Leslie La50

Leslie LA50 – Laure, le journal intime - Tendres voisines, suite et fin

Sans perdre la moindre seconde, Dominique se défait de son corsage et laisse choir sa micro jupette sous laquelle, elle non plus, ne porte rien …
La voilà aussitôt entièrement nue devant moi : son corps est en tout pareil à celui de Sophie à ceci près qu’elle a des formes plus épanouies que la première de mes courtisanes et qu’elle présente la particularité d’avoir une abondante toison pubienne d’un éclatant blond doré alors que, comme je viens de vous le dire, ultra féminine, Sophie est entièrement épilée, lisse et glabre comme une petite gamine…

Mais dans l’état où Sophie m’a laissée, que puis-je faire d’autre ? Je ne peux décemment attendre plus longtemps qu’on s’occupe de moi car, tout à fait enivrée maintenant que l’alcool a fait son effet, j’ai une envie folle de faire l’amour, avec ces deux jeunes filles.
- Vite, vite, les suppliais-je, venez vite près de moi, j’ai grand besoin qu’on me lèche le minou…
Sans se faire prier et sans la moindre concertation, elles s’agenouillent toutes les deux devant le canapé et se positionnent le long de mon corps ainsi entièrement offert…
Sophie s’occupe de mes seins qu’elle presse et malaxe vigoureusement alors que sa langue vient se perdre sur mes lèvres pour de profondes caresses buccales.
Dominique s’est immédiatement placée à la hauteur de mon sexe dont elle a écarté les lèvres sans la moindre hésitation et d’autorité, elle prend possession de mon intimité et me mouille la vulve de quelques grands coups de langue particulièrement bien appliqués puis, sans prévenir, enfonce d’un coup son majeur au plus profond de mon vagin.
Alors qu’elle joue de ses phalanges pour me caresser le sexe de l’intérieur, elle approche son visage de ma fente et se met à titiller du bout de sa langue mon clitoris gonflé de désir…
Sous l’effet d’un tel traitement, celui-ci s’érige de plus belle et darde impudiquement.


Sophie, viens ici, on va lui sucer le clito à deux, elle semble adorer ça ! lance Dominique à sa comparse.
Celle-ci abandonne volontiers mes seins et ma bouche pour venir se coller à mon sexe, d’autant plus facilement que Dominique vient de glisser un gros coussin sous mes reins pour faire ressortir mon joli Mont de Vénus glabre qui a l’air de tant leur plaire…
Alors que Sophie s’applique à me lécher le sexe de plus belle en me doigtant simultanément, Dominique en profite pour glisser une main entreprenante sous mes fesses et introduire subrepticement un doigt dans mon petit œillet froncé…
Le doigt de l’une devant et maintenant le doigt de l’autre derrière, la chatte bouffée, je suis aux anges et ces deux vicieuses me font onduler le bassin au rythme de leurs vas et viens digitaux dans mes deux orifices, elles entremêlent leur langue comme des serpents en transformant leurs séance de léchage en de salaces baisers passionnés au creux même de ma cavité sexuelle…
Je prends un pied d’enfer et ne manque pas de leur hurler mon plaisir :
- Oh oui, mes salopes, encore, encore, dévorez-moi la chatte et défoncez-moi les trous !
Au bout d’un moment, plutôt passive jusque-là, j’ai davantage envie de passer à l’action, moi aussi. Je les supplie donc :
- Laissez-moi vous lécher aussi, faisons un double soixante-neuf !

Alors, dans un parfait mouvement tout empreint de douceur et de tendresse, nous nous laissons glisser sur l’épais tapis du salon et nous disposons en triangle de manière à ce que chacune d’entre nous ait à portée de la bouche le sexe d’une compagne et sur son propre sexe la bouche d’une autre…
Ainsi, je lèche Sophie en étant sucée par Dominique, elle - même mangée par Sophie que ma bouche dévore…
Nos sexes sont trempés, tant par la salive de nos saphiques amies que par la cyprine que notre plaisir en fait suinter…
Nous changeons plusieurs fois de position, inversant les rôles pour qu’aucune d’entre nous ne soit déçue, c’est maintenant Sophie qui me caresse de sa langue gourmande alors que je déguste Dominique, elle-même en pleine action dans l’entrejambe de Sophie.

Par moments, nous modifions encore notre triangle amoureux en nous rejoignant à deux sur la troisième d’entre nous…
Sophie, la véritable soumise d’entre nous, apprécie plus particulièrement de se laisser faire, nous ne nous privons donc pas pour exploiter au maximum sa grande disponibilité à accueillir notre langue et nos doigts au plus profond de chacun de ses orifices…
Nous passons un long moment à nous aimer de la sorte, chacune d’entre nous se laissant inonder par les vagues de plusieurs jouissances successives…
Après plus de deux heures d’un très intense plaisir, fourbues, courbaturées mais au comble de la satisfaction, nous décidons de nous accorder une petite pause.

Nous passons, chacune à notre tour, à la salle de bains pour nous rafraîchir, nous doucher et nous parfumer avant d’attaquer la suite des événements…
Pour nous amuser un peu et ne pas rester simplement nues, nous préférons revêtir de mignons petits dessous sexy et des nuisettes.
Nous décidons de passer le restant de la nuit ensemble et, pour ce faire, Sophie et Dominique sont retournées quelques minutes chez elles et apporter les accessoires nécessaires aux nouvelles manœuvres qui nous attendent…

Nous nous faisons plaisir en prenant un bon repas que nous avons préparé à tour de rôle quand l’une de nous n’était pas occupée dans les bras d’une autre.
Après avoir dégusté nos petits plats, accompagnés des vins adéquats et clôturé le repas par un digestif régional, nous sommes à nouveau en pleine forme pour reprendre nos ébats…
Pour ma part, je suis encore un petit peu crevé, mais la perspective de jouissance me redonne du désir, alors nous nous installons confortablement toutes les trois dans le canapé pour visionner une cassette, juste histoire de faire remonter la pression.
Dominique insert une vidéo dans le magnétoscope en me disant :
- Tu vas voir, Laure, c’est très spécial !
Le premier film s’intitule « Partouze Lesbienne » et met en scène plusieurs filles particulièrement délurées et vicieuses…
En fait, on n’en dénombre pas moins d’une bonne dizaine qui, sans la moindre présence masculine, se laissent aller aux pires extrémités des pratiques homosexuelles féminines…
Nous regardons les scènes avec passion, ce qui produit sur nous un effet immédiat !
Très admirative de ces nombreuses et jolies femelles en rut, Sophie, après quelques molles caresses, passe rapidement à la vitesse supérieure et n’hésite plus longtemps à se masturber vigoureusement par-dessus son petit string bleu…
Elle est tellement pressée de se faire jouir qu’elle s’enfonce carrément un doigt à travers la mince barrière de dentelle…
Dominique, plus à l’aise, n’a pas attendu pour retirer son petit déshabillé de soie et, à nouveau dans le plus simple appareil, m’invite à laisser s’égarer ma main dans les replis de son sexe caché par son abondante mais douce et soyeuse toison dorée…
Je n’hésite pas plus longtemps et plonge volontiers entre ses cuisses.


Lorsque commence le deuxième film « Des gouines et des godes », nous sommes à nouveau entièrement nues toutes les trois…
Sur l’écran, défilent des images de jeux de doigts particulièrement osés et l’utilisation d’imposants phallus de caoutchouc qui rentrent et sortent d’orifices, de ces dames, trempés de plaisir.
Nous n’y tenons plus et voulons au plus tôt nous identifier aux actrices du film, Dominique fouille dans son sac et en sort une splendide collection de godes dont nous allons nous servir immédiatement…
Il y en a de toutes les tailles, de toutes les couleurs et de tous les modèles, certains sont particulièrement impressionnants au point que je me demande comment on va parvenir à se les enfoncer !
Mais la passion et l’envie résolvent bien des problèmes et trouvent des réponses à bien des questions…
Toute la nuit, nous jouons avec ses extraordinaires godes qui sortent du vagin de l’une pour entrer aussitôt dans l’anus d’une autre en étant repassé par la bouche d’une troisième…
C’est de la pure folie !
Dominique, assurément la plus vicieuse de nous trois, se fait un devoir de sucer systématiquement chacun des ustensiles que Sophie et moi venons de nous introduire.
Comme ça, je vous goûte aussi de l’intérieur ! Nous dit-elle avec délectation.
On s’essaye à tout, les longs, fins, lisses, gros ou nervurés et veinés, chacun de ces affriolants jouets de plaisir passent dans chacune d’entre nous.
Alors que Sophie nous implore de s’occuper encore davantage d’elle, je décide d’aller au-devant de mes limites en me servant d’un double dong particulièrement long, quarante-cinq centimètres !
Son étonnante souplesse permet pourtant de le courber au point de pouvoir l’introduire simultanément devant et derrière, les gros glands qui coiffent ses deux extrémités produisent un effet diabolique et je les sens presque se toucher au plus profond de mon ventre, seulement séparés par la mince paroi qui délimite mon vagin et mon conduit anal !

Nous sommes insatiables !
Mais le gode que Sophie veut qu’on lui introduise entre les fesses est tout simplement affolant, un gode d’une trentaine de centimètres et très gros, certainement plus de six de
Après une longue préparation visant à dilater son petit trou au maximum, avec Sophie, nous entamons une lente et délicate intromission…
Sophie, à quatre pattes par terre, la croupe fièrement dressée, hurle !
- Oui, je suis prête !
Et au fur et à mesure que nous lui introduisons ce monstre en elle, Sophie hurle sa joie d’avoir ainsi le derrière défoncé par le gros membre factice.

Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, ce monstrueux mât de latex rentre progressivement dans ses fesses !
Alors que Dominique s’emploie à le faire pénétrer le plus loin possible tout en masturbant de sa main libre le clitoris en fusion de sa copine, moi, je me place en dessous de celle-ci pour qu’elle puisse à loisir me lécher l’entrejambe pendant que je lui dévore les seins et la chatte…
Submergées par d’incroyables vagues d’un formidable plaisir intense, nous explosons bientôt toutes les trois d’une fantastique jouissance qui nous trempe les cuisses et nous laisse hurler notre jouissance.
Puis abandonnant nos impersonnels gadgets de plastique, nous nous réfugions dans la chambre où nous nous blottissons toutes les trois au creux du grand lit et après nous être encore amoureusement cajolées et tendrement embrassées, quelques douces paroles échangées suffisent à nous endormir profondément.

Lorsque nous sortons, le lendemain matin, nous avons trouvé ce petit mot épinglé sur la porte :
« Salut les filles,
Nous sommes les trois mecs beaux et sympas et nous habitons le loft du quatrième, juste au-dessus de vous et hier on vous a entendu vous amuser et on aimerait pouvoir participer !
On vous attend.
Fred, Marc et Bo. »
Dans un grand éclat de rire commun, Sophie arrache le billet et le chiffonne, avant de le jeter sans autre forme de procès, en disant :
Pourquoi s’emmerder avec des mecs qui n’ont qu’une envie, celle de nous baiser et de nous enculer, nous avons tout pour nous rendre heureuses.
Et c’est en riant que nous partons vers les remontées en ne rêvant qu’au moment de nous retrouver ce soir, pour nous aimer encore, mais sans mecs…

A suivre…

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