Réalisation D'Un Fanstasme
Voilà je me remets à écrire, mais cette fois cest mon envie, et pas poussée par mon chéri. Mon homme, toujours par 4 chemins, oui rappelez-vous il est routier, a tendance à déserter la maison trop souvent. Enfin je suis lasse de le voir partir et de ne profiter de lui que les week-ends et les périodes de vacances.
Nous avons néanmoins, en toute complicité, conclut un accord de relation libre lors de nos absences. Rarement Marc séloigne plus dune semaine, mais là pour de vagues raisons de disponibilité de son chargement, il reste dans les docks de Hanovre. Haute de mon autorisation de libertinage, je décide de rencontrer un couple avec qui javais déjà échangé quelques lignes via des sites plus ou moins coquins. Nous nous retrouvons dans un bar pour faire plus ample connaissance, discuter de nos envies, nos plaisirs et même nos jeux entre adultes. Laurent sabsente, de fil en aiguille nous avons cédé aux sirènes de la tentation. Sylvie me demande si je suis motivée pour une party. Jaccepte. Nous quittons le bar, la route vers chez eux (du moins je pensais) était à mon goût trop court. Sylvie a pris place à côté de moi sur la banquette arrière de cette belle berline allemande et na pas hésité un moment, comme pour ne pas perdre une minute, à parcourir mes zones sensibles. Excitée, je me laisse faire. Je nai pas remarqué le manège, mais je me suis retrouvée sans culotte et un bandeau sur les yeux. Laurent a dû suivre la scène depuis le rétroviseur et me dit quils vont réaliser le fantasme que jai relaté dans une de nos conversations à savoir être le centre dune tournante dans une cave.
La voiture sarrête, je sens toujours la présence de Sylvie mais Laurent a quitté la voiture quelques minutes. A son tour Sylvie quitte la voiture. Les secondes durent des heures.
La portière souvre, sans ménagement une main forte me tire de la voiture, me plaque contre la voiture une main passe sous ma robe et fouille pour vérifier labsence de dessous, remonte sur ma poitrine et libère mes seins de lentrave de mon soutien-gorge sans le retirer.
Je rentre dans un local. Deux mains douces me dirigent vers un siège. Je massois, il est froid. Je sens des bracelets entourer mes poignets et mes chevilles. Une femme me pose un collier et une laisse. Je me remets debout. Ma robe glisse au sol, suivi de mon soutien-gorge. Impudique je suis nue, seuls mes bas et mes escarpins ont lhonneur de me vêtir.
Au fil de ma progression, tenue en laisse et masquée, je sens le brouhaha réduire en murmure. Combien sont-ils ? Où suis-je ? Que me réserve-t-on ? Où sont Sylvie et Laurent ?
Soudain une voix émerge et remercie Sylvie et Laurent pour leur jouet. Jangoisse, je ne suis pas rassurée mais je suis néanmoins excitée.
Deux mains passent sur mon corps, pressent mes seins vigoureusement, me pince les tétons et me bouscule. Paniquée, je retombe sur un matelas en poussant un cri de frayeur. Mais immédiatement je suis bâillonnée par un artifice qui me maintient la bouche grande ouverte puis allongée sur un matelas, je suis écartelée et ligotée. Le matelas dégage une odeur indescriptible. Ma tête est dans le vide et tombe en arrière. Je peux deviner aisément que ma bouche est offerte. Je nai pas le temps de réaliser que déjà, je sens un sexe humide passer sur mon visage, et que plusieurs mains tâtonnent mes formes.
Une bouche se pose sur mon sexe qui doit livrer déjà des secrétions très visibles. Cette bouche achève lexcitation qui menvahit, je me tortille. Mon râle est étouffé par un sexe qui est venu se placer dans lorifice de mon bâillon. Ma langue inspecte ce mât de chair bien dur, il me lime la bouche, seule ma langue caresse le gland qui vient frapper le fond de ma gorge. Il ne tarde pas à décharger son nectar. Je reconnais la voix de Sylvie qui me dit « Tu peux avaler en toute confiance ». Je me laisse donc aller.
Jentends un bruit de chaîne, ma bouche est occupée par un troisième membre, fin et long, avec fougue, frappe le fond de ma gorge et à chaque percussion manque de me faire vomir. Mes jambes sont libérées, mais sont immédiatement accrochées à ces chaînes qui avaient attiré mon attention.
Un bruit mécanique se fait entendre et mes jambes semblent se hisser vers le plafond. Ma bouche est toujours occupée. Je reçois des giclées de liquide chaud sur le visage et mes seins, deux mains douces étalent ce que je pense être du sperme sur les seins en prenant soin de pincer mes tétons très durs.
Une voix virile annonce que Sylvie va choisir le premier traitement à infliger à cette chienne de bourge.
Le silence est de rigueur, je décèle des pas, puis un courant dair et immédiatement une vive douleur sur mon sexe, une lanière vient de sabattre dessus une première fois et cela à 5 reprises, les larmes coulent, mais la douleur a inondé ma chatte. Jai compris que mon rôle de bourge salope avait débuté. Mon deuxième supplice est annoncé, jai peur mais cela mexcite. Quelquun prend place sur le matelas et je sens très vite deux mains écarter mes fesses. Sans ménagement ce mât de chair pénètre mon anus. Cette pénétration irradie mon corps dune sensation de douleur et dexcitation. Il me lime férocement puis jouit dans mon cul de salope. Jaime. Sylvie me demande si japprécie mon traitement. Je nose pas répondre. Impatiente elle me pince les tétons avec violence, je réponds oui dun signe de la tête. Elle annonce à haute voix : « elle en veut encore cette salope de bourge
».
Dans le calme et toujours les yeux bandés, je ressens une certaine agitation. La suspension des jambes et ma bouche entravée sendolorissent. Je sens sur moi deux mains me caresser le ventre, les seins, les cuisses puis mon sexe.
On me redépose sur le matelas, et entrave mes chevilles, mes bras sont libérés. Je reçois un coup de martinet sur les seins avec pour ordre de me mettre à 4 pattes. Limpatience de « mon bourreau » se traduit par un deuxième coup. Ma lenteur de mouvement due à lentrave des chevilles me vaut dautres coups.
Me voilà en position. Mes poignets sen retrouvent entravés et je sens des liens finir mon immobilisation. Avec grandeur, cette voix grave déjà entendue, invite les convives à mutiliser à leur guise. On me retire le bâillon, mais jai à peine le temps de faire 2 à 3 mouvements quun sexe prend place et sactive en me tenant par les cheveux. Je me soumets à la tentative de pénétration anale que minflige un sexe de fort diamètre. Peine perdue il me burine la chatte avec férocité comme déçu par létroitesse de mon cul. Toujours la bouche violée, le jet de sperme claque dans ma gorge et je manque de m. Pas le temps de reprendre mes esprits, je sens un gland glisser sur mon visage et entrer dans ma bouche. Je joue de la langue autour du gland, mon assaillant est plus doux. Et je me délecte de ce sexe. Il se retire et jouis sur mon visage. Lhomme dans mon vagin jouit sur mon dos. Lorgasme est presque là, il sest retiré trop tôt. Mais ces hommes ne cherchent pas mon plaisir mais le leur. Un homme menfourche et me doigte lanus pour me préparer et une autre main assez douce glisse sur ma chatte. Lhomme prend possession de mon cul de salope, très vite rejoins par un autre qui va tenter de me prendre par le vagin. Oui, je satisfais à une triple pénétration anale, buccale et vaginale.
Sylvie me détache et me libère des bracelets mais je conserve les pinces sur mes seins et mes lèvres intimes. Je suis épuisée et je sens que mes orifices ont donné beaucoup de plaisir. Dans cette cave il ne reste plus grand monde. Un black qui est en train de se faire sucer par une brunette en talons hauts et jupette, et nous. Sylvie me guide vers la pièce où jai perdu mes vêtements. Laurent est allé récupéré la voiture et la mise à proximité de lentrée. Sylvie et Laurent me proposent de venir finir la soirée chez eux et me refaire une beauté.
Nous avons passé une soirée calme après une bonne douche avec Sylvie, un plateau télé pizza champagne.
Merci à Sylvie et Laurent, ils se reconnaîtront certainement car nous nous voyons encore de temps en temps.
Bise et nhésitez pas laisser vos commentaires.
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