La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°249)
Suite de l'épisode précédent N°248 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré -
Elle loblige à enjamber le rebord de la baignoire pour entrer debout dans leau encore tiède tandis que dune autre main, elle a ouvert le robinet deau chaude pour réchauffer le bain qui avait fini par refroidir sérieusement
.
- Laisse-moi faire, je vais te savonner sur tout le corps. Tu aimes au moins ? Parce que moi cest un de mes fantasmes de te voir rempli de bulles de savons et je nai pas eu souvent loccasion de le faire à un homme. Mais toi, tu ne mas jamais dit quels étaient tes désirs et surtout tes fantasmes. Tu sais tu peux tout me raconter. Dailleurs, on va jouer à un jeu, tu veux bien ? Je vais te dire un de mes fantasmes et après ce sera ton tour. Mais il ne faut pas tricher, sinon ce ne sera pas du jeu, et on devra aussi se dire si on aime un peu ou beaucoup ou encore plus que beaucoup et si on la déjà fait.
Thaïs raconte nimporte quoi, le plus stupide possible de surcroît, pour lancer ce jeu et tenter de découvrir les fantasmes de son partenaire en essayant de le sortir un peu de son approche assez coincée de la sexualité; il lui avait embrassé un peu plus tôt sa poitrine à sa demande et navait même pas envoyé la main sur sa chatte à ce moment là. Jamais Thaïs naurait imaginé quun homme soit aussi peu entreprenant, surtout quils avaient déjà consommé par deux fois dans laprès-midi et quil ne risquait donc pas de se voir opposer un refus. Mais toutes ces retenues quil simposait devaient bien cacher des désirs inavoués et inassouvis à fortiori. Elle naime pas plus que ça lidée de savonner un homme nu dans un bain, mais que naurait-elle pas fait pour son Maître Vénéré. Et donc Isabelle avec un large sourire candide ajoute :
- Cest moi qui commence notre petit jeu. Mon premier fantasme, je viens de te le dire. Je suis en train de le réaliser. Tu vas avoir du savon de partout, de partout, de partout (dit-elle en éclatant de rire)
Ses mains se portent sur la queue qui bien évidemment répond aussi sec à la caresse dIsabelle en se redressant fièrement.
- Je continue à te savonner, mais pendant ce temps, tu dois me dire lun de tes secrets ne ment pas, sinon ton nez va sallonger, cest ce que me disait ma maman quand jétais petite.
Cétait bel et bien Isabelle qui ment, et ce de la manière la plus effrontée possible, avec cette pointe dhumour, presque infantile qui la rend si crédible dans la pureté de son innocence affichée.
- Tu sais Isabelle, je nai pas vraiment de fantasmes à te raconter. Je suis quelquun de normal qui na pas de désir particulier autre que de faire lamour avec une femme et dy prendre du plaisir pour pouvoir en jouir.
- Non Thierry, tu me mens ! Tous les hommes ont des fantasmes. On voit cela écrit dans tous les livres. Tu ne vas pas être le seul homme au monde qui nen aurait pas. Tu penses à quoi quand tu te caresses
. Je suis vraiment triste que tu le prennes comme cela, cétait un jeu mignon et toi tu triches
Tu ne me fais pas confiance, cest cela !
. Bon et bien pour la peine, je nai même plus envie de continuer et de te savonner le reste du corps
.. tu peux te rincer dans le bain, moi qui croyais que jallais pouvoir te faire plaisir de la manière que tu aurais voulu vraiment au fond de toi, et toi tu ne veux même pas maccorder ce plaisir là.
Isabelle se trempe vite fait dans le bain et sort immédiatement après. Elle doit le pousser dans ses retranchements, si elle veut arriver à le décoincer et quitte donc aussi sec la salle de bains. Elle le fait dautant plus rapidement, quelle sait que les caméras ne peuvent filmer et enregistrer que ce qui se passe dans la chambre, le passage par la salle de bains nétait quune excuse, mais maintenant elle doit jouer la partie plus finement, pour arriver à faire tomber les boucliers protecteurs de larmature rigide de son amant.
- Thierry, je nai pas juste envie de faire lamour avec toi et que nous jouissions ensemble, jai envie que nous fassions lamour de manière sublime, comme tu ne las jamais fait, comme je ne lai jamais fait, en sapportant lun lautre les plaisirs que lautre attend ou espère et quil na peut être même jamais osé exprimer et encore moins réaliser. Et puis jaimerai quand même que tu deviennes un peu plus cochon, et que tu aies envie de sexe viril en plus de moi, pas simplement dAmour pépère comme si on avait soixante-dix ans. Cest toi le mec, dit moi ! Cest toi qui devrais avoir envie de me sauter et de me baiser comme une bête.
- Ecoute Isabelle, oui je pourrai avoir envie de te baiser comme une bête et même de tenculer comme une salope, et te faire plein de cochonneries dégoûtantes, mais on ne peut pas dire des choses comme cela, car lAmour, cest et ce doit rester beau et pur. Je naime pas ce qui est vulgaire et bestial, quand les hommes ne sont excités que par leur queue et non pas leur tête.
- Mais qui te parle de vulgarité, moi je te parle dAmour vrai, dactes damour sublimes, dérotisme et pas de pornographie, de désirs et de plaisirs, de souhaits et de fantasmes. Il ne faut pas avoir honte de ses fantasmes, tu peux men parler librement et je pense que nous pourrons arriver à réaliser certains des tiens et certains des miens aussi, si nous voyons cela comme un jeu sain destiné à décupler nos sensations et notre jouissance. Je ne ferai rien de ce que tu nas pas envie de faire, mais je te ferai tout ce que tu as envie que je te fasse. Et jaimerai que tu puisses moffrir la même chose en échange. Je ne vois pas où tu vois la vulgarité et la bestialité là dedans, si nous sommes tous les deux daccord et consentants pour nous apporter du plaisir mutuel et du bonheur extrême et réciproque.
Isabelle se retourne aussi sec pour se mettre en levrette et de ses deux mains, elle écarte le plus largement possible les deux globes fessiers pour lui montrer sa petite rondelle qui cherche à lattirer en elle. Thierry nen peut plus de se contenir dans un carcan de tabous et de politesse surannée, devant cette femelle en chaleur qui narrête pas de faire frémir son cerveau reptilien, il étouffe et finalement se lâche. Il empoigne Isabelle qui attendait quil lencule, pour la retourner et la coucher sur le lit sans ménagement.
- Alors, cest cela que tu veux du sexe, du sexe pur et dur, finalement tu étais peut-être bien à ta place chez ton Maître, sauf que je commence à en avoir assez que tu me prennes pour un moins que rien. Je ne me comporte pas en Homme, as-tu eu le malheur de me dire. Et bien, tu vas voir ! Tu la veux ma queue, et bien, tu vas lavoir, mais pas comme toi tu veux, comme moi je veux. Tu voulais voir mes fantasmes et bien tu vas y goûter la belle. Je ne suis pas ton Marquis, ni ton Maître, mais je suis un homme, et jentends bien que tu ne loublies pas, toi qui finalement na été quune putain soumise dans ton espèce de château.
Thaïs au fond delle jubile intérieurement car elle sait quelle est en train de le faire sortir de ses gongs. Elle a su toucher son point sensible en lui disant quil ne se comportait pas en homme. Il lui faut donc continuer à appuyer à lendroit précis, même si elle sait que les représailles risquent fort de se faire sentir, mais elle pense à ce moment là aux ordres de son Maître, ce qui lui donne du courage dans sa perversité.
- Oui, tu vois, tu nas même pas été capable de menculer à linstant. Est-ce ta queue qui sest ramollie ? Tu me las joué très prince charmant toute laprès-midi, mais finalement tes couilles sont vides et ta queue na pas beaucoup dénergie à me besogner.
Sans même avoir eu le temps de les voir venir, Isabelle reçoit deux gifles majestueuses de chaque côté du visage ; si elle avait eu un miroir, elle aurait pu voir la trace de tous les doigts. Elle en est presque sonnée sur le coup.
- Cela suffit petite putain, tu cachais bien ton jeu. Moi qui te prenait pour une jeune fille martyr, tu nes quune chienne en chaleur, une nymphomane, pas étonnant que tu aies atterri entre les mains dun Maître qui na eu quà profiter de tes mauvais penchants. Mais puisquil ny a que cela pour te satisfaire, du sexe pur et dur, tu vas en avoir
Et je peux te dire que mes fantasmes à moi, ils ne sont pas à leau de rose, et ce nest pas juste une histoire bien mignonne de bulles de savons.
Thierry tire Isabelle pour que sa tête soit au centre du lit et il lenjambe en lui disant.
- Tu voulais du sexe, et bien tu vas commencer par me bouffer le cul, petite salope.
Il tient sa tête fermement entre ses cuisses pour lempêcher de bouger et pendant ce temps là, il la immobilisé en mettant ses mains sous les siennes bras écartés. Isabelle fait semblant de pleurer car même si elle napprécie pas ce quelle est en train de subir, elle sait que son Maître sera ravi et ce dautant plus que sans le savoir Thierry est positionné de telle manière quune caméra prend son visage de manière tout à fait identifiable en train de la forcer, pratiquement de la violer, et que lautre caméra filme son cul quIsabelle entreprend de lécher sous les injures qui ne cessent de fuser.
- Alors petite salope, tu te dépêches de me lécher, je veux sentir ta langue en action. Tu voulais du sexe et bien tu es servie.
Il sest appuyé complètement sur le visage dIsabelle manquant presque de l surtout quelle ravale maintenant de vrais sanglots sous la contrainte quelle navait pas prévue et loppression quelle ressent manquant de respiration. Ce nest quau bout dun long moment quil se décide à lâcher la pression quil exerçait, se redresse, fait pivoter sans attendre Isabelle qui se retrouve à plat ventre en moins de deux, puis lui tire les fesses en arrière pour lobliger à se redresser à quatre pattes. Sans la moindre précaution, il présente son gland devant lanus dIsabelle qui est un peu abasourdie parce ces quelques minutes où elle a cru littéralement. Il pousse un grand coup sauvage avec un râle comme celui dun guerrier qui partirait à lassaut de la bataille. Isabelle hurle sous la douleur de la pénétration faite sans ménagement à sec, et ce dautant plus quelle néprouve ni désir, ni plaisir au départ à être baisée par ce type qui lui est devenu odieux finalement, même si elle sait quelle ne sera entre ses mains quaussi longtemps que son Maître le jugera utile. A grands coups de queue, Thierry la laboure sans ménagement, ses couilles viennent taper à chaque coup sur ses fesses et il lencule sans lui accorder le moindre répit.
- Alors cest cela, je ne suis pas un homme et ma queue nest pas à la hauteur de ce que tu en attendais. Et ma virilité nest pas assez bonne pour Madame qui voulait du sexe pur et dur.
Il continue à la besogner tout en appuyant sur le dos de la belle en levrette pour la forcer à courber le dos, jusquà ce que sa tête repose sur le lit. Le plaisir ne tarde pas à monter en lui, car jamais il navait eu le courage de baiser une femme ainsi, et cest donc de très longs jets quil déverse dans lanus de celle quil vient de sodomiser sans ménagement et sans la moindre attention, ni galanterie masculine. Il pousse de grands cris tandis quil éjacule sous le regard des caméras dissimulées :
- Salope, et bien dit-moi ! Oui, dit-moi, salope, tu as eu ce que tu voulais ?
Elle ne dit mot sur le coup mais elle se l'avouait à elle-même, le plaisir qu'elle ressentit tout de même, d'avoir été baisée ainsi par le cul si sauvagement , après la douleur première fut apprécié, oui un plaisir physique mais aussi Le plaisir de savoir que son Maître serai si fier d'elle ...
(A suivre
.)
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