Adultères Réciproques 2/2
Angélique a été peu bavarde le reste de la soirée, je me suis bien gardé de la questionner car je me sentais moi-même un peu coupable. Jaurais pu lâcher par inadvertance des paroles échangées avec Amandine la veille sur la plage. Le lendemain jétais fébrile lorsque je me suis préparé pour aller a la pêche
- Tu rentres à quelle heure chéri ?
- Je ne sais pas, si ça mord je reste jusqu'à onze heures.
- Ça va jai le temps de me prélasser avec Noé.
Avant de débarquer les cannes à pêche du coffre jai fait un tour de parking à pied
Amandine attend assise sur un banc, trop belle dans un petit short et top moulants son corps à la perfection.
- Bonjour ! Vous mattendiez ?
- Quallez-vous penser ! Je me demandais simplement quel circuit jallais faire, dailleurs je vais y aller, vous navez pas vos cannes a pêche ?
- Jai mieux que ça : jai une bonne gaule
- Quespérez-vous prendre avec ça ?
- Une belle sirène comme vous !! Alors ? Nous partons par où ?
- Pour ce genre de pêche je préfère vous suivre.
- Allons du coté naturiste
.
- Je vous rappelle que je nai jamais trompé mon mari.
- Et moi ma femme, nous sommes donc a égalité.
- Faisons au moins semblant de faire un jogging.
Nous voilà partis à travers les pins à petites foulées. Je me dirige de suite vers des coins peu passagers où je sais trouver un blockhaus dont le toit est accessible si lon est un peu sportif, et être ainsi invisibles du sol.
De sentir à mon coté cette femelle prête à se laisser faire, me fous la trique, au point que ça commence à me gêner pour courir.
- Arrêtons-nous un moment Amandine.
- Vous êtes déjà fatigué ?
- Non mais avec ça entre les jambes cest un handicap !
- Faites voir ???? Mon dieu vous êtes tout raide !!
- Caressez là
..
- ICI ?????
- Ya personne
.
A demi-enlacés nos lèvres seffleurent timidement, mais nos mains nont pas de conscience, je passe facilement mes doigts entre lélastique et son ventre satiné, ma bite me fait mal tellement je bande, Amandine cesse le baiser et se penche pliée en deux. Jai toutes les peines du monde à garder mes doigts dans sa chatte, alors je change de stratégie, ma main posée sur ses reins trouve le sillon naturel de son postérieur qui mène directement à sa fente. Je marrête un instant sur lillet qui palpite sous mes doigts avant de replonger dans sa vulve. Quel délice de sentir mon nud avalé et pompé avec douceur, je donne des coups de reins pour quelle avale un maximum de tige. Dans un grommellement de sanglier je mépanche dans sa gorge, elle semble savourer mon sperme car elle attend que le dernier jet soit expulsé avant de se redresser rayonnante la bouche baveuse.
- Cétait bon ?
- Tu dois me prendre pour une salope ? Et pourtant tu es le premier autre que mon mari à qui je fais ça.
- Si tu es une salope je suis un salaud qui va te bouffer la chatte dans cinq minutes ! !
- Il est encore loin ce blockhaus ?
- Juste là à cent mètres, courons, je suis à laise maintenant !
Après lui avoir fait la courte échelle pour la hisser sur le toit, je monte à mon tour, des aiguilles de pins amoncelées nous offrent un lit sommaire, sans attendre que je lui demande la femme quitte son top et son soutien-gorge de sport. A genoux devant elle je fais glisser son short au fond auréolé de mouille, son odeur de femelle en chaleur flotte sous mes narines, jétale nos vêtements pour aménager une couche sommaire et éviter la piqûre des aiguilles de pin.
- Poses tes fesses là dessus sinon ça va te piquer .
- Ce nest pas grave, ça me fera bouger quand tu va me baiser avec ta grosse queue ! Mais lèches-moi avant.
Totalement impudique elle ouvre son compas si largement que sa chatte souvre comme une huître, son nacre luit au soleil, ses lèvres éclatées sont reliées par des filaments de mouille, ma queue a retrouvée toute son arrogance.
Lorsque jai eu trop mal à la mâchoire, je me suis redressé et assis, je lai tiré par les bras pour lui faire comprendre de venir sasseoir sur moi en tailleur, sinon les aiguilles de pins allaient lui labourer le dos, ce qui serait difficile à expliquer en faisant un jogging.
Ses cuisses de part et dautre de mon bassin, ma queue entre aisément dans son vagin, une fois bien calée sur mes couilles elle sest accrochée à moi comme à une bouée et nous faisons fait lamour tantôt tendrement, tantôt comme deux animaux en rut, ses seins sécrasent sur ma poitrine, ses ongles sont plantés sur mes omoplates, mes cuisses déjà inondées de sécrétions odorantes reçoivent une avalanche de jus au moment de notre jouissance simultanée.
A regret il nous faut nous désaccoupler, Amandine a les yeux cernés comme si elle venait de passer une nuit blanche, ça aussi il faudra lexpliquer
Après une toilette improvisée avec des kleenex nous rentrons à grandes enjambées car notre escapade a pris plus de temps que prévu.
Hélas sur le parking une surprise de taille nous attend
..
- Nous pouvons savoir doù vous venez tous les deux ??????
Angélique et le mari dAmandine sont debout à coté de ma voiture, mais bizarrement ils ne se fâchent pas comme nous aurions pu le craindre
.
- Tu as les traits tirés chérie, tu as fait des folies de ton corps ?
- Et toi Valentin ? Tel que je te connais combien de fois as-tu pris Amandine ??
- Vous vous êtes léchés ? Quelles positions avez-vous réalisées ?
- HOOOOO !! Ça suffit ! Quest-ce que cest ces questions à la noix ? Expliques-moi plutôt pourquoi tu as ôté ton soutien-gorge en mon absence aussi facilement hier ? Et que vous êtes vous dit en allant promener les s sur la plage ?
- Tu veux tout savoir ? Hé bien nous vous avons vus dans leau, le slip de bain aux pieds, était-ce vraiment accidentel ? Jurez nous que vous ne vous vous êtes pas touchés ?
- Cest par accident ! Nous ne nous somment absolument pas touchés
.
- Vous avez bien fait ! Car nous sortons de ton lit Amandine ! Nous nous sommes donnés rendez-vous ce matin pour baiser pendant que la voisine gardait les s !
- Mon mari est un bon coup ? Car le tien, chapeau ! Jen ai les petites lèvres qui tremblent encore !
- Ça, je ladmets, par contre le tien a un peu de mal à redémarrer !
- Comment ta-t-il prise Amandine ?? Combien de fois ???
- Et si plutôt que de tout déballer sur une place de parking nous allions dans une chambre pour remettre ça tous les quatre ?
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