Les Débuts De Quentin Kendall

Bonjour, je m'appelle Cathy Kruger. Avant, je m'appelais Quentin Kendall.
A 18 ans, j'ai été soulevé dans un cinéma porno. Assis au milieu de la salle, je regardais le film. Excité, j'avais sorti ma queue et je me branlais, quand une main vint se poser sur la mienne. Un mec était venu s'asseoir à côté de moi. Attentif à mon plaisir, je ne l'ai pas vu arriver. Quand la main s'est emparé de ma bite, la sensation a été telle que je me suis laissé faire. Elle était brûlante. Ma bite s'est tendue à me faire mal. De son autre main, le gars a déboutonné ma braguette. Sa main s'est introduite dans mon slip et a soupesé mes couilles. Il a écarté un peu plus mon jean et a saisi le slip.
- Soulèves-toi un peu, chuchota-t-il à mon oreille.
Le slip glissa jusqu'à mes cuisses. La main passa sous mes fesses pour en apprécier le galbe. Pendant ce temps-là, la main qui tenait ma bite, montait et descendait le long de la hampe, enveloppant le gland et effleurant la petite fente, me tirant un frisson à chaque passage. Les bras sur les accoudoirs, je restais en suspens, la bite en avant, les hanches tendues vers cette main qui me branlait. L'autre continuait à me pétrir les fesses. Il se pencha vers moi et prit ma bite dans sa bouche. Ses lèvres se refermèrent sur le gland et sa langue en fit le tour. Mes hanches se soulevèrent encore plus, enfonçant ma bite plus avant dans sa bouche. Les lèvres se serrèrent un peu plus et ma queue se raidit encore. Le gars se mit à monter et descendre sur ma bite, la salive aidant le glissement. Quand il sentit que j'allais jouir, il enfonça un doigt dans mon cul et je crachai mon sperme dans sa gorge. Il se releva et glissa à mon oreille :
- Qu'est-ce que tu fais ici à cette heure ?
Il devait être 23 heures. J'ai répondu que j'allais dormir là. C'est là qu'il m'a dit que si je lui offrais mon cul, je pourrais dormir chez lui. J'ai accepté.
Il m'a emmené dans une espèce de palace.

Au premier étage, une petite entrée avec plusieurs portes. Celle de droite donnait sur une chambre spacieuse, occupée par un lit à baldaquin. On aurait pu y dormir à cinq. Le gars ferma les volets et la pièce devint noire. Il alluma une lampe qui diffusa une lueur rouge. On se serait cru dans une boite de nuit. Il portait une cagoule noire, avec des trous à la place des yeux. Il s'approcha de moi et entreprit de me déshabiller. Il me fit asseoir sur le lit et enleva mes chaussures et mes chaussettes. Il dégrafa mon jean, et me repoussant en arrière, il s'agrippa au vêtement et le fit glisser sur mes jambes. Il me rassit et souleva mes bras. Il m'enleva le t-shirt. J'étais en slip. Il me repoussa de nouveau, me couchant en travers du lit.
Il se pencha vers moi et caressa mon torse. Ses mains chaudes parcouraient mes épaules, mon dos, mes bras. Ses mains glissèrent sur mes cuisses. Il m'embrassa dans le cou. Il se releva et, me prenant par une main, il me fit mettre debout. Il m'attira contre lui, me serrant contre sa poitrine. Il me caressait partout, avec des gestes très tendres. Son sexe, collé contre mon ventre, était raide et palpitait. Petit à petit, ses mains glissèrent de mes épaules à mon dos, et du dos à mes fesses. Il se saisit de mon slip et le fit glisser sur mes fesses, jusqu'à mes cuisses. Il me retourna et m'embrassa puis lécha mes fesses. Je bandais. Il me renversa à nouveau sur le lit et m'enleva le slip.
Il me retourna à plat ventre. Me prenant par les hanches, il me tira vers le bord du lit. Les genoux sur le sol, le torse aplati sur le lit, mes fesses étaient offertes. Le gars se déshabilla entièrement, sauf la cagoule. Il était plus grand que moi et son sexe était impressionnant. Largement plus grand et plus gros que le mien. Il était musclé et paraissait avoir la cinquantaine. Il s'agenouilla derrière moi et posa son gourdin sur mon dos, les couilles collées à mes fesses. Il passa ses bras devant mon visage et, devant mes yeux, il déchira l'emballage d'un préservatif.
Il l'enfila. Il me caressa de nouveau, partout, n'oubliant pas un centimètre carré de peau. Ça m'a détendu. Il a écarté mes fesses et de sa langue, il a lubrifié mon petit trou. De sa main gauche, il a tenu mes fesses écartées, de l'autre, il a posé son sceptre sur mon trou. Lentement, il a introduit son gland, puis, poussant avec ses reins, il s'est enfoncé tout entier dans mon cul. J'ai gémi de douleur. Ses cuisses collées à mes fesses, il a posé ses mains sur mes épaules et m'a embrassé dans le cou. Il a attendu que mon cul s'habitue au volume de sa queue. Quand mes muscles se sont relâchés, il a commencé à glisser entre mes fesses. Il a passé une main sous mon ventre et s'est emparé de ma queue. En cadence, sa main montait et descendait le long de ma bite, à la même vitesse que sa queue qui entrait et sortait de mon cul. Nous avons joui en même temps.
J'ai passé toute la nuit, nu, sur ce lit. De temps en temps, quand je m'éveillais, je voyais le gars qui me regardait dormir.
Le lendemain matin, il me réveilla. Il refusa que je m'habille. Il me traîna vers une autre pièce et ouvrit une armoire. Il sortit une petite culotte.
- Essaies ça, dit-il.
Je revêtis le sous-vêtement et il m'emmena dans une autre pièce. Sur une table, un petit-déjeuner pour deux. Il portait toujours sa cagoule.
- Quel âge as-tu ?
- 18 ans !
- De la famille ?
- Non !
- Que fais-tu ?
- Rien !
- J'ai une proposition à te faire. Je travaille dans une grande université à Paris. Je t'inscris comme étudiant. Ça ne te coûtera rien. Tu auras ta chambre et tu pourras aller et venir comme bon te semble. Tu passeras tes classes automatiquement. Tous tes frais seront payés, repas, garde-robe, tout ! Quand tu en as assez, tu arrêtes et tu t'en vas. Le doyen t'expliquera ce qu'il attend de toi. Qu'est-ce que tu en dis ?
C'est ainsi que je me suis retrouvé étudiant à Paris.

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