Cathy Kruger S'Est Lâchée

J'ai rendez-vous avec Benoît au même fast-food que la dernière fois. J'ai envie de bluffer ses copains. Je me prépare au grand show.
Je tresse mes cheveux en une grande natte qui tombe juste à la naissance des fesses. J'enfile une culotte blanche en latex et un chemisier blanc translucide qui laisse deviner mes seins libres. Et puis, la fameuse minijupe rouge qui laisse voir ma culotte à chacun de mes pas, enfin les bottes de cuir blanches qui montent jusqu'aux genoux, sur des talons de 15 cm.
Je rentre dans le fast-food et regarde autour de moi. Tous les jeunes me regardent, garçons et filles. Je repère Benoît et me dirige vers lui. Ses copains s'écartent. Je me penche vers lui et pose mes lèvres rouges sur les siennes. Faisant cela, je sais qu'ils voient ma culotte. J'en vois plusieurs qui se touchent l'entrejambe.
- Bonjour Benoit, sussurai-je, tu viens ?
L'un des trois lascars de la dernière fois s'étrangle. Je prend la main de Benoît et il se lève.
- Salut Cathy, dit-il, l'air assuré. Lui, c'est Roland ! ajouta-t-il en me désignant un boutonneux avec des lunettes épaisses.
Il est grand, des muscles d'athlète et un air triste à faire pleurer. Il relève la tête et quand il me voit, un grand sourire illumine son visage.
-Bonjour Roland, tu nous accompagnes ?
Roland soulève sa carcasse et nous suit. Nous sortons de l'établissement sous l’œil incrédule des autres convives.
Une fois dans la voiture, je demande à Benoît :
- On peut aller chez toi, si tu veux ou chez Roland ?
- Et chez toi ? dit-il.
- Pas problème. Mais tu connais la consigne !
Il fouille dans la boite à gants et trouve le bandeau. Il se retourne vers Roland et lui explique.
- Attends, dis-je à Roland. Je n'avais pas prévu que vous seriez deux.
Je me soulève de mon siège, et, sous les yeux exorbités de Roland, j'enlève ma culotte. Je lui tends le morceau de latex qu'il enfile immédiatement sur ses yeux.



Une fois dans la chambre, je leur demande à tous deux de me déshabiller. Lentement avec tendresse.
- Ne soyez pas impatients ! Prenez votre temps !
Ils se sont montrés obéissants, au-delà de mes espérances. Contrairement à mes préjugés, Roland a été le plus câlin et le plus adroit. Benoît regardait faire Roland, plus qu'il ne participait. Celui-ci retira mon chemisier en premier. Mes seins jaillirent et il les saisit dans ses larges mains. Il regarda Benoît. Il le prit par le bras, et, avant de s'attaquer à ma jupe, il lui enfonça la tête au milieu de mes seins.
Roland se mit à genoux et, agrippant le tissu rouge sur mes hanches, il le fit glisser lentement sur mes cuisses, découvrant mon sexe épilé. Son visage était congestionné. Pendant ce temps, Benoît léchait mes seins, prenait les pointes dressées entre ses dents et les mordillaient doucement. Je passais ma main dans ses cheveux et il se tortillait d'aise. Roland me saisit par un bras et me tira vers le lit. Une fois assise, il me retira les bottes. Benoît avait suivi et continuait à dévorer ma poitrine. Maintenant, j'étais nue. Roland se mit à genoux devant moi et écarta mes cuisses. Sa langue lécha mon sexe gonflé de désir. Elle s'insinua dans la fente rose et délicate. J'étais trempée. C'est alors que Roland enfonça un doigt dans mon cul. J'ai poussé un soupir. Je me suis relevée et j'ai dit :
- Maintenant, c'est à moi !
J'ai attiré Benoît vers moi et Roland a tiré ses bras en arrière. J'ai déboutonné son pantalon pendant que Roland lui ôtai son t-shirt. Benoît, raide de désir, me regardait faire. Consciente du spectacle que je devais lui offrir, j'ai saisi son slip avec les dents et j'ai tiré dessus, jusqu'à ce que sa queue bondisse hors du tissu. Le slip à mi-cuisse, Benoît a saisi son membre à pleine main et l'a tendu vers ma bouche. Mes lèvres se sont entrouvertes et Benoît s'est glissé jusqu'au fond de ma gorge. Ma langue a exploré tout les plis et coutures de son engin.
Je me suis retirée et j'ai repoussé Benoît avec tendresse.
- Attends, murmurai-je, Roland y a droit aussi !

Il s'est assis au bord du lit pour regarder. Je me suis retournée, Roland m'attendait. Je me suis collée contre lui. Il m'a prise dans ses bras musclés, les mains pétrissant mes seins. Son sexe, imposant et raide, était collé contre mes fesses. J'ai ôté ses lunettes. D'un coup, j'ai vu quelqu'un d'autre. Son visage était beau. Je l'ai embrassé avec fougue. En même temps, j'ai ouvert sa chemise et caressé son torse velu. Ses muscles étaient saillants. N'y tenant plus, j'ai défait et enlevé son pantalon. Son boxer avait du mal à contenir la bête. J'ai plus arraché que retiré le sous-vêtement. Avisant Benoît, assis sur le lit, j'ai tourné Roland, de manière à ce que Benoît puisse tout voir.
Le sexe de Roland se dressait, majestueux, devant mon visage. Je ne pouvais pas le prendre dans ma bouche. Dans un premier temps, j'ai passé ma langue sous ses boules. Ses poils me chatouillaient les lèvres. J'ai pris ses couilles, une à une entre mes dents et les ai mordillées. J'ai fait glisser ma langue tout le long de son fier attribut, puis j'ai mordillé le gland qui a eu un soubresaut. Mes lèvres se sont refermées dessus et je l'ai tété comme si c'était un biberon.
Sur le lit, Benoît se branlait. J'ai poussé Roland à s'asseoir à côté de lui. J'ai retiré la main de Benoît de sa queue pour la prendre dans la mienne. Enfin, je passais d'une bite à l'autre, tantôt avec la bouche, tantôt avec la main. Il n'en n'avait jamais assez. Je me suis lassée la première. Je les ai invités à se lever et prenant leurs queues dans chaque main, j'ai comparé en riant, la taille de leurs engins. Je les ai regardés tour à tour et j'ai dit :
- Roland devant, Benoît derrière !
Je les ai pris par la main et les ai attiré vers le lit.
- Roland, sur le dos !
Le bel athlète s'est allongé sur le lit, le sexe dressé. Je me suis assise sur ses cuisses, et me tournant vers Benoît, j'ai dit :
-Viens ici !

J'ai saisi son poignet et l'ai attiré sur le lit.
Mes deux garçons nus étaient adorables. Je me suis dressée sur les genoux et j'ai enjambé Roland. Celui-ci tenait sa grosse bite à la main. Je me suis baissée lentement, jusqu'à ce que le gland écarte les lèvres de mon sexe. Alors, je me suis laissée tomber et le gourdin m'a embroché. Je me suis tournée vers Benoît et j'ai saisi son poignet.
Je me suis penchée vers Roland et l'ai embrassé dans le cou. Son sexe était planté loin en moi. Dans cette position, j'avais l'impression d'être remplie. Derrière, mes fesses étaient ouvertes aux assauts de Benoît. De son côté, il faisait glisser sa bite sur ma raie. Se soulevant légèrement, Roland se saisit de la queue de Benoît et l'approcha de mon cul. D'un seul coup de reins, Benoît s'enfonça en moi. Il me saisit aux hanches, et avec une ardeur que je ne lui connaissais pas, il m'a labouré comme un animal.
Depuis que je suis devenu fille, je n'avais pas connu une telle extase. Je sentais mes muscles se serrer autour des deux bites qui me fourrageaient. Je poussais des cris, le cœur au bord de l'explosion.
Les garçons ont échangé leurs places. Le gros sexe de Roland a déchiré mon anus. Assis sur lui, je me suis rejetée en arrière et Benoît s'est allongé sur moi. Ses coups de reins frénétiques rallumaient le plaisir qui montait. Quand les deux garçons ont joui ensemble, je me suis effondrée, totalement épuisée.
Benoît s'est remis sur le dos et m'a attirée vers lui. Il m'a attrapée par les cheveux et m'a courbée vers sa bite que j'ai avalée. Roland m'a remise à genoux et s'est enfoncé dans ma moule. Ils en voulaient encore. Benoît m'a dit d'avaler son sperme pendant que Roland m'inondait par devant.

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