Adultères Réciproques

Cet été, sur la plage, ma femme Angélique trente ans, moi Valentin trente cinq ans et notre fils Noé trois ans, avons sans le chercher vraiment, fait la connaissance d’un couple de notre âge qui a aussi une petite fille de trois ans.
Nous étions voisins de serviettes, espacés de quelques mètres. En bon chasseur j’ai tout de suite remarqué cette femme aux formes harmonieuses dans un bikini blanc qui rendait encore plus sensuel son bronzage doré.
J’ai aussi remarqué, que pour la baignade, ils se relayaient comme nous, pour garder l’ sous le parasol. J’ai fais en sorte que mon tour coïncide avec le celui de la femme pour aller me rafraîchir dans les rouleaux de l’océan qui se retirait rapidement mettant de plus en plus de distance entre les serviettes et l’eau.

‘ Elle ‘ restait sur le bord craignant de se faire emporter puis voyant que je ne me faisais pas bousculer par les vagues elle a commencé par s’aventurer vers moi, lorsqu’elle a été à portée de voix je l’ai interpellé :

- Vous pouvez avancer encore, le fond est plat .
- J’ai peur !
- Je suis là pour vous sauver la vie le cas échéant !
- Ha ! Trop drôle !
- Elle a quel âge votre petite fille ?
- Zabou a trois ans
- Comme Noé !

Nous en étions là lorsque ‘la septième’ vague est arrivée, cette vague plus forte que les autres survint sournoisement, la femme a été projetée sur moi, nous avons étés bousculés, submergés et roulés dans le sable, nous nous somment relevés hébétés. J’ai tout de suite remarqué qu’elle n’arrivait pas à décrocher son regard de mon bas ventre, la bouche ouverte elle essayait de me dire quelque chose

- Monsieur … votre... votre …

C’est alors que je me suis rendu compte que mon maillot avait glissé aux genoux et que j’avais la queue à l’air. Comme avant la naissance de notre nous allions sur la plage naturiste située juste du coté opposé je ne sentais donc pas de gêne particulière, mais la surprise passée j’ai bien ri en voyant la toison brune de la femme, rasée a un centimètre et pleine de sable.

- Madame ! Votre maillot est descendu aussi !
- Ho ! Excusez-moi !
- Je n’en perdrais pas la vue
- C’est comme à l’école : je te montre la mienne si tu me montres la tienne ! J’espère ne pas vous avoir déçue !
- Ma foi …non ! J’espère que personne ne nous voit… Pouvez-vous m’aider ? Maintenez-moi le temps que je me rince avant de remonter mon maillot, ‘elle’ est pleine de sable.
- Très bonne idée sinon vous allez vous gratter l’entrejambe tout l’après midi ! Juste le temps d’ôter le sable de mon maillot … Et voilà je suis à vous.
- Essayez de ne pas regarder …
- Vous ne vous êtes pas gênée pour mater mon service trois pièces.
- De toute façon, nous les femmes sommes faites pareilles !
- Franchement, que pensez vous de ma …hummmm ?
- Franchement ? Pas mal du tout … excusez moi je vais rejoindre ma famille.

Une fois assis sur ma serviette je ne peux m’empêcher de repenser la chatte brune de notre voisine, qui ôte son soutien-gorge pour imiter ma femme, car en mon absence Angélique a enlevé le sien, une initiative de ma femme ? Bizarre ! Une petite nouveauté, nos deux s jouent ensemble ! Mais au fait ? Pourquoi les serviettes se sont-elles autant rapprochées ???

- Ils sont adorables ces petits, Amandine chérie je vais me dégourdir les jambes le long de la plage, je vais emmener Zabou !
- Hoooo c’est dommage ils jouent si bien ensemble
- Vous permettez ? Si vous voulez je vais vous accompagner avec Noé, n’est ce pas Valentin ?
- Très bien ! Je reste avec madame pour garder les serviettes

Ça me fait drôle de voir ma femme s’éloigner avec cet homme comme si elle le connaissait depuis toujours ……. En revanche j’ai tout le loisir d’admirer la plastique quasi nue de ma voisine et pour me justifier je me sens obligé d’engager la conversation.

- Vous êtes en vacances pour quelques jours ?
- Encore une semaine, et vous ?
- Une semaine aussi ! Au camping ?
- Non à la résidence des flots bleus.
- Comme nous ! Pourtant je ne vous ai jamais remarquée ?
- C’est parce que le matin mon mari flemmarde au lit avec la petite, moi je me lève de bonne heure pour venir ici faire un footing
- Pour nous c’est quasi pareil ! C’est ma femme qui reste au lit et moi je viens pécher à la ligne.
- Alors nous devrions nous croiser ?
- Je vous trouve très belle Amandine .
- Ma parole, vous me draguez ?
- Après ce que vous m’avez montré je ne pense plus qu’à ça …
- Avez-vous déjà trompé votre femme ?
- Non et vous ?
- Non plus …J’avoue que votre nudité accidentelle m’a troublée …
- Arrêtez sinon je vais avoir une érection …
- Nous sommes seuls, laissez la se manifester que je me fasse une idée plus réelle de votre anatomie.
- Prévenez-moi s’ils reviennent …Tournez vous comme moi sur le coté … écartez votre maillot...
- Vous êtes fou ?
- Je sais, mais vous l’êtes autant que moi ! C’est l’euphorie de vacances ! La liberté retrouvée !
- D’accord mais pas longtemps … Ça va comme ça ?
- Ouvrez vos lèvres avec vos doigts, ça va me faire bander en trente secondes
- Si vite ? Sortez là de votre slip de bain que je vois si vous mentez……
- Regardez … Ça monte, et ça va monter encore …
- Incroyable ! Décalottez là … Huuuummmm vous me faites mouiller
- Faites faire du bruit à votre chatte avec vos doigts, branlez vous comme je le fait aussi.

Un doux clapotis monte à mes oreilles, je me masse discrètement le gland décalotté à fond en contemplant les deux doigts fins aller et venir dans la grotte détrempée.
Amandine croise subitement les cuisses en laissant échapper un petit cri, aucun doute, elle vient de jouir ça suffit pour me faire décharger, je vise le sable pour ne pas tacher la serviette, il était temps nos conjoints reviennent.


- Attention les voilà …
- Je vous attends demain matin neuf heures sur le parking
- ……
- La promenade a été bonne ?
- Ça va les petits ?
- Ils se marieront ensemble c’est sûr ! Le temps ne vous a pas duré vous deux ?
- Boff nous avons parlé météo et s !
- Comme nous, votre femme est admirable Valentin !

A ces mots, Angélique a rosi en évitant mon regard, de quoi avaient-ils bien pu parler ????

A suivre.....