A L'Hôtel Suite

-4-

Puis un jour elle me dit :
- Et si on retenait une chambre à l'hôtel.
- Quelle couleur ? lui demandai-je.
- N'oublies pas, c'est moi qui choisis, pas toi… Tu verras bien.
Et pour voir, j'ai vu. Elle avait mis un tailleur léger et impossible de voir la couleur.
Quand nous sommes entrés dans la chambre, elle me dit :
- D'après toi, quelle couleur ?
- Heu… blanche ?
- Idiot, non, allez cherches…
- Mauve ?
- Tu le fais exprès allez, trouve…
- Noire !
- Non perdu… rouge !
- Heu…
- Et oui, c'est moi qui conduis le bal…
Là je fus estomaqué, ma femme prenait des initiatives.
- Maintenant tu fais ce que je te demande, d'accord ?
- Oui Madame, répondis-je en prenant une voix de petit garçon.
- Déshabilles moi… mais mets-toi tout nu d'abord, je veux voir l'effet que je te fais.
- Wouhaaa… Ca promet d'être chaud cette fois…
- Tu verras bien, dit-elle avec un air entendu.
Je me déshabillais et c'est nu, le sexe en demie érection que je m'approchais d'elle. Je lui ouvris sa veste de tailleur gris, sous son chemisier noir que j'ouvrais lentement bouton par bouton, je voyais du rouge apparaître. Mon excitation monta d'un cran. Je le lui enlevais puis je m'attaquais à sa jupe qui tomba à ses pieds, en effet elle était en guêpière rouge vif, limite vulgaire, trop criarde. Mais ce qui était le plus surprenant, c'est qu'elle avait des bas couleur chair, sans culotte, le ventre nu, le sexe rasé, sans aucun poil. Son sexe était lisse.
- Wouhaaa dis donc, tu…
- Ça te convient pas ? N'oublies pas c'est moi qui demande, toi tu fais.
- Oui oui… Que veux-tu ?
- Je veux que tu t'occupes de moi avec ta langue, de partout sans oublier une seule parcelle de mon corps.
Alors commençant par ses doigts, remontant sur sa nuque redescendant sur l'autre bras, je la léchais et l'embrassais de baisers gourmands.

Puis je voulus dégrafer son ensemble, mais elle refusa. Je lui léchais le haut des seins bien emprisonnés dans les bonnets, voulu sortir ses tétons, mais elle refusa encore… Ce petit jeu commençait à m'agacer, mais je fis comme si de rien était…
Elle me fit me mettre à genoux et mettant son pied sur le lit elle me demanda de sucer ses pieds. Ce que je fis, l'un après l'autre, puis je remontais sur ses mollets, jusque sur le haut de ses cuisses. Quand je voulus atteindre son ventre elle m'arrêta.
- Non maintenant tu vas me faire jouir comme je veux…
- Et comment tu veux ?
- Je veux que tu me prennes par… comme… autrement…
- Comment ça autrement ?
- Oui, comme l'autre fois avec ton doigt, je veux que tu me prennes par là…
- Heu, avec mon doigt ?
- Non pas seulement, je veux que tu me, que tu.. ton sexe…
- Tu es sure ?
- Oui, j'en rêve et comme tu es obligé de m'obéir, n'oublies pas je suis en rouge, tu vas le faire.
- Mais avant tu vas t'amuser avec mon sexe, je veux qu'il soit bien dur, bien gros…
Et se mettant à genoux, elle me prit en bouche, décalottant mon gland avec ses lèvres et me masturba tout en me suçant. De voir ma femme à mes genoux en train de me sucer comme une… une…, ma réaction fut immédiate. J'eus un désir de la prendre très fort qui envahit mes neurones.
- Ah oui tu veux que je te dépucelle l'anus… et bien tu vas être servie…
- Oh oui, je veux… Vas-y… Obéis.
Je ne comprenais plus rien, j'aurais voulu qu'elle soit en noir pour le lui imposer et là c'est elle qui me le demandait.
Toujours à genoux, je la tournais et avec ses fesses devant moi, je les lui écartais et plongeais bouche en avant dessus. Je tirais sur ses globes pour les lui écarter encore plus. Les fronces de son anus s'évasèrent et j'avais sous les yeux une pastille large d'au moins trois de mes doigts. Je mis ma langue en pointe et je lui léchais les fronces… Elle gémissait…
- Oui, comme ça… C'est bon… Plus fort… Entres… Prépares-moi…
Le désir de la pénétrer en force s'accentua et me relevant je la fis mettre à genoux sur le lit, les fesses cambrées, sa tête en appui sur ses bras.
Et là je repris mon travail de préparation, en y ajoutant un doigt que je fis tourner dedans bien à fond. Puis un deuxième… Que je fis tourner également pour bien l'assouplir.
- Hmmm oui, c'est bon… C'est sale, mais c'est bon… Vas-y lèches moi encore.
- Mais non c'est pas sale, écartes tes fesses à deux mains…
Bien sur j'obéis, mais j'étais impatient de mettre mon sexe qui était tendu à l'extrême. J'écartais au maximum ses fesses, la corolle était distendue et je mis beaucoup de salive… puis j'eus l'idée d'aller chercher sa cyprine dans son vagin… Et là surprise, elle était abondante, elle suintait sur ses lèvres vaginales… J'y posais ma bouche et allant avec la langue la lécher bien profond, je remontais pour y déposer ma récolte sur son œillet bistre.
- Oui, c'est bon, vas-y entres, prends moi… Violes moi… Forces moi… Je te veux au fond… Bien au fond.
Alors me redressant je posais mon sexe sur son anus et écartant toujours ses fesses, je forçais pour entrer le gland… A ma grande surprise, il entra facilement, mais ça bloqua de suite après. Elle gémissait… elle était contractée.
- Attends, vas-y doucement, sois doux… Patient…
Alors je ressorti et décidais de la prendre par son sexe pour la détendre, je m'enfonçais en elle d'une traite, son sexe était chaud, liquoreux… Et pendant que je la prenais, de mes pouces je lui écartais l'anus pour l'ouvrir, la détendre… Quand je pus entrer facilement mes deux pouces en écartant sa corolle pour qu'elle s'ouvre et surtout reste bien ouverte détendue, je sortis et d'une traite posant mon gland sur son anus encore entrouvert je m'enfonçais en elle d'une poussée sauvage… Elle poussa un cri déchirant en s'allongeant sur le lit, je faillis sortir de son anus. Mais je restais bien profondément en elle, mas deux mains écartant ses globes pour que je puisse aller bien profond dans ses reins.
- Aïe, ouille, ça fait mal… Ne bouges pas…
- Tu veux que je sorte ?
- Non restes comme ça… C'est ce que je voulais, alors restes comme ça sans bouger.

Mon sexe était toujours aussi dur… Je sentais ses chairs m'envelopper sur toute la longueur de manière différente que dans son sexe. Je tentais un lent mouvement avec mes reins cherchant à entrer encore plus loin.
- Oui comme ça… C'est bon, viens bien à fond, restes comme ça, je sens que je m'habitue…
Au bout d'un moment elle mit ses mains sur les miennes et écarta elle-même ses fesses…
- Vas-y, prends-moi… Doucement, viens dans mes reins..
- Oui, je vais te prendre tout en longueur, bien doux.
- Non pas doux… Je veux que tu me forces… ça y est je suis détendue…
A ces mots, je la pris par les hanches et la faisant se redresser à genoux, je me mis à la pistonner sur toute la longueur de mon sexe, laissant juste le gland entre ses plis.
Elle se mit à gémir à chaque fois que je rentrais et ponctuait mes pénétrations de :
- Oh oui, encore, encore… C'est bon…
Et moi je devenais un métronome, qui ponctuait chacune de ses intromissions d'un claquement de mes cuisses sur ses globes laiteux.
- Oui, vas-y, entre encore plus, je te sens bien à fond… Oui, oui, oui… disait-elle à chaque fois que je venais en buttée sur ses fesses.
Puis je sortis de son anus et m'engouffrais dans son sexe.
- Non non restes, viens, finis moi…
Alors je repris ma chevauchée mais j'alternais en sortant pour la pénétrer en dessous.
- Non sors pas, restes en moi.
Mais je ne l'écoutais pas… si bien qu'au bout d'un moment je ne sais si cela vint de son sexe ou de son anus, mais elle se mit à gémir plus fort en agitant ses reins. Alors je décidais de rester dans son anus… Un tremblement subit de ses cuisses la tétanisa et c'est avec mon sexe bien enfoncé dans ses reins qu'elle jouit en poussant des râles continus très fort, rauques et profonds.
Elle restait comme ça, les cuisses tremblantes, les reins agités de soubresauts pendant un long moment, au moins une à deux minutes…
Elle se calma et s'allongeant sur le lit doucement, elle m'entraîna avec elle.

- Restes en moi, comme ça… Sur mon dos, je veux sentir ton poids m'écraser.
- Oui ma chérie… ça va ?
- Oui, je suis bien… Mais as-tu joui toi ?
- Non, mais c'est pas grave, on a encore toute la soirée et la nuit devant nous.
- Oh oui, et je suis toujours en rouge.
Celle là je m'y attendais pas… Que me réservait-elle encore ?
Après nous être reposés, elle proposa de prendre une douche…
- On en a bien besoin pour la suite, dit-elle.
- Quelle suite ?
- Tu verras bien.
Sous la douche, je retrouvais ma femme du début, bien sage qui se laissait caresser gentiment et qui attendait que je m'occupe de ses seins.
Quand nous sortîmes de la douche, alors que je me séchais et lui tendais une serviette elle me dit :
- Sèches-moi… Avec ta langue…
Cette idée me convenait bien j'étais amoureux de son corps. Elle était ronde potelée sans être grosse elle avait su entretenir son corps après chaque maternité. Ses cuisses bien douces étaient surmontées d'une paire de fesses que je trouvais maintenant très sensuelles, érotiques même, surtout sachant les trésors qui s'y nichaient.
Alors je m'appliquais à parcourir son corps et boire tout ce que je trouvais dans tous les replis de son anatomie. Bien sur son entrejambe reçu une attention particulière. Je m'attardais aux creux de l'aine et son périnée bien plus qu'il ne fallait pour la sécher, le sillon fessier fut aussi visité et je remarquais que son anus était toujours aussi réactif et de plus elle ne faisait aucune objection quand ma langue s'y attardait, au contraire, je la sentais s'abandonner. Ses seins aussi furent l'objet de tous mes soins et un orgasme mammaire salua mes efforts. Quand elle fut bien séchée, elle me montra son sexe et me dit :
- Occupes-toi de lui maintenant. Mais rien qu'avec tes doigts, tes mains…
- Vos désirs sont des ordres Madame.

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