Premières Dragues
Le mois de juillet arriva très vite et ça mattristait un peu car Marie et Michel devaient partir deux semaines en vacances chez des amis. La veille de leur départ Marie ne vint pas au bureau, occupée à préparer les bagages. Elle passa juste deux ou trois fois me voir pour papoter un peu. Je la sentais heureuse de partir enfin un peu, mais elle était triste de ne pas me voir pendant deux semaines.
En fin daprès-midi, elle partit chez le coiffeur et Michel rentra à peine un quart dheure plus tard. Il était 18h00 et je venais de fermer le bureau. Je venais juste de monter chez moi quand il mappela pour que je le rejoigne : il devait mexpliquer comment mettre et enlever les alarmes. Il fallut un petit moment pour que je note toutes les consignes. Ça faisait trois jours que je ne lavais pas vu et dès que tout fut noté, il en profita pour me prendre dans ses bras, ne me laissant aucun doute sur ses intentions. Comme jen avais envie, je moffris à lui. Il me mit nue en un clin dil et se déshabilla à son tour avant de sallonger sur le canapé. Je me mis à genoux et commençais à le sucer longuement. Puis il se releva, et me fit allonger à mon tour. Il me caressa la poitrine, faisant durcir mes seins de désir puis la chatte. Je mouillais abondamment. Comme il avait vu le fil blanc de mon tampon il savait quil ne pouvait pas me baiser et il me demanda : « Tu préfères que je te baise la bouche ou le cul ? »
« Prends-moi le cul » dis-je, sachant que cest ce quil préférait. Il me fit mettre à quatre pattes et membrocha dun coup sec. Ce soir-là il me bourra très fort en senfonçant profond et en tirant violemment sur mes hanches. Il se vida en moi sans que je nai pu jouir. Après un verre de jus de fruit jenfilais ma robe sans remettre mes sous-vêtements, et jutilisais ma culotte pour essuyer le sperme qui coulait entre mes fesses. Il membrassa avant que je parte, et je lui souhaitais de bonnes vacances avant de sortir.
Le lendemain, samedi, je traînais au lit une bonne partie de la matinée, rêveuse. Marie et Michel devaient être dans lavion et javais le blues. Jamais, en quasiment un an, je nétais restée aussi longtemps sans les voir, enfin sans voir Marie. Je pensais à tout ce qui métait arrivé en 10 mois. Jétais passé de létat de petite allumeuse pucelle à celui de petite salope en manque permanent. Jétais folle amoureuse dune femme, et cet amour était partagé, mais en plus je couchais avec son mari.
Quand Marie nétait pas là, elle me manquait, faire lamour avec elle me manquait, mais cest surtout sa présence qui me manquait. Quant à Michel cétait le contraire, ce nest pas lui qui me manquait, mais son sexe. Jétais bel et bien amoureuse dune femme et accroc au sexe dhomme. Depuis 3 mois quil mavait dépucelée jamais je ne lui avais refusé mon corps quand il le voulait, parce que à chaque fois jen avais envie aussi. Cest ce matin-là que jai décidé quil fallait que je couche avec dautres hommes pour voir.
La semaine fut très calme, le travail occupait presque tout mon temps, et le soir je traînais au bord de la piscine jusquà tard car il faisait chaud. Je passais mes soirées devant la télé ou internet et je me masturbais tous les soirs en pensant à Marie. Elle mappela deux fois dans la semaine et entendre le son de sa voix me reboostait. Le samedi, je devais déjeuner chez mes parents, je décidais dy aller assez tôt pour passer du temps avec eux, cest vrai quils me voyaient peu.
-« Si tu veux ce soir on se fait un resto et après on sort quelque part. On sera 7 ou 8, des anciens du lycée que jai réussi à joindre aujourdhui »
Elle me cita les noms. Il y en avait un ou deux que je navais pas trop envie de revoir, mais jacceptais quand même.
Je savais quil y aurait Jérémy et son copain Ahmed, jétais sorti avec Jérémy mais il mavait largué au bout de deux semaines car je ne couchais pas. Cest lui qui était à lorigine de mon surnom : « la petite allumeuse ». Quant à son copain Ahmed, cétait un beau gosse dorigine algérienne, plutôt bien bâti. Je serais bien sorti avec lui à lépoque, mais le fait que je ne couche pas lavait dissuadé. Sa sur qui était dans ma classe mavait dit que je lui plaisais mais que Jérémy lui avait dit que je nen valais pas la peine.
On se retrouva comme convenu à 20h00 devant une brasserie du centre-ville, nous étions 3 filles et 4 garçons. Dès quil me vit, Jérémy sécria devant tous : « Tiens la petite allumeuse ! ». Heureusement Magali lengueula et lui proposa de partir sil devait être désagréable.
Le club était sympa, une salle agréable avec des fauteuils confortables disposés en boxes, une estrade légèrement surélevée avec un piano et une petite piste de danse dans un coin plus sombre de la pièce. Installés dans un box nous avons continué à discuter de choses et dautres durant une bonne heure. Le pianiste nétait pas là et il y avait juste une musique dambiance. Vers minuit, la lumière devint dun coup plus tamisée et le pianiste commença à jouer. Ça restait une musique dambiance plutôt douce et quelques couples enlacés commencèrent à danser. Magali se laissa inviter par un des garçons, Ahmed minvita à son tour et Jérémy resta seul à la table. Vu la bosse dans son pantalon, je compris vite que je ne lui étais pas indifférente et je me laissais aller dans ses bras. Moins de cinq minutes après nous nous embrassions et il commençait à me peloter ouvertement. Je refrénais un peu ses ardeurs, je n'allais pas me laisser déshabiller en plein bar. Au bout de quelques danses nous retournons à la table et il me fait asseoir sur ses genoux. Nous passons ainsi un long moment à nous embrasser, je me laisse caresser, mais quand sa main remonte un peu trop haut sous ma jupe je la repousse. Japerçois parfois Jérémy du coin de lil qui ricane en nous regardant. Je ne sais pas si cest par jalousie ou par moquerie, mais son comportement mincite à me serrer plus fort contre Ahmed et à réclamer ses baisers. Je finis par être très excitée et à espérer quil me propose de baiser le soir même. Le bar fermant à deux heures, le patron annonce quil nous reste 15 mn pour terminer nos consommations. Nous décidons de partager les frais et chacun dépose sa part sur la table. Ahmed et Jérémy se lèvent et vont amener le tout au comptoir. Comme je suis en face, je vois Ahmed parler au serveur qui lui tend une boite de préservatifs. Je suis contente car je comprends quil va me proposer de coucher avec lui cette nuit.
Je vis les deux garçons, toujours au comptoir, en train de se chamailler en élevant le ton, ce qui me permit dentendre leur dialogue :
Jérémy : « Tu ne crois pas que tu vas la sauter ce soir, elle voudra jamais. Je te parie quelle est encore pucelle »
Ahmed : « Tu fais chier mon vieux, je fais ce que je veux ! »
Ce que je venais dentendre me donna plus encore envie de coucher avec Ahmed, et jétais bien décidée à lui sortir le grand jeu, persuadée quil sempresserait de tout raconter ensuite à son pote.
Une fois dans la rue, tout le monde voulait rentrer, sauf Jérémy qui voulait aller en boîte de nuit et cherchait à entraîner du monde pour laccompagner. Personne ne voulut et il décida de partir seul.
Ahmed me proposa demblée daller boire un verre chez lui, il avait un appartement à quelques centaines de mètres de là. Jacceptais et nous voilà partis à pied. Il sarrêtait tous les 50 mètres pour me prendre dans ses bras et membrasser, Comme il ny avait personne dans les ruelles, je me laissais même tripoter plus intimement que dans le bar. Arrivés au bas de son immeuble, il me prit dans ses bras et dit :
« Il faut que je te dise un truc, on habite ensemble avec Jérémy on est en colocation »
« Quoi ? Tu aurais pu me le dire avant » répondis-je.
« Tinquiètes pas, on a chacun une chambre qui ferme à clef en plus ».
« Je te préviens que sil essaye de me toucher, ou que tu me fais un plan foireux, je hurle à réveiller tout le quartier ! »
« Promis, et en plus sil va en boîte il nest pas prêt de rentrer »
Convaincue de sa bonne fois je me laissais entraîner. Lappartement était petit mais propre, il me servit un coca et nous nous installâmes sur le canapé. Il baissa au maximum lintensité de lhalogène et vint sasseoir tout contre moi. Il membrassa et déboutonna directement mon chemisier pour glisser sa main sous les bonnets de mon soutiengorge. Je commençais à peine à être à nouveau excitée que jentendis une clef tourner dans la serrure, jeus juste le temps de réajuster mon soutien-gorge que Jérémy fit irruption dans le salon. Il sinstalla face à nous dans un fauteuil et dit :
« Continuez, ne vous gênez pas pour moi ! »
Ahmed me glissa à loreille : « Viens on va dans la chambre ». Je le suivis. Il referma la porte à clef et alluma un chevet. Il me plaqua contre le mur, membrassa à pleine bouche et commença à me peloter. Il déboutonna mon chemisier et me lenleva. Par contre il ne parvenait pas à dégrafer mon soutien-gorge et tirait sur les attaches. Je le repoussais pour lenlever moi-même, vu le prix que je lavais payé, je ne tenais à ce quil le déchire. II prit mes seins à pleine main tout en membrassant en les malaxant fort sans aucune délicatesse. Je commençais à déboutonner sa chemise, puis son pantalon qui tomba à mi-cuisse. Son boxer suivit le même chemin, je commençais à lui caresser la bite qui devint vite très dure. Il était bien monté et commençait à gémir, une de ses mains avait plongé dans ma culotte et pelotait mes fesses. Je préférais me déshabiller seule de peur quil ne déchire ma robe et je linvitais à faire de même. Il sextasia devant ma chatte épilée, mais je lattirais dun coup contre moi pour lembrasser et reprendre sa bite en main. Jentendais le canapé grincer derrière la fine cloison juste dans mon dos et je mimaginais Jérémy, loreille collée contre le mur pour nous écouter. Excitée à cette idée je décidai de sortir le grand jeu. Je me laissai glisser lentement à genou en embrassant le corps dAhmed, et je pris sa queue dans ma bouche en gardant les yeux en lair pour le regarder. Il grimaçait de plaisir en gémissant. Penché en avant, il me regardait dans les yeux et je profitais que ses yeux étaient grands ouverts pour avaler sa bite en entier. Je le gardais ainsi quelques secondes au fond de ma gorge en tenant ses cuisses pour éviter quil ne pousse trop fort et me provoque des hauts le cur. Il sexclamait en parlant fort : « Ah ! Putain comment tu fais ça, tes trop bonne, continues ! » Je continuais ainsi un bon moment, en le branlant très fort entre deux gobages. Il gémissait de plus en plus fort à chaque fois et prononçait des phrases incompréhensibles. Quand je le sentis se crisper, je le repris au fond de ma gorge et il minonda dune giclée abondante dans un râle de bonheur que même les voisins durent entendre. Satisfaite de moi, je me relevais et lembrassais tout en continuant à caresser son sexe qui se mit vite à regonfler. Je lui proposais de passer au lit pour continuer, il me dit « installes toi, je vais chercher une bouteille deau et faire pipi ». Il enfila son boxer et quitta la pièce en laissant la porte légèrement entrebâillée. Je lentendis uriner bruyamment puis jentendis chuchoter, je mapprochais de la porte pour entendre.
Ahmed disait : « Elle est bonne mon pote, elle à la moule entièrement rasée et elle suce comme une pro, elle prend mon chibre en entier dans la bouche, je ne sais pas comment elle fait. Je lui ai giclé dans la bouche et elle à tout avalé »
Je mimaginais la tête à Jérémy il devait être vert de jalousie et bander comme un âne. Je nentendais pas tout ce quils dirent après, mais je le devinais car Ahmed répondit : « Pas question, elle ne voudra pas de toute façon ». Il voulait se joindre à nous. Jaurais peut-être accepté avec un autre garçon, mais il nétait pas question que je couche avec ce con. Comme il insistait et que je sentais quAhmed pouvait finir par craquer, je criais « Même pas en rêve Jérémy ». La discussion cessa net et Ahmed vint me rejoindre en refermant la porte à clef. Il se jeta sur moi et se remit à me peloter assidûment. Ses caresses étaient maladroites et pas très agréables, mais je le laissais faire en faisant semblant dapprécier. Jétais tout de même excitée en imaginant Jérémy en train de se masturber pour évacuer sa frustration. Rapidement Ahmed enfila un préservatif et commença à me baiser, dabord allongé entre mes cuisses, puis en levrette. Je ponctuais ses va et viens de quelques gémissements et je criais assez fort « Ah oui ! Encore, plus fort! ». La façon dont il me prenait était agréable, mais pas suffisamment pour me faire jouir. Je continuais donc à simuler et quand il jouit en moi je ponctuais son plaisir par un cri plus fort : « ouiiiiiii » afin de lui être agréable. Nous restâmes un long moment côte à côte plongés dans nos pensées. Moi je savais que je ne renouvellerais pas lexpérience, du moins avec lui, le bon coup que vantaient les copines du lycée nétait pas si bon que ça. Il me proposa de dormir avec lui, mais je refusais en prétextant une obligation matinale. Je navais surtout aucune envie de prendre mon petit-déjeuner face à Jérémy au réveil. Une fois levés et rhabillés je lui demandais sil avait un café à moffrir avant que je parte, il me le servit au salon. Jérémy, toujours là me dévorait des yeux assis en face de nous, et pendant quAhmed membrassait je pris un malin plaisir à laisser mes cuisses souvrir afin daugmenter sa frustration. Je rentrais chez moi vers 5h00 et je dormis jusquen milieu daprès-midi.
La semaine se passa assez vite, javais pas mal de travail vu que jétais seule. Marie mappelait assez souvent et nos conversations duraient parfois plus dune heure. Bien sûr je lui racontais ma sortie du samedi. Je pensais quelle allait être fâchée que jai couché avec un homme, mais au contraire elle me dit quil fallait que jen profite et que je ne me contente pas de coucher avec elle et Michel. Encouragée par son consentement je décidais de sortir le week-end suivant. Je passais ma soirée du mercredi à chercher sur internet où je pourrais aller. Je navais pas trop envie de rester sur Toulouse de crainte de tomber sur Ahmed que je ne voulais pas revoir et à qui javais donné un numéro de téléphone bidon. Je décidais de partir pour Cahors, petite ville à 1h00 de Toulouse que javais déjà visité avec mes parents deux ans auparavant. Je réservais donc une chambre pour deux nuits à lhôtel Kyriad proche du centre-ville. Je pris la route le vendredi après-déjeuner et je minstallais à lhôtel en milieu daprès-midi. Après une bonne douche, jenfilais un jean, un tee-shirt et direction le centre-ville pour un peu de shopping. Cahors me parût minuscule à côté de Toulouse, mais je parvins quand même à trouver quelques fringues à acheter et quelques bricoles pour décorer mon appartement. De retour à lhôtel je descendis boire un café au bar, comme jétais seule au comptoir et quil ny avait pas foule jen profitais pour discuter un peu avec la serveuse qui était à peine plus âgée que moi. Je lui demandais où sortir à Cahors. Elle me fit presque regretter dêtre venue. Elle me parla de deux boîtes de nuit, mais la première était malfamée et la seconde était un bowling avec une petite boîte spécialisée dans la musique des années 70
rien de bien intéressant. Pendant quelle me parlait un homme sétait assis à deux tabourets de moi. Je lexaminais du coin de lil pendant quelle lui servit une bière, il devait avoir dans les 40 ans, habillé en costume cravate, grand et mince ; je le trouvais pas mal. Il écoutait notre conversation sans rien dire. Quand la serveuse quitta son bar pour servir des clients en salle, il sadressa à moi : « je crois que nous avons le même problème ». « Lequel ? lui dis-je».
« Nous sommes tous les deux coincés dans ce trou perdu pour le week-end ».
Je me mis à rire en confirmant. Il sapprochât de moi et se présentât :
« Loïc, enchanté, mademoiselle ? ».
« Amélie » dis-je.
« Puis-je vous proposer un autre verre, Amélie ? »
Jacceptais et commandais un autre café, lui prit une autre bière et me proposa de nous installer à une table. Je le suivis dans le coin salon du bar. Nous avons discuté de tout et de rien, il était commercial et était sur Cahors pour deux semaines. Le week-end étant trop court pour remonter sur Strasbourg, doù il était, il le passait à lhôtel. Jévitais de trop en dire sur moi et minventais un déplacement professionnel depuis Bordeaux. Javais un soi-disant rendez-vous le samedi après-midi qui me bloquait à Cahors. Il avala le mensonge sans sourciller. Javais remarqué une alliance à son doigt, et il nessaya pas de la dissimuler. Il me dit être marié depuis 20 ans et avoir deux s, il avait 42 ans et son métier lobligeait à être sans cesse en déplacement. Voulant me placer sur un pied dégalité je lui mentais encore. Javais 25 ans, jétais pacsée depuis 4 ans et je navais pas d. Il me dit que je faisais plus jeune que mon âge, mais encore une fois le mensonge passa.
Il me parla de sa femme, de ses s, de sa vie, il aimait sa femme jen étais sûre. Il parlait plus que moi, ce qui marrangeait bien car ça mévitait de menfoncer un peu plus dans mes mensonges. Je me demandais sil cherchait à tromper sa femme, ou sil cherchait juste une compagnie pour discuter et éviter de passer le week-end seul. Comme il ne me draguait pas joptais pour la seconde solution. Je trouvais sa compagnie agréable, il avait une voix agréable et jappréciais sa compagnie. De toute façon, javais payé lhôtel pour deux nuits donc quitte à passer le week-end là, autant que ce soit en agréable compagnie. Il était 19h00, il me proposa daller dîner ensemble, ce que jacceptais, il rajouta quil minvitait. Il appela la serveuse et lui demanda quelques adresses de restaurants sympas dans Cahors. Elle lui en indiqua deux ou trois et lui proposa de réserver pour nous. Il lui demanda de réserver 2 couverts dans le premier quelle avait cité pour 21h00. Elle revint cinq minutes après pour confirmer la réservation, mais voyant mon jean elle précisa que je ne pourrais pas rentrer dans cette tenue vu la classe du restaurant. Nous avons fixé le rendez-vous pour 20h30 devant le bar et chacun de nous est remonté dans sa chambre se préparer.
Je pris une bonne douche et jenfilais ma robe. Je la trouvais un peu sexy pour aller au restaurant, mais je lavais prévue pour aller en boîte, et comme je navais pas prévu dautre tenue je me dis que ça le déciderait peut-être à me draguer. Cétait une robe bustier rouge en stretch gaufré et très moulante. Je ne pouvais pas mettre de soutien-gorge avec ce genre de robe, mais ma poitrine suffit à la maintenir parfaitement en place. Un string rouge aussi, un petit gilet noir sans boutons et des escarpins noirs vinrent compléter ma tenue. Comme il avait plu dans laprès-midi et quil faisait un peu frais je décidais de mettre une paire de DIM Up couleur chair achetés laprès-midi. Je me regardais dans la glace et je me trouvais très belle et très sexy.
Je rejoins Loïc à lheure prévue et il sexclame en me voyant : « tu es superbe ». Je le remercie du compliment et monte dans sa berline. Le restaurant est très classe, un cinq étoiles à côté de la gare.
Je prends le bras de Loïc pour monter les escaliers du restaurant. Pendant quune serveuse nous conduit à la table, je sens le regard de tous les hommes présents sur moi, et je vois la fierté de Loïc dans ses yeux qui se régale que la femme accrochée à son bras fasse envie à tous. Nous dégustons un repas de grande qualité en buvant un champagne grand cru. Nous continuons durant le repas à dialoguer de tout et de rien, mais aucune drague de sa part. Au moment de payer laddition il demande une note ; le fait que ce soit sa boite qui paie enlève un peu de charme à lhistoire.
Il me propose de boire un dernier verre en ville, nous y sommes en cinq minutes. Nous marchons un peu sur lavenue principale de Cahors jusquà un Pub qui semblait être plein. Sous les arcades de la terrasse, trois musiciens jouent des morceaux de blues et il y a foule autour deux. Le bar est bondé et nous restons là, debout à écouter le groupe. Loïc est juste derrière moi. Petit à petit du monde part et dautres arrivent et nous nous retrouvons coincés au milieu du cercle. Il fait un peu frais et jai un frisson de froid que jexprime en tremblant des bras. Loïc le remarque et ses mains saisissent mes bras par derrière et les frottent un peu comme pour me réchauffer. Il se penche à mon oreille et me demande si jai froid, je réponds que oui mais que ça ira. Je profite de linstant pour reculer de 30 cm et je blottis mon dos contre son torse, il enroule ses bras autour de mon cou. A ce momentlà je suis bien blottie contre lui, et je me prends à espérer quil a envie de moi. Je tends un peu les fesses vers lui et je sens quil a envie, mais il ne réagit pas plus. Il a envie mais il nose pas, si je ne prends pas linitiative il ne fera rien. Je commence à dandiner un peu mes fesses de droite à gauche en faisant semblant de danser au rythme de la musique. Mes fesses passent et repassent sur son sexe et il bande de plus en plus fort. Il tient toujours ses bras autour de mon cou, mais ses mains restent immobiles. Jai de plus en plus envie de lui et je décide de me retourner, je dépose une bise sur sa joue et je me blottis contre lui. Ses bras sont restés autour de mon cou, mais ses mains commencent à me caresser le dos, ça y est, il réagit ! Je relève mon visage vers lui en le regardant dans les yeux et ma bouche sapproche de la sienne, il me serre plus fort contre lui et ses lèvres viennent à la rencontre des miennes. Sa langue fouille ma bouche et senroule autour de la mienne dans un baiser interminable. Ses mains passent sous mon gilet et me caressent le haut du dos. Je sens ma chatte couler entre mes cuisses, cest un délice. Je lui propose de rentrer car jai froid, et nous partons vers la voiture. Sans nous dire un mot, nous nous arrêtons plusieurs fois en chemin pour nous embrasser.
Une fois dans la voiture, je pose ma main sur sa cuisse pendant quil conduit, ce quil semble apprécier. Nous arrivons à lhôtel en quelques minutes et, avant de sortir de la voiture, il membrasse plusieurs fois en caressant mes cuisses légèrement ouvertes, le fait que je porte des bas semble lui plaire. Il dégage facilement ma poitrine en tirant sur le bustier et il titille mes seins du bout de la langue, puis aspire les tétons. Je suis à deux doigts davoir un premier orgasme, je lutte pour ne pas me laisser aller. Il est très doux et le contact de ses mains sur ma peau est très agréable. Il réajuste ma robe sur ma poitrine et nous sortons de la voiture. Arrivés dans le hall de lhôtel il membrasse longuement au pied des escaliers, puis me dit : « Ma chambre est au rez de chaussée »
Je lui réponds : « Va pour la tienne, je monte cinq minutes et je te rejoins » Il me donne le numéro et je monte en courant vers ma chambre. Le temps de me brosser les dents et de poser mon sac à main et je frappe à sa porte. Il a retiré sa cravate et déboutonné le haut de sa chemise. Il me prend dans ses bras et membrasse fougueusement tout en faisant glisser ma robe au sol, puis le string. Je le déshabille à mon tour, en galérant un peu avec la ceinture. Nous roulons enlacés sur le lit. Nous nous caressons, il sempare de mes seins quil malaxe tantôt énergiquement, tantôt délicatement, il me tète et me mordille
Il est incroyablement doux et habile. Dès quil pose sa main sur mon intimité jai un premier orgasme. Il se place entre mes cuisses et me fait un cunnilingus qui mamène longuement vers un deuxième cri de jouissance. Je prends son sexe au fond de ma gorge et je suce jusquà ce que ma mâchoire me fasse mal. Ses feulements me font comprendre quil apprécie le traitement. Ça fait déjà une bonne heure que nous sommes là, Loïc bande toujours aussi fort, mais il na pas encore joui. Je ne pensais pas quun homme puisse tenir aussi longtemps, je linvite à me pénétrer car jen crève denvie. Il enfile son préservatif et il senfonce en moi. Il me baise lentement en accélérant parfois très brièvement pour ne pas partir trop vite, je pousse un cri à chaque fois que son sexe tape au fond de mon vagin. Plusieurs fois il se retire et me fait changer de position, les orgasmes senchaînent. Je nai jamais connu autant de plaisir avec un homme, même pas avec Michel. Au bout dun certain temps, je suis à nouveau dans la position du mercenaire, il maintient mes jambes écartelées, à tel point que mes pieds touchent la tête du lit. Il accélère la cadence me laissant présager quil va jouir. Le rapport commence à devenir douloureux, ainsi que la position. Je bloque ses mouvements et je lui demande de venir prendre ma bouche pour jouir dedans. Je préfère sentir son sperme chaud minonder directement que de le savoir perdu au fond dune capote. Je descends ma tête au milieu du lit en tendant ma bouche vers larrière pour bien lui ouvrir ma gorge. Il comprend le message et se place dans la position adéquate. Sa queue pénètre jusquau fond de ma gorge et au bout de quelques aller-retour il éjacule en senfonçant plus profondément. La quantité est telle que ma bouche déborde et le liquide coule sur mon visage. Il se retire et sécroule à côté de moi. Nous sommes vidés et nous nous glissons sous les draps blottis lun contre lautre. Nous discutons un peu et je lui demande sil trompe souvent sa femme, il me dit que cest la seconde fois en 20 ans, puis il me retourne la question. Je lui réponds que cest la première fois, mais que jai craqué sur lui dès que je lai vu. Il recommence à me caresser le dos et à membrasser tendrement, je le caresse aussi dabord le dos, puis les fesses et puis je prends son sexe dans ma main. Sous leffet de mes caresses je le sens reprendre de la vigueur. Il ouvre à nouveau mes cuisses pressé de me prendre encore. Il se place au-dessus de moi après avoir mis un préservatif et je sens sa queue prête à se glisser en moi. Jai les lèvres qui me brûlent un peu encore endolories par le ramonage intensif que je viens de subir. Je regarde Loïc droit dans les yeux, tout en dirigeant de ma main son gland vers mon anus je lui dis : « Encules moi, jen ai très envie ». Je me force à garder les yeux ouverts et à fixer les siens, pendant quil senfonce tout doucement entre mes fesses guidé par ma main. Arrivé au fond, je lui demande de rester sans bouger quelques instants. Je continue à fixer son regard, mais je dois résister de plus en plus pour quils ne se ferment pas. Je sens son sexe au fond de mon ventre et jaime ce regard qui me fixe dans les yeux. Je suis dans une position obscène, totalement ouverte, avec une grosse bite plantée dans mon cul, je me sens la plus salope des femmes. Ce regard qui semble me dominer et me dire « je tencule salope » me fascine. Je veux jouir les yeux ouverts et ainsi écartelée face à lui, je veux quil voit combien jaime quil me soumette ainsi à sa volonté. A ce moment-là je nai quune obsession : garder les yeux ouverts. Il commence à bouger lentement dabord puis plus vite. Je commence à crier de plaisir sous ses coups de boutoir, jai envie dobscénités, dinsultes
je lui crie : « bourres moi fort, défonces moi le cul » mais il ne parle pas et continue à accélérer le rythme. Dun coup il se contracte et pousse très fort en criant, je sens une décharge électrique parcourir tout mon corps et je hurle mon plaisir à pleine gorge. Sa main se plaque sur ma bouche pour mempêcher de crier, je rouvre les yeux ! Zut je nai pas pu les garder ouverts ! Je le fixe à nouveau en continuant à crier, le bruit est étouffé par sa main. Mon corps tremble et je ne contrôle plus mes mains qui bougent dans tous les sens. Quel plaisir fulgurant, indescriptible, jamais je navais joui aussi fort en me faisant sodomiser ! Petit à petit je me calme, mes cris cessent, sa main lâche ma bouche, mes spasmes cessent. Il dépose un baiser sur mes lèvres, et je sens son sexe tout mou sortir de mon anus. Jémets une série de pets que je ne maîtrise pas tant jai lanus distendu. Il retire sa capote et la vide sur mes seins en létalant dessus, puis il saffale à mes côtés. Je me sens vidée et incapable de bouger, je reste là sur le dos, les jambes écartelées. Je sens Loïc bouger mon corps et me mettre dans les draps, puis il se blottit contre moi et je mendors.
Le lendemain je suis réveillée par une bonne odeur de café, jouvre les yeux et je vois Loïc avec une tasse à la main. Il me dit bonjour en déposant un baiser sur mes lèvres. Je prends la tasse, et il me laisse le boire tranquillement pendant quil range quelques affaires, dont les miennes pour les poser sur une chaise. Comme je nai pas de peignoir, je me lève nue et je vais aux toilettes, puis je reviens métaler nue sur le lit. Loïc est debout, accoudé à la fenêtre, il me regarde et je mets mes yeux dans les siens. Il est habillé très classe avec un pantalon de lin blanc et une chemisette, il est rasé de près et les effluves de son parfum arrivent jusquà moi. Je suis bien ainsi exhibée à lui sans aucune pudeur. Je lui tends la main avec un sourire pour linviter à me rejoindre, il sassoit sur le bord du lit et membrasse fougueusement. Il commence à me caresser en me demandant si jai bien dormi, je lui dis que jai très bien dormi. Je vois à sa montre quil nest que 10h00, on a encore un peu de temps. Jouvre plus largement mes cuisses lorsquil caresse mon pubis. Il me dit en plaisantant :
« Je crois que tu as réveillé tout létage cette nuit »
Je souris et lui dit : « Tu as été formidable, tu mas fait jouir comme une folle ».
Il membrasse en me remerciant et me dit que jai été formidable aussi. Il continue à me caresser sur tout le corps. Je plonge dans mes pensées et je me surprends ressentir à nouveau une honte excitante à être ainsi, impudiquement exposée. A ce moment-là jai envie quil me traite de salope, de putain et quil me prenne sauvagement. Mais il reste très doux. A 10h30, enfin je me lève et me rhabille. Comme je mapprête à sortir, il me dit quil sera au bar à partir de 18h00. Je reviens déposer un baiser sur ses lèvres et je lui dis que jy serais. Une fois douchée je passais le reste de la matinée à noter sur mon journal intime ce que je venais de vivre. Je pars déjeuner au mac do juste à côté de lhôtel vers 13h30 et je décide daller acheter une nouvelle robe pour le soir. Je nai plus rien à me mettre. Ma carte bleue a bien chauffé ce jour-là, jachète une robe, une jupe, 2 chemisiers plus quelques sous-vêtements dont un superbe porte-jarretelles que je compte bien utiliser le soir-même.
Je monte dans ma chambre déposer mes achats, retirer les étiquettes
Il est 17h15 quand le téléphone sonne, voyant que cétait Marie je décroche. Nous bavardons quelques minutes de banalités puis je commence à lui raconter mon début de week-end avec quelques détails de ma nuit. Elle me dit être contente pour moi et me dit que si je voulais passer 2 ou trois jours de plus à Cahors elle ny voyait pas dinconvénient. Je lui dis que je vais voir et je lembrasse.
A 18h10 je rentre au bar où Loïc est déjà installé à une table et je lui annonce demblée que je dois prolonger mon séjour de 2 nuits. Je reste donc avec lui jusquau mercredi matin à sa grande joie. Le reste du séjour fut aussi agréable que la première nuit. Il me fit jouir un nombre incalculable de fois principalement grâce à dinnombrables et inoubliables sodomies. Cest avec regret que nous nous séparâmes tôt le mercredi matin. Nous savions tous les deux que nous ne nous reverrions pas, mais je garde un souvenir particulier pour cet amant extraordinaire et je sais que lui non plus nest pas prêt de moublier.
Le reste de la semaine je me plonge dans le travail, désireuse de rattr le peu de retard accumulé au bureau par ces deux jours de vacances. Marie et Michel doivent rentrer le vendredi et je souhaite que tout soit à jour pour la reprise de Marie. Je les entends rentrer le vendredi en début de soirée, je veille tard en espérant que Marie me rejoigne, mais je ne les vois pas. Le lendemain matin, je me lève assez tôt, je tiens à être prête et belle pour elle, je dois être disponible. Pourtant la matinée se passe, interminable, je ne tiens plus en place, jai envie de Marie. Elle frappe à ma porte, enfin, il est 14h00.
Létreinte est interminable, je sens quelle est contente de me retrouver. Elle me dit que je lui ai manqué, quelle maime. Elle me serre fort contre elle durant de longues minutes. Je linvite à sasseoir au salon, je nous prépare un café et je minstalle près delle. Elle me raconte leurs vacances, me demande des nouvelles pour le bureau, si tout sest bien passé
Mais très vite le désir lemporte sur tout le reste et nous nous retrouvons nues dans ma chambre. Nous faisons lamour jusquà épuisement une bonne partie de laprès-midi. Après un long moment de récupération Marie me demande de lui raconter les deux week-ends que jai passés. Je ne mattarde pas sur le premier car cest sans intérêt, mais pour les quatre jours passés à Cahors je lui raconte tous les détails. Elle me pose des tas de questions auxquelles je réponds bien sûr. Je lui parle aussi des longues pages décriture dans mon journal dans lequel je note tous les détails, mais aussi les réflexions et les sentiments que jai éprouvés. Elle me demande si je veux bien quelle le lise, jhésite un peu, personne na jamais lu mon journal intime et il contient beaucoup de choses la concernant. Elle veut juste lire ce que jai écrit sur le week-end à Cahors, je vais donc le lui chercher et le lui remet, ouvert à la page où débute le récit. Elle passe de longues minutes à lire les quatre ou cinq pages concernées, puis le pose sur le chevet et me prend dans ses bras. Elle me dit que toutes les questions que je me pose sont normales, que je suis encore jeune et que je me cherche un peu dans ma sexualité, que jai besoin dexplorer petit à petit
Jai limpression quelle aussi est passée par toutes ses phases. Elle me pose des tas de questions sur le sentiment de honte excitante que jéprouve souvent. Pour elle je suis une soumise qui aime être dirigée, qui aime se sentir possédée psychiquement à celui qui utilise son corps
Elle dit, au fond, ce que je sais déjà, mais javais besoin quelle me le confirme.
Elle sait que jaime quelle dirige et oriente ma sexualité, elle me promet quelle a encore plein de choses à me faire découvrir mais que tout doit se faire en son temps et quelle avance petit à petit afin de ne rien brusquer. Elle conclut sur le sujet en disant quelle se servira de mon envie de soumission pour continuer à mimposer certaines choses et voir jusquoù je peux aller. Bien sûr, ce sera toujours moi qui déciderai quels chemins je veux explorer et quà tout moment je pourrai mettre un terme aux choses qui ne me conviendraient pas.
Je lui dis que je lui fais entièrement confiance, que je veux quelle continue à mimposer les choses et à me faire explorer tous les chemins du vice. Elle me promet que le meilleur reste à venir !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!