Caroline/Moi
Depuis que je suis seule, je me contente. Jai tout ce quil me faut, sauf un ou une accompagnateur(trice).Pour mexciter jai un ordinateur, une boite triste à mourir qui une fois ouverte me donnes accès à une foule de vidéo, récits et photos. Je suis assise, je cherche un instant le site qui va mexciter. Bien que je sois plutôt hétéro, je regarde avec plaisir des masturbations dhommes (mm mm : voir une queue jouir !!), des femmes qui se donnent du plaisir comme moi. Et surtout les lesbiennes. Jaime voir deux filles qui se font lamour. Je voudrais en faire autant pour gouter à ce plaisir qui pour moi serait tout nouveau. Je caresse la chatte plusieurs fois, je jouis sans cesse. Je mimagine dans les bras dune femme qui me dirigerait, me guiderait sans frein. Jévite autant que possible de me servir du gode, pardon des godes. Parfois je ny tiens plus, il faut que je me baise, que je mencule. Rarement, mais ça arrive, je suis prise dun accès de folie érotique : je me fais une double pénétration. En principe je commence dans leau, dans la baignoire. Les godes glissent bien mieux. Je nai pas besoin de beaucoup de temps : lorgasme arrive vite.
Un jour jai un lidée de dévisser le gicleur du mélangeur. Leau coulait très fort. Je me suis pliée, tordue, les jambes relevées pour profiter de la force du jaillissement deau chaude. Dès la première exposition jai cru mévanouir de plaisir. Cétait une bonne découverte pour moi seule. Je jouissais, je laissais couler leau : mes orgasmes, oui, mes orgasmes se succédaient à une cadence folle. Jétais repue de plaisir. Jai du arrêter par fatigue physique.
Jai eu la chance dêtre invitée chez mes voisins. Ils étaient charmants davoir pensé à moi, lisolée. La soirée était parfaite, la femme, Caroline me racontait des histoires de son travail, son mari Pauli, men disait autant. Je suis revenue chez moi un peu triste : jétais seule.
Je les ai invités chez moi. La soirée était formidablement gaie, ils étaient tout ce qui se fait de bien.
Ils navaient pas lai gênés de se caresser devant moi. Je voyais bien quil avait toujours sa main sur le sexe de sa femme. Elle souriait sans cesse en me regardant : une invite ?
Ce nest que plus tard que Caroline me disait quils aimaient bien faire des échanges sexuels. Me dire une telle chose à moi qui vivait seule depuis des lustres ! Puis, elle ajoute :
- Si tu veux baiser, tu peux le faire avec Pauli. Je regarderais.
- Oui, je veux bien te baiser devant ma femme, à condition quelle aussi te caresse pour ne pas rester seule.
Que répondre. Dun coté ils me donnent envie de faire réellement lamour, dun autre coté, je ne sais pas ce qu une fille me ferait de plus.
Ils nattendent pas la réponse. Il est assis contre moi : je sens sa chaleur sur le coté. Elle caresse ses cuisses, monte bien haut en me regardant Ils me désirent cest certain. Mais moi est-ce que je veux participer à marchandage de jouissances ? Quil me baise sans elle, daccord, mais avec elle qui inspecte ?
Cest mon sexe qui parle quand jaccepte quil me baise, quelle aussi ma caresse. Dès mon oui, prononcé, ils se mettent nus tous les deux. Ils sembrassent sur la bouche : elle lui tient la queue, sa grosse queue, elle fait sortir le gland violacé. Je le regarde avec gourmandise.
Elle me le tend
- Tu veux le sucer ?
- Que oui.
Il sapproche de moi, jouvre la bouche. Je sens lodeur de sa queue. Indéfinissable : en tout cas il ne la pas lavée. Tant mieux, jaurais un gout de bite naturel dans la bouche. Il se lève ; tend sa bite, me la pose sur mes lèvres. Je la sens bien : une petite odeur durine, agréable.
Je mouille. Je dois couler entre les jambes. Jai enfin le gland dans mes lèvres. Je coulisse dessus. Je voudrais quil me baise ensuite.
Je lèche le gland, je suis caressée, masturbée par la main dune femme : bonne journée. En plus elle branle bien. Jouvre encore plus mes jambes, elle va plus bas, vers mon tout petit trou. Oui, quelle me caresse par là aussi, cest bon. Caroline me délivre dun complexe : jhésitais à passer ma main entre les cuisses de Pauli. Il me laisse faire, habitué quil doit être à se faire tripoter entre les jambes. Ces couilles sont dures quand je les prends dans une main. Je les caresse rapidement : je veux aller plus loin. Caroline me surveille du coin de lil : elle accepte ce que je vais imposer à son mari. Cest vrai que sa capsule ne tient pas tellement. Je mets un doigt qui entre presque seul. Jen rajoute deux autres : je lencule directement.
Mon en envie, je la crie :
- Je veux te lécher Caroline.
- Oui. Léchons-nous.
Ainsi, jarrête de doigter le cul de son mec pour me mettre en 69. Son odeur est complémentaire de celle se la queue de son mari. Ma langue assiste à un festival de découvertes dans le con dune autre femme. Dabord son odeur de fille chaude, désireuse de jouir, ensuite le gout de cyprine presque alliacée, et la douceur de son sexe sur ma langue.
Daccord cest la première fois que je baise une autre fille, pas elle. Si elle me lèche, cest presque secondaire, à cause de ses doigts qui font des gammes sur mon sexe. Elle entre deux doigts dans le vagin, cherche sans doute le point G que je ne me connais pas : elle trouve un endroit où elle caresse doucement puis durement : je sursaute en jouissant. Son autre main soccupe de mon cul. Si mes doigts sont dans le cul de son mari, elle se venge sur moi. Elle ne peut menculer, cest aussi bon. Mon petit trou est rassasié de caresse dorgasmes inconnus.
Jai laissé Pauli seul : il se masturbe en nous regardant un peu puis il sapproche.
Puis enfin il se décide, il rejoint un cul familier. Caroline ne demande pas mieux davoir sa bite dans son corps. Il lencule doucement. Je vois le gland traverser lanus longtemps, puis la bite en entier. Pauli la ressort presque pour la remettre. Jaurais tant aimé quil me la mettre à moi, dans mon petit cul. Je sui obligée de me contenter des doigts dune fille.
Dès quil sera en forme, je lui donnerais mon anus.
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