en giclant dans ma bouche une grosse quantité de liqueur, mon doigt enfoncé dans son anus que je sentais se resserrer autour animé de contractions. Puis elle se calma, ses jambes toujours relevées. Ma bouche collée à son sexe, mon visage inondé de sa jouissance et mon doigt toujours dans son anus.
- Mon chéri, qu'est-ce qu'on a fait ?
- Nous nous sommes aimés ma chérie.
- Oui, mais
- N'as-tu pas aimé ? Ne dis pas le contraire, ta jouissance était abondante et forte.
- Oui, mais où cela va-t-il nous conduire ?
- On verra bien, en tout cas on est heureux.
- Oui
Il y eut d'autres séances d'amour à l'hôtel. Elle mettait à chaque fois une guêpière de couleur différente, mais nous n'avons jamais connu une telle intensité dans la jouissance.
A suivre, si vous le voulez bien...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!