Première Expérience Homosexuelle - 3
Voici la suite de mon stage à Paris.
A la fin de mes quinze premiers jours, j'ai rencontré un homme dans un ciné X, on s'est offert un peu de bon temps, et on s'est promis de se revoir.
Je remonte à la capitale, passe la semaine en banlieue avec les autres stagiaires, puis vais sur Paris le vendredi après midi, comme pour rentrer chez moi. En fait je vais rester chez Louis, mon mec du ciné. On s'est donné rendez-vous dans la salle de cinéma, et j'y entre tout tremblant d'excitation.
Je vais directement au fonds de la salle, et le devine avec joie. Je passe devant les deux minets qui sont là eux aussi, et qui se sucent, puis je rejoins mon homme pour m'asseoir à côté de lui. Il me fait une bise:
- Salut, tu vas bien?
- Oui, mais j'ai eu peur que tu ne sois pas là.
- Tu plaisantes, j'ai trop envie de toi. J'ai eu peur moi aussi que tu ne viennes pas, à cause de mon âge.
C'est vrai qu'il a plus de cinquante ans et que je n'en avais que vingt-et-un à l'époque. Je lui dis que l'on s'en fout, que tout ce qui m'intéresse c'est sa grosse queue. Au même moment je saisis de son sexe qui est à l'air libre et bien dressé, et je me penche dessus pour le sucer. Il me laisse le pomper en me caressant la tête, et je lui dis que j'ai envie que l'on aille au fonds comme la dernière fois.
Deux minutes plus tard on est en place. Il est à poil, debout sur les accoudoirs de la dernière rangée, et adossé au mur. Je suis émerveillé à la vue de son paquet, une bite énorme, et des boules encore plus grosses que l'autre fois:
- Ces couilles! ces couilles que tu as, tu me rends fou. Elles sont trop belles, et ta queue aussi.
- Je n'ai pas jouis depuis que tu m'as appelé il y a dix jours, j'ai tout gardé pour toi, au cas où tu voudrais me pomper à fonds.
Il croit toujours que je n'ai connu aucun homme à part lui, et je lui dis que j'aimerais essayer, mais ne suis pas sûr (je ne lui parle pas de mon aventure dans le train, et de nos pipes juteuses avec mon co-passager).
Il gémit, m'encourage, et me caresse tendrement la tête. La séance dure, puis il me prévient qu'il ne va plus pouvoir se retenir. Il descend et je le suis aux toilettes. Il se met devant le lavabo, disant que ce sera mieux ici si je me retire au dernier moment, par peur de son sperme. Je m'accroupis et le reprend en bouche. Je m'active à le turluter lorsque la porte s'ouvre. Ce sont les deux jeunes, mais cette fois-ci je n'en ai rien à faire et n'essaie pas de me cacher, au contraire. Je suce une grosse queue, une très grosse queue, je la prend toute et j'en suis fier.
Les jeunes ne s'occupent pas de nous, et ils vont s'enculer à tour de rôle, et s'offrir leur foutre. Louis vient, m'avertit, et sur ces conseils je ne garde que son gland entre mes lèvres, pour laisser de la place dans ma bouche pour vidanger ses grosses burnes. Je reçois une première giclée qui manque m', suivie de plusieurs autres aussi fournies. Je garde tout, puis je le suce à nouveau et pousse son sperme avec son gland, jusque dans ma gorge. J'ai tout engloutit et il me relève.
Il me félicite, et me propose une pipe. Je baisse mon froc, et je décharge rapidement sur sa langue. Il avale tout, et on reste encore pour mâter les deux jeunes, plus jeunes que moi, qui s'enfilent à tour de rôle. Ils ont terminés, et repartent se sucer en salle. On décide de partir.
Il est 19h et on va à la gare où j'ai laissé mon bagage en consigne. Il y a des bars et restaurants autour, et on prend le temps de boire deux verres et de manger. Je récupère ma valise et on va chez lui.
Il m'emmène direct à sa chambre, ouvre le lit, puis entreprend de me déshabiller. On est debout, et je me laisse faire, excité et anxieux à la fois. Il enlève ma chemise et me caresse le torse, y dépose des baisers. Ses lèvres remontent dans mon cou, et il me dit des mots gentils à l'oreille: que je suis beau, mignon, que je lui plais, qu'il a envie de moi, et m'appelle "mon chéri".
- Doucement, je suis trop excité.
- Tu veux que je te pompe? Ça ira mieux ensuite, et je pourrais t'aimer comme tu mérites l'être..
- Oui, si tu veux.
- Tu es un petit coquin, qui aime se faire sucer, et qui aime la queue. Allonges toi mon chéri, j'arrive.
Je suis sur le lit, il se fout à poil et vient à quatre pattes entre mes jambes. Il me suce en me fixant dans les yeux:
- Ça te plaît de te faire pomper par un mec! Elle est belle ta queue mon chéri, vas-y, soulages toi, et je vais m'occuper de ton cul.
Il suce trop bien, et je décharge sans tarder. Il prend tout en bouche, mais n'avale pas. Il recrache mon sperme dans un verre, et m'invite à le suivre à la salle de bains. Il me lave le cul, puis m'offre le sien à laver aussi; on revient à la chambre.
Je suis à nouveau allongé sur le dos, et il me fait soulever les reins pour glisser le traversin en dessous. Il relève mes jambes, et je passe mes bras par dessus pour les maintenir en l'air. Je m'attends à recevoir sa saillie, mais c'est sa langue qui explore ma raie. Le salaud, je n'aurais jamais imaginé chose pareille, chose que je n'ai jamais vue dans mes films porno. C'est bon, c'est bon sa langue qui taquine mon petit trou. J'en éprouve du plaisir, et à l'entendre gémir, il prend son pied lui aussi. Il salive sur mon illet, puis enfonce un doigt. Je gémis moi aussi comme pour l'encourager à aller plus loin. Un deuxième doigt suit, puis un troisième. Il me fouille, élargit mon trou, alterne doigts et langue.
Il se relève et me fait mettre à quatre pattes, le cul au bord du lit. Il me lèche à nouveau, salive dans mon fion, me fouille, et un quatrième doigt vient s'ajouter aux autres. Il tourne sa main entre mes fesses pour bien me dilater et me félicite pour mon ouverture. Il se lève pour prendre le verre qui contient mon sperme, trempe son gland et étale mon jus dessus avec ses doigts; puis déverse le contenu dans mon anus béant me disant que c'est le meilleur des lubrifiants.
Je me redresse à sa demande, pour que mon sperme s'écoule vers la sortie. Dès qu'il le voit apparaître, il plaque son gland énorme sur ma rondelle, et repousse ma semence en mon intérieur en même temps qu'il enfonce son pieu. Je serre les dents pour ne pas crier, pour pas qu'il se retire. Il est tout en moi et mon plaisir supplante ma douleur. Il me tient par les hanches et s'inquiète pour moi:
- Ça va mon chéri? Je ne te fais pas mal?
- Non, c'est trop bon ta grosse bite dans mon cul. Baises moi, j'ai envie.
Il se met en mouvement, me lime tendrement pour commencer, puis accélère voyant que j'aime ça. Il se retire et me dit qu'il veut me prendre sur la commode. Il débarrasse le dessus, pose une couverture, et je m'allonge dessus, le cul au bord, les jambes pendantes. Il les relève, pose mes chevilles sur ses épaules, et je sens son engin me pénétrer à nouveau, pour mon plus grand plaisir. Il me baise de plus en plus en plus fort, me matraque, me défonce, me traite de salaud, de pédé, les yeux dans les yeux.. C'est bon, trop bon, et je jouis du cul comme j'imagine une femme jouir de sa chatte. Il me baise longtemps, puis me laisse le choix pour la fin: mon cul ou ma bouche.
Je ne sais que choisir, ai envie des deux, et il me propose une alternative. Il décharge dans mon cul, inonde mes reins de ses giclées brûlantes, et reste en moi jusqu'au dernier soubresaut de sa queue. Il se retire et se baisse pour me bouffer le cul, me l'aspirer. Il récupère son jus, sans l'avaler, et vient au dessus de ma bouche pour le recracher. J'ouvre la gueule en grand pour ne rien perdre de son offrande, et je savoure sa semence tandis qu'il finit de me nettoyer le cul, et de bouffer son foutre.
On se recouche et il me remercie, me félicite, pour ce bon moment. Il n'a réussi à sodomiser que deux mecs jusqu'à aujourd'hui, un travesti qui se prostitue et un vieux qui s'offre à tout le monde. Je suis sa troisième conquête, sa plus belle conquête.
Il me branle, et me sentant dans de bonnes disposition, me demande de le baiser. Il s'allonge sur le dos, ramène ses jambes sous les bras, et veut que le prenne de face, sans préliminaires inutiles vu l'état de son trou impatient. C'est ma première fois, et je m'excuse d'avance si je m'y prends mal.
J'ai ma bite dans son cul, et j'en éprouve un immense plaisir. Il me conseille, m'encourage, me dit que je le baise bien, que je suis un bon enculeur. J'ai pris le rythme, et je le défonce à grands coup de reins. Il gémit, grogne de plaisir, me demande de l'embrasser. Je continue à le limer et on se roule des pelles. Je vais bientôt jouir, et lui demande où il me veut. Il ne veux pas me forcer, mais il aimerait que je fasse comme lui, que j'inonde ses reins, puis que je récupère mon sperme pour le recracher dans sa bouche. Je ne lui refuse pas ce plaisir, je lui nettoie le cul, et je trouve ça très agréable.
On éteint la lumière, et on se couche. Je lui tourne le dos et il se plaque contre moi, me serre contre lui. On discute, et il me dit qu'à mon âge il se branlait en permanence et pouvait se faire jouir une dizaine de fois par jour. Il espère que c'est pareil pour moi, et me demande de le baiser plusieurs fois dans la nuit si j'en ai envie, sans hésiter à le réveiller. On passe une nuit agitée et je vais l'aimer encore deux fois et lui une fois.
Le samedi matin on sort pour s'aérer et il me fait visiter son quartier. On déjeune dehors, puis on repart chez lui pour passer l'après midi au lit. Il a une télé et magnétoscope dans la chambre, et des cassettes X avec des morceaux choisis, des scènes hard sans scénario, du sexe à 100%. Il y a des scènes gays et des scènes hétéros. On baise pendant les premières, on se suce et on s'encule en même temps que les acteurs. On se repose pendant les scènes hétéros, on se caresse, on s'embrasse, on déverse des insultes à l'attention des femelles et on encourage les mâles à jouir et les faire jouir.
On ressort, et on rentre tard, pour une deuxième nuit blanche.
On fait la grasse matinée le dimanche matin, et il me parle du vieux qu'il encule.
A suivre........
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