Mon Traitement Préventif Contre La Maladie 1
Dans mes souvenirs je vous ai raconté mes débuts dans ma vie amoureuse. Voici des tranches de ma vie actuelle.
Il y a maintenant dix ans que je suis marié avec Géraldine, mon entreprise marche très bien, de petite agence de dépannage, je suis devenu la plus grosse boite multiservices de la région, je ne me déplace plus sur les chantiers, jai une trentaine douvriers qui le font à ma place et aussi une quinzaine de commerciaux qui patrouillent dans toute la région pour me décrocher des chantiers. Je ne moccupe plus que de gestion. Ma vie de couple est parfaite, nos deux s grandissent doucement, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Un seul petit hic, notre vie sexuelle, elle sérode, nous nous connaissons trop bien, de pratiquement tous les jours au début de notre rencontre, nous ne nous câlinons plus quune fois par semaine et encore quand tout va bien. Heureusement que jai quelques clientes qui en échange de petites remises se trouvent vite très câlines. Je naurais pas pu tenir, avec Géraldine, nous sommes obligé de le faire le plus discrètement possible, à cause des s qui dorment dans les chambres à coté, ce nest plus le grand pied comme avant. En plus, comme elle continue à être hostile à toute sorte de contraceptifs , je suis en permanence obligé de calculer pour savoir si je peux rester ou non en elle sans trop de risques. Dans les périodes a risque, je me contente dune éjaculation sur son ventre ou ses fesses et après le premier coup quand il arrive quelle en redemande, je me contente de la faire jouir avec ma langue et mes doigts je mabstiens de la pénétrer dans le vagin, cest dur mais cest le seul moyen que jai trouvé pour ne pas lengrosser une nouvelle fois. Elle, apparemment inconsciente des risques quelle court ou peut être perfidement, elle voudrait que je reste tout le temps en elle.
Son truc de me faire jouir sur demande est maintenant périmé. Ma peur de replonger dans les déboires dune nouvelle grossesse est la plus forte, deux s, ça me suffit amplement.
Lautre jour, dans la salle dattente du médecin ou jétais allé pour faire un bilan de santé, je suis tombé sur un article très intéressant, il expliquait que pour un homme qui approchait de quarante ans, il fallait jouir trois à quatre fois par semaines minimum pour minimiser les risques de cancer de la prostate. Jai rapidement vu que jétais très loin du compte et que je mexposais davantage à ce risque. Il me fallait réagir, jaime beaucoup Géraldine mon épouse mais là, ma vie est en jeux, comme je sais davance quavec elle ce ne sera pas possible il va falloir que je trouve une autre solution.
En rentrant, jai recherché mes anciens carnets dadresse pour voir ce que je pourrais trouver pour compenser. En les parcourant jai retenu deux noms, Chantal et Marie Christine.
Chantal, cest sûr, si elle est encore en activité, elle me trouvera de quoi me vider les bourses et en plus je gagnerais de largent. Le seul hic cest quelle est en bord de mer et moi non, comment je vais pouvoir expliquer mes voyages, et mes absences de plusieurs jours, là est le problème.
Marie Christine, jétais en bon rapports avec elle quand on a arrêté de se voir, oui, ce doit être la solution, deux ou trois jouissances en semaine avec elle et le week-end un petit coup a ma femme et je rentre dans la catégorie des hommes qui se soignent. Il faut que je lappelle de mon bureau.
Sous couvert dune promotion spéciale, réservée aux anciens clients de lentreprise, je la fait appeler par ma secrétaire, le rendez-vous est pris.
A lheure convenue, je me présente chez elle, je sonne. Et le nez dans mon dossier, quand la porte souvre :
- bonjours madame, Jean Roc de la société b
.., je viens vous voir pour
..
- Jean marc ?
Surpris quelle se souvienne encore de moi. En levant les yeux de mon carnet, hypocritement :
- Pardon madame, Oh Marie Christine, quelle surprise ?
- Entre Jean Marc, que deviens-tu ?
Je nen revenais pas, elle était toujours aussi belle et désirable que la dernière fois que je lavais vue.
- Oh moi, rien de particulier, toujours le même travail, cest tout.
- Tu es marié ?
- Oui, et jai deux s. Et toi, ton mari et tes s?
- Oh moi, cest différent, jai divorcé, et mon mari avec sa nouvelle femme ont la garde des s, je vie seule maintenant.
- Il y a longtemps ?
- Oh oui, trois ans maintenant, jai gardé la maison parce que cétait la mienne, elle me venait de mes parents, mais tout le reste est parti, il a même pris mon lit pour te dire quel gougeât il était devenu.
- Peut-être mais tu es bien installée maintenant.
- Oui, il ma fallu presque trois ans pour me remeubler correctement. Tu veux boire un verre ?
- Oui, merci, il te reste de la liqueur de ta grand- mère que tu mavais fait goûter à lépoque ?
- Bien sûr, mais quelle mémoire, même moi, je ne pensais pas à ça.
- Oh oui, jai de la mémoire pour tout ce qui me fait plaisir, cest pour ça que je pense souvent à toi.
- A moi ?
- Oui, je me rappelle nos après-midi torrides et ça me remonte le moral.
- Ah bon, tu nes pas satisfait avec ta femme ?
- Oui, bien sûr mais ce nest pas pareil, avec toi, cétait de la pure folie, cétait lapothéose, avec ma femme cest la routine.
- Arrête de dire des choses comme ça, tu me donnes des envies. Tu sais depuis plus de trois ans, je nai pas eu le moindre rapport alors arrête de me parler de ça.
Elle ma servi et sen est servi un verre, nous avons dégusté en silence puis je me suis lancé :
- Tes voisins tespionnent toujours ?
- Peut-être, je ne sais pas, cest en partie à cause deux que mon mari a gagné son divorce, maintenant, je les évite.
- Comment ont-ils fait pour faire gagner ton mari ?
- Ils ont témoigné que je recevais régulièrement des visites pendant que les s étaient à lécole.
- Et cétait vrai ?
- Oui, en effet jai eu quelques visites, cest de ta faute, tu avais allumé dans mon ventre un incendie que mon mari narrivais pas à éteindre.
Tout en parlant, je lui caressais doucement le bras, je sentais les frissons lenvahie, je sentais la chair de poule se former sur son bras.
- Arrête ça, je ne pourrais pas tenir si tu continues, jai trop envie.
- Viens-la près de moi.
- Non les voisins peuvent nous voir.
- Et alors, tu ten fou, tu nes plus mariée, ils ne peuvent plus rien raconter.
- Moi, peut-être mais toi, tu as une famille maintenant, ils pourraient la détruire.
- Non ils ne me connaissent pas et en plus je men fou complètement, viens là.
Elle sest levée, sest assise sur mes genoux, jai tout de suite été submergé par son odeur aphrodisiaque, je lai embrassé et caressé, comme je le faisais avant. Rapidement elle sest mise à gémir de plaisir sest levé et ma pris la main en disant :
- Vien, mon amour, nous allons inaugurer mon lit.
- Inaugurer ?
- Oui, je lai acheté après mon divorce et je nai encore jamais jouis dedans.
Nous sommes montés dans sa chambre en nous déshabillant mutuellement. Une fois dans son lit, je me suis remis à la caresser. Elle ma stoppé en me disant
- Vien vite, fait moi lamour fort, comme avant, jen ai trop envie.
Elle a attrapé mon chibre et en le branlant la guidé en elle puis elle sest mise à faire onduler son bassin en gémissant pour atteindre le plaisir le plus vite possible. Je me suis retenu un maximum et jai attendu quelle crie une deuxième fois son orgasme pour mactiver énergiquement. A la fin, nen pouvant plus je me suis retiré delle pour lui inonder le ventre. Nous sommes restés un long moment immobile, lun a côté de lautre à reprendre notre souffle puis elle a murmuré :
- Cétait merveilleux, aussi bon que dans mes souvenirs mais tu aurais pu rester, jai un diaphragme maintenant.
- Pourquoi ? Tu nen a pas besoin puisque tu nas pas de rapports réguliers.
- Je lai pour être prête au cas où, jattendais peut être secrètement ta visite.
Tout en me parlant elle me caressait doucement ce qui fait que rapidement je me suis remis à bander.
- Ne bouge pas, je moccupe de tout
Puis elle sest activée pour atteindre rapidement un nouvel orgasme. Je me retenais toujours pour ne pas jouir alors elle a fait passer ses mains dans son dos et a attrapé mes couilles pour les malaxer. Ma concentration a fondu dun coup et je me suis vidé complètement en elle. Sous le choc de mon foutre au fond de son ventre elle sest remise à jouir en criant puis elle sest écroulée sur moi et nous nous sommes endormis. A mon réveil, la nuit était tombée, elle était toujours sur moi, doucement je lai poussé sur le côté sans la réveiller puis rapidement jai pris une douche, me suis rhabillé. Quand je lai embrassé pour lui dire au revoir elle a juste ouvert un il puis elle a replongée dans ses rêves.
Je suis directement rentré chez moi avec la voiture de lentreprise.
Jai expliqué mon retard avec une histoire de panne de ma voiture, tout est bien passé je suis parti me coucher très tôt, expliquant que la journée avait été dure et que demain ça risquait dêtre pareil.
Le lendemain matin, jai rapidement réglé les affaires courantes, le courrier et la distribution des chantiers avec ma secrétaire puis je suis parti. En route jai acheté des croissants et, mon paquet de croissants à la main, jai sonné chez Marie Christine.
Elle venait juste de se lever, et portait une petite nuisette recouverte par une robe de chambre. Elle avait encore les yeux bouffis par le sommeil. Malgré tout je lai trouvé très désirable et je lai embrassée sur le pas de la porte. Nous avons déjeuné ensemble puis elle est montée pour faire sa toilette me demandant de lattendre dans le salon.
Jai attendu un petit moment puis je me suis déshabillé en rangeant bien mes vêtements sur un fauteuil et je suis parti la rejoindre dans la salle deau complètement nu et le chibre bien bandé. En entrant dans sa chambre, jai tout de suite été envahi par lodeur, une odeur très érotique, elle navait pas encore aéré la pièce et il y planait une senteur forte damour, un mélange de senteurs féminines, de foutre, et de transpiration mon excitation est montée dun cran, Je suis discrètement entré dans la salle de bain, Elle somnolait, couchée dans sa baignoire au milieu de la mousse, les yeux fermés. Je me suis approché tout doucement et me suis mis à la caresser. Elle a ouvert les yeux, sest un peu relevée et a pris mon chibre dans sa bouche en me masturbant doucement dune main et me caressant les couilles de lautre. Je sentais que je nallais pas tenir longtemps sous une telle , je lai fait arrêter, se lever puis je lai prise dans mes bras et toute mouillée je lai couché sur son lit et je me suis mis à lui sucer la moule pour la faire gémir de plaisir.
Quand elle est arrivée au bord de lorgasme sous ma caresse, je suis entré en elle et nous avons fait lamour comme si notre vie en dépendait. Nous avons jouis tous les deux en même temps, cétait merveilleux. Après avoir repris notre souffle nous avons recommencé à nous caresser, nous embrasser puis elle est passée sur moi et nous avons recommencé. Nous navons pas arrêté de toute la matinée, nous avons essayé toutes les positions possibles. Jai dû jouir quatre ou cinq fois durant cette matinée. A chaque fois, je pensais que cétait fini et elle faisait en sorte que mon chibre se remette au garde à vous pour replonger au fond de son ventre et la faire jouir. Elle était insatiable. Après notre dernier orgasme elle a vue lheure et sest affolée.
- Vite, lève toi, il est presque une heure, a trois heure mon mari doit passer pour me confier les s pour la soirée, il les reprendra demain soir, il faut que toute ma maison soit impeccable et toi, tu ne dois pas être là, dépêche toi, il te faut partir.
Elle ma tout juste laissé le temps de prendre une douche rapide et de mhabiller avant de me mettre à la porte. Je suis rentré à mon entreprise, me suis enfermé dans le bureau et jai somnolé toute laprès-midi.
Jétais encore bien fatigué le soir en rentrant chez moi. Jétais heureux, avec tout ce que javais jouis ces deux dernier jours, je commençais à rattr mon retard donc, je me soignais très bien.
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