Mon Traitement Préventif Contre La Maladie 2
Cest la semaine suivant que jai reçu une lettre anonyme de personnes bien intentionnées qui me signalaient quun de mes employés passait régulièrement de longues heures chez leur voisine au lieu de travailler ils avaient pris ladresse sur la voiture de lentreprise. Jai beaucoup ri en lisant cette lettre puis jai pris ma voiture pour partir les voir. Je me suis garé devant chez Marie Christine puis je suis parti sonner à leur porte.
Ils ne mont pas reconnu, je pense quils avaient juste remarqué le véhicule. Je leur ai demandé si cétait eux qui avaient envoyé la lettre que je leur ai montré. Ils ont été surpris par ma demande et mont demandé :
- Comment avez-vous su que cette lettre venait de nous ?
- Je ne savais pas, je fais juste le tour de tous les endroits où mon entreprise fait des travaux et jinterroge les voisins, cest tout.
- Ah bon. Et bien oui, cest nous qui avons envoyé cette lettre, votre employé ne travaille pas chez notre voisine, il passe tout son temps à lui faire lamour.
- Vous les avez vus faire ?
- Non, juste entendu, ils ne sont pas discrets. Vous devriez virer cet obsédé sexuel.
- Oui, je vais y penser, merci beaucoup pour votre vigilance.
Je suis reparti en riant intérieurement. Il va falloir que je me gare plus loin la prochaine fois. Ce que je fis dès le lendemain. A partir de ce jour je nai plus entendu parler deux pourtant mes visites ont continué. Je passais en moyenne trois jours par semaine chez Marie Christine pour lui faire lamour, avec elle, tout était permis et je ne craignais pas de lengrosser.
Il a fallu plus de six mois à Géraldine ma tendre épouse pour commencer à se douter de quelque chose. Jarrivais régulièrement en retard, pendant cette période Jai beaucoup maigris, et je ne cherchais plu à lui faire des câlins le soir en me couchant parce que je dormais tout de suite très profondément.
Elle ma dabord cru malade et ma accompagné chez le médecin pour un bilan complet.
Comme mon état ne saméliorait pas, elle a insisté pour mettre les s en vacance chez ses parents pour que nous puissions partir tous les deux un mois complet en Bretagne, au programme repos, et bonne nourriture pour me faire reprendre des forces et un peu de poids. Elle sest occupée de tout et ce fut rapidement organisé.
Les deux premiers jours de mes congés s, je me suis bien reposé, jai dormi presque tout le temps pendant que ma femme faisait du shopping et de la bronzette, je ne me levais que pour partir manger des crêpes et des fruits de mer avec elle. Le soir du troisième jour, elle est venue me retrouver très câline, je nai pas résisté longtemps a ses avances, nous nous sommes embrassés, caressés, puis nous avons fait lamour. Cétait revenu comme au début de notre relation, Je me régalais de lentendre crier son plaisir de la sentir me caresser, de la caresser, enfin datteindre lorgasme en même temps quelle. Malgré ses efforts pour me retenir au fond de son ventre au moment de mon éjaculation je réussissais toujours, de justesse, à me retirer pour jouir sur ses poils, juste à lentrée de son vagin ou sur ses fesses. Après ma troisième jouissance, alors que je me poussais sur le côté pour reprendre mon souffle elle est venue sur moi et a fait entrer mon sexe qui commençait à débander en elle et elle ma soufflé doucement a loreille
- Tu aurais pu rester pour ces vacances je me suis fait poser un diaphragme par le gynécologue, tu ne risques pas dêtre à nouveau papa.
Je ne sais pas si cest cette confidence ou laction de ses muscles vaginaux qui narrêtaient pas de se contracter sur mon chibre mais je me suis remis à bander et nous sommes repartis pour une folle cavalcade. Jai jouis comme un fou au fond de son ventre puis nous nous sommes endormis.
Pendant les semaines qui ont suivi, nous passions nos journées à nous promener et à découvrir les petits coins sympas de cette cote merveilleuse, de gouter à tous les plats typiques et le soir nous nous faisions lamour comme deux jeunes amoureux.
Cest à la fin de la dernière semaine, après un gros câlin, je suis parti à la salle deau et jai trouvé un truc en caoutchouc dans une boite sur le rebord du lavabo. Je suis retourné la voir pour lui demander ce que cétait.
- Non, cest rien, jai juste oublié de le remettre dans ma trousse de toilette.
- Mais quest-ce que cest ?
- Rien dimportant, un truc de femme, cest tout.
Je suis retourné au lit et là, elle a recommencé à me caresser en me narguant :
- Je suis sure que tu vas encore jouir le premier quand je te le demanderais.
Encore une fois elle voulait jouer à notre jeu favori, jai développé toute mon expérience pour la mener à lorgasme et me retenir puis quand elle a refait surface, avant quelle me demande quoi que ce soit je lui ai dit :
- Tu as bien jouis la première, jai gagné, cest maintenant à moi den profiter un peu
Elle na rien dit si ce nest un râle de plaisir quand jai accéléré la cadence. Elle a relevé ses jambes très hautes pour que je menfonce encore plus profondément en elle puis entre deux soupirs elle a soufflé
- Ah !, viens maintenant cest trop bon, viens maintenant, je ten supplie, je vais encore jouir, viens en même temps que moi.
Jai continué à la pistonner sentant ma jouissance proche je me suis enfoncé au plus profond de son ventre et quand jai commencé à cracher ma semence elle sest mise à crier son plaisir. Je me sentais comme aspiré par son intimité, cétait merveilleux. On a mis très longtemps à reprendre notre souffle, ça avait été si intense. Au bout dun long moment elle a brisé le silence :
- Tu sais le truc sur le lavabo, tu ne sais pas ce que cest.
- Non, tu mas dit un truc de femme cest tout.
- Tu ne sais vraiment pas ce que cest ?
- Non, pourquoi ?
- Cest mon diaphragme, je lai retiré ce matin, il me faisait mal.
- Ah bon mais alors, tu nes plus protégé ?
- Non, ce nest pas grave, jaimerais bien avoir un autre pas toi ?
- Ah non, je ne veux pas avoir à repasser par tous ces problèmes, biberons couches et tout le reste.
- Cest trop tard, tu me la surement déjà fait il va falloir thabi.
- Il nen est pas question, tu peux aussi le faire sauter.
- Tu voudrais détruire le fruit de notre amour ?
- Non, je veux surtout ne pas avoir tous les soucis qui vont avec.
Elle sest tue un moment puis elle a tendu la main et sest mise à me caresser. Au bout de quelques minutes, je bandais de nouveau et je suis passé sur elle pour la pénétrer.
Fâché par la sale blague quelle venait de me faire je lai possédé sauvagement, brutalement. Et non doucement en la couvrant de caresses comme je faisais habituellement. Elle a quand même adoré ce que je lui faisais et elle a jouis très fort en essayant de me retenir pour que je jouisse une nouvelle fois en elle, jai résisté, me suis retiré, relevé et je lui ai aspergé le visage de mon plaisir. Elle na pas du tout aimé ça, sest levée pour se laver à la salle deau en râlant et me traitant de gougeât.
Le lendemain jai fait la tête dès le réveil, je naime pas quon se foute de moi, quon me force la main. Toute la journée je suis resté bougon et le soir quand elle a voulu un câlin jai refusé puis je me suis retourné dans le lit pour dormir. Vers minuit, alors que je dormais bien, jai été réveillé par une étrange et agréable sensation, elle avait changé de coté sur le lit, elle était couché la tête entre mes jambes et me pompait énergiquement le jonc. Cétait très agréable. Emporté par le plaisir, jai tiré sur ses jambes et me suis mis à lui lécher le minou en insistant bien sur son clitoris que je savais très sensible. Rapidement elle sest mise à râler de plaisir et ma inondé le visage puis elle sest retournée et ma fait pénétrer dans son antre damour. Tout en membrassant elle secouait son bassin sur moi, tantôt de haut en bas, tantôt davant en arrière ou en faisant comme des petits cercles, cétait très bon, rapidement nous sommes repartis vers lorgasme total.
- Cétait fantastique, jai adoré, mais cest très risqué
- Non mon amour, si je dois tomber enceinte cest déjà fait, avec tout ce que tu mas donné hier.
- Oui mais quand même, jaurais dû sortir.
- Non, profite en bien, je ne risque plus rien de plus.
Tout en parlant elle narrêtait pas de contracter ses muscles intimes, je me sentais comme si javais le sexe engagé dans une trayeuse, je ne contrôlais plus rien, je me suis remis à bander en elle, elle sest a nouveau activée sur moi jusqu'à ce que je crache une nouvelle fois mon jus au plus profond de son ventre. Après cet orgasme monstrueux nous nous sommes endormis.
Le matin nous avons refait nos valises et nous sommes rentrés. Sur la route qui nous ramenait chez nous je me suis mis à rire, pendant ces vacances de détente, je me suis encore plus fatigué que pendant mes semaines au travail avec Marie Christine. Mon traitement pour lutter contre le risque de cancer de la prostate était complet.
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