Ma Belle Au Salon Des Vins 1
Il y a deux ans, ma femme découvrait que j'avais une maîtresse. Bien sur, grosse engueulade et tout ce qui va avec. Après trois semaines d'un régime sexuel sans sexe et de gueule de quinze culs, nous avons tenté la réconciliation et sommes allés dans un salon de dégustation de vin à la campagne, à une trentaine de kilomètres de la maison.
Elle but plus que la dégustation lexigeait et alors que la fermeture approchait et que les stands fermaient, elle a commencé à être un peu proche, voir sensuelle avec deux sexagénaires dallure plutôt rustre. A ce moment-là, jétais en train de discuter vins avec un vigneron, trois stands plus loin. Naturellement, les gars devant une belle femme noire (y'en a pas beaucoup à la compagne) et passablement éméchés ont commencé à la serrer de près, à la prendre par la taille et parfois une main glissait furtivement sur ses fesses bombées. Elle se laissait faire en riant bruyamment. Je regardais la scène du coin de l'il, à la fois énervé et excité de la voir se faire gentiment tripoter, je ne réagissais pas, étant dans mes petits souliers vu la période orageuse que traversait notre couple. Soudain, elle leur fit une bise très appuyée à chacun, très près des lèvres et est venue vers moi dun pas peu assuré et m'a dit que nous devrions partir tout de suite.
Une fois dans la voiture, alors que nous roulions dans la campagne, jai senti sa main parcourir ma cuisse pour venir enserrer ma queue à travers mon pantalon. Jobservais son regard et jy lus un désir ardent. Je me suis arrêté dans un petit chemin forestier, la voiture roulait encore quand elle a déballé ma queue pour me branler. Jai fait remonter sa jupe et rouler son string humide à mi-cuisse, sur ses bas. Sa chatte, velue par plusieurs semaines de négligence, était complètement trempée. Je glissais mon doigt entre lèvres gluantes remontant vers son bouton de chair déjà gonflé de désir. Mes doigts étaient comme aspirés par son vagin, progressivement, je finissais par lui en mettre trois profondément, cétait bien la première fois que je pouvais autant dilater sa petite chatte, dordinaire si serrée.
- Il ta excitée le vieux de tout à lheure ? Alors imagines que cest sa queue qui te fourre la chatte, imagines que je te regarde en train de te faire baiser par lui.
- Non, cest pas vrai, ne dis pas ça !
Mais sa chatte ne mentait pas, je sentis les spasmes dun orgasme menserrer le sexe, puis rapidement, un flot de mouille bouillante ruissela long de mes couilles.
- Ça te fait jouir de te faire baiser par un vieux, tu es ma salope, une pute à vieux.
- Non, non, nooooon !
Cette garce jouissait tout en niant, cétait délicieusement pervers, je nai pas pu tenir plus longtemps et lâchai mon sperme trop abondant, trop longtemps contenu.
Le retour fut très câlin et coquin. Lorsque nous sommes arrivés à la maison, cette coquine n'était pas rassasiée. Elle se collait langoureusement contre moi. On se déshabilla rapidement dans le salon. Debout, nue, elle leva une jambe et frotta sa chatte, encore débordante de mon jus, contre ma cuisse. Je la sentais chaude et gluante, je bandais de nouveau. Elle recula et mattira sur le canapé. Elle me stoppa, sallongea sur le dos et mexposa vicieusement sa chatte. Une chatte quelle mavait cachée pendant des semaines.
- Lèches moi ! Suces mon sexe, espèce de salaud !
- Mais, mais, elle est pleine de
de
- De sperme, je sais, mais tu peux bien me faire ce plaisir mon chéri.
Je me penchai sur son bel abricot. Je mapprêtai à goûter mon propre sperme, jétais à la fois dégoûté et excité par cette situation. Jeus un haut-le-cur au contact de ma langue sur les chairs crémeuses, mais rapidement, jen dévorais les moindres replis, recueillant et nettoyant avec avidité tout ce qui séchappait de la cavité rose, la forant de ma langue pour me régaler et mavilir de ses sucs. Elle me prit aux épaules et me tira vers son visage. Je mallongeais sur son corps débène, calais mon sexe dans sa toison crépue et lentrepris tendrement. Elle gémissait à peine, jaccélérais la cadence, réaction toujours timide, jaccélérais encore jusquà la pilonner brutalement, elle réagissait, mais modestement aux vues des efforts que je déployais. Je lui dis alors :
- Comment sappellent les deux vicelards du salon ?
- Hummm ! Cest Ro
Roger et
. Georges !
- Eh bien, je vais de faire baiser par Roger, petite salope.
Je me retirai, me relevai comme pour la laisser à son sort et me recouchai sur elle.
- Tiens ! C'est sa queue qui te pénètre. Tu sens la queue de Roger te baiser ? Tu sens sa grosse bite au fond de ton minou ?
Et là, elle a vraiment commencé à se tordre de plaisir. Je l'ai baisé et traité de salope et de pute à vieux, elle avait lair dadorer ça et a joui comme une damnée quand j'ai encore éjaculé rapidement, bien profondément en elle. Jétais tellement excité quelle jouisse à lidée de se faire baiser par un autre mec que je n'ai pratiquement pas débandé, je lui ai dis que Georges, lautre vieux, avait aussi envie de baiser une belle négresse comme elle, mais que lui c'était un enculeur de pute.
- Vas-y Georges, prends moi les fesses !
- Je vais ten mettre plein le cul, petite traînée, je vais tenculer devant ton mari !
Je progressais lentement mais jétais surpris quaprès autant dannée sans pratique, de la facilité avec lequel elle mabsorbait sans faillir. En quelques instant, javais vrillé la totalité de ma queue dans létoile noire, jusquaux couilles, sans la moindre plainte de sa part. Elle macceptait avec une aisance que je ne lui avais jamais connue. Je coulissais dans le conduit anal, augmentant progressivement la cadence, attentif à ses réactions. Elle commença à jeter son cul en arrière pour que je la prenne plus en profondeur. Elle avait lâché une de ses jolies fesses pour me caresser les couilles entre ses jambes, c'était divin. Je sentais son excitation ruisseler sur mes testicules. Ayant déjà joui deux fois en moins de deux heures, je pouvais me contrôler et être long à jouir, ce qui ajoutait à la vraisemblance avec lun des vieux ventripotents.
- Tu la sens bien dans ton cul de négresse la bite du vieux Georges. Tu aimes ça te faire enculer par un vieux vicelard.
- Oui, cest bon, jadore ça, prends moi fort les fesses.
- Tes une pute à vieux, une traînée, une salope qui se fait enculer devant son mari, qui aime se faire enculer pendant que son mari se branle !
- Oh oui ! Plus fort, Georges, vas-y fort !
Je mettais le paquet à la fois physiquement, en lui pilonnant le cul, et mentalement en lui racontant les pires choses.
Au réveil, elle semblait gênée par ses réactions de la veille. Mais je la rassurai rapidement et je lui ai demandé si elle aimerait retourner au salon de dégustation qui durait encore deux jours. Elle ma répondu avec une sourire énigmatique que c'était une bonne idée car elle n'avait pas eu le temps de goûter à tout, je suis sûr qu'elle pensait aux vieux en disant cela, mais n'a pas voulu l'avouer. C'était décidé, nous y retournerions ce samedi soir. Ma belle avait réussi à décrocher un rdv de dernière minute chez son esthéticienne, je ne savais pas encore ce qu'elle allait y faire exactement, même si j'en avais une petite idée. Elle partit vers 14h00. Jétais comme un fou à tourner en rond à la maison, à mimaginer des scenarii les plus torrides. Je me branlai plusieurs fois, sans pour autant aller jusquau bout, en matant des vidéos sur internet mettent en scène des noires aux prises avec des vieux. Elle revint vers 18h30, elle sétait faite masser, faire les ongles des mains et des pieds et, je devinai, une épilation qui lui ferait une jolie petite chatte bien douce. Elle aimait sa toison et gardait toujours un rectangle fourni sur le pubis et un filet de poils le long de ses grandes lèvres noires. Très excité, je lattrapai par la taille et commençais à la caresser, elle se laissa un peu faire pour les seins, mais dès que japprochai de son minou, elle me repoussa. Je tentai une approche sur ses jolies fesses bien rondes, elle se laissa faire un peu, je sais quelle aime ça, mais elle me repoussa en me disant quelle devait encore se préparer. Elle me demanda de moccuper de faire un repas léger pendant ce temps.
Je concoctais soigneusement un assortiment de crudité avec du jambon fumé. Après 1H30 de préparation, pas pour les crudités, mais pour ma femme, la voilà qui apparaissait devant moi. Elle nétait pas sexy, mais sensuelle. Elle portait une robe dans un tissu assez épais qui épousait à la perfection son joli corps tout en rondeurs et lui arrivait sous le genou. Le décolleté était relativement sage sur sa poitrine, mais son dos était largement découvert, laissant voir labsence de soutien-gorge. La couleur beige contrastait efficacement avec sa peau ébène. Un collier en or tombant entre ses seins, des bottes et des bas complétait la tenue. Le maquillage était celui des grands soirs de sortie. Elle avait envie dêtre belle ce soir, elle était magnifique. Mon pantalon se déformait denvie pour elle. Elle me repoussa encore en souriant lorsque mes mains prirent possession de ses formes.
Après le dîner léger, direction le salon de dégustation. Notre entrée fut remarquée, enfin surtout la sienne. Je voyais ces mâles grisés par le vin mater ma petite femme. Lexcitation grandit encore en moi. On passa un moment à déguster quelques vins que lon navait pas eu loccasion de goûter la veille. Une fois encore, elle ne cracha pas beaucoup sur le vin. Voyant la fin du salon arriver, je commençais à me dire quune fois encore javais trop fantasmé, mais que je me consolerais bien en forniquant ma belle dans la voiture, en lui disant des phrases salaces. Espérant toujours que quelque chose se passe, je la laissais seule pendant que jallais acheter quelques cartons de bouteilles et les charger dans la voiture. Il y avait du monde aux caisses, le temps de ramener la voiture, de charger et de la garer de nouveau, il se passa bien une grosse demi heure. En revenant dans la grande salle où il y avait les stands, je ne la trouvai pas tous de suite. Je minquiétais un peu, puis la repérai sur un stand dun petit vin local que je navais pas vu. Ma coquine était en grande discussion avec nos deux anciens de la veille, cette fois, lun deux avait carrément une main qui se baladait hardiment sur les fesses. Lautre se contentait de la prendre à la taille, dattr un bras ou de passer la main sur son dos nu, pouvant ainsi apprécier la douceur de sa peau. Je mapprochais discrètement, profitant dune foule encore dense. Un troisième larron semblait participer à la discution, la petite cinquantaine. Aux vues du tablier, je supposais quil sagissait du vigneron. Lui aussi posait régulièrement ses mains sur les bras, le dos ou les épaules de ma femme. Ma belle ne se dérobait point aux attouchements et riait aux éclats de leurs blagues et de leurs chatouilles. Elle me cherchait parfois du regard, mais je laissais encore un peu durer le plaisir, le pantalon tendu par lexcitation. Je décidai à me faire voir. Elle me repéra, me fit signe de venir la voir, elle ne repoussa pas la main toujours accroché à ses fesses, le vieux Roger, trop fasciné par ce quil faisait, lesprit déjà embrouillé par lalcool, se rendit compte que jétais là que lorsque je suis arrivé devant lui, embarrassé, il retira alors discrètement sa main baladeuse. Ma femme me dit en me faisant un clin dil :
- Goûtes ce vin, il est sympa, tu devrais men prendre quelques bouteilles !
- Bien sur ! Tes désirs sont des ordres, ma chérie.
Je la sentais bien grisée par lalcool et les attouchements. Je goûtais le vin, il nétait pas mauvais, mais il ny avait pas de quoi sextasier. Je jouais tout de même le jeu.
- Oui, il me plaît bien. Je vais en prendre un carton de six.
- Pas la peine, venez boire un verre à la maison, me dit Roger, Christian dort à la maison, cest un ami, je suis sûr quil vous fera un meilleur prix que lorganisateur du salon.
- Je ne sais pas, il faut voir avec ma femme si elle nest pas trop fatiguée ?
- Non, mon chéri, ça va bien, on peut aller boire un verre, vite fait !
Cétait donc décidé, mais je minquiétais du surnombre de vieux mâles en présence. Javais le fantasme quelle me fasse cocu avec un vieux, mais le gang bang, ce nétait pas mon fantasme. Elle me chuchota à loreille son envie daller aux toilettes. On parla vin avec les nouveaux amis de ma femme. Puis lorsquelle revint vers nous, elle me glissa quelques choses de mouillé dans la main et me parlant à loreille :
- Vas aux toilettes pour voir ce que cest. Il était trop mouillé, cétait trop désagréable
Je les quittais pour rejoindre les toilettes en serrant très fort ce que javais dans la main et me disant :
- Elle la fait, jy crois pas, elle la fait, jy crois pas, elle la fait, jy crois pas
.
Je menfermais dans une cabine et découvrais ce que javais bien imaginé, un string ficelle donc le triangle de tissu était complément mouillé. Je ne pus mempêcher de le porter à mes narines pour en sentir les délicieux effluves, ma langue entra aussi en contact avec le sous-vêtement imbibé, pendant que ma main malaxait ma queue durcit. Jétais comme sur un nuage, dans un autre monde.
Je revins vers le petit groupe, tous très collés à ma femme. Mon arrivée donna le départ pour aller chez Roger. Le vigneron resta sur place à regret, il devait ranger son stand et un repas avec les autres vignerons et lorganisateur lattendait. Jétais un peu soulagé den voir un de moins. Ce malin de Roger proposa que Georges monte avec moi au cas où nous nous perdions et que ma femme monte avec lui. Jétais étonné mais excité quand elle dit que cétait une très bonne idée avec une voix tellement enjouée quelle sest surprise elle-même. Elle me glissa à loreille en me serrant le paquet :
- Je taime, peut-être que ce soir
- Ce soir, quoi ????
Trop tard, elle suivait déjà son nouvel ami en tortillant très sensuellement son petit cul rebondit. En me dirigeant vers ma voiture avec Georges, je jetais un coup dil et vis que le chauffeur de ma femme lavait prise par la taille pour faire les derniers mètres qui les séparaient du véhicule. Dans la pénombre, jai même eu limpression que cétait sur ses fesses que la main était posée.
On se suivit en voiture sur une dizaine de kilomètres en campagne. La voiture qui me précédait roulait de plus en plus lentement. Je me posais tous un tas de questions, ma machine à fantasme tournait à plein régime. Je crois bien que Georges mavait parlé ou mavait questionné, mais jétais trop absorbé, fasciné, par ce quil pouvait ce passer dans cette voiture, devant nous, pour y prêter attention. Curieusement, alors que le trajet me semblait interminable, une fois arrivé, je regrettais dy être déjà.
Jétais partagé entre la peur et lexcitation de savoir ce quils avaient fait pendant le trajet. Une fois devant cette ancienne grosse ferme rénovée en habitation cossu, je rejoignis ma femme pour franchir la cour qui mène à lentrée. Je la prenais par la taille, la serrant très fort, nosant pas lui demander ce quils avaient fait pendant le trajet de peur de connaître la réponse, mais excité de la connaître. Elle comprit mon dilemme et me glissa à loreille, pendant que nos anciens chuchotaient à lavant :
- Il a découvert que je navais pas de culotte, ce vieux vicelard. Jaime bien ses grosses mains calleuses sur mon petit minou intégralement épilé.
- Quoi ?
- Et oui, je nai plus un seul poil, même derrière. Cest vrai que ses grosses mains calleuses me changent de tes mains douces
Je voulais en savoir plus, mais nous pénétrions déjà dans la demeure de notre hôte. Au regard de Georges, je compris quil avait été mis dans la confidence.
On prit place dans le salon, moi assis à côté de ma belle dans un canapé en cuir blanc très bas et nos deux compères dans les fauteuils assortis qui nous faisaient face. Jaurai du me mettre dans un fauteuil et lun deux dans le canapé, histoire de faciliter les choses, pensais-je.
Mais alors que le champagne nous était servi, je remarquais que ma femme sétait assise en relevant sa robe assez haut sur les cuisses, je voyais la bande fleurie de ses bas noirs.
Nous étions tranquillement installés et après avoir trinqué à la beauté de ma femme, un silence lourd se fit, chacun perdu dans ses pensées et ses fantasmes, imaginant une suite torride, nosant pas faire le premier pas, buvant quelques gorgés bien fraîches. Je regardais nos amis et remarquais quils étaient captivés par ma femme, que leurs yeux se perdaient sur ses cuisses noires et musclées. Je suivis les regards pour découvrir que ses jambes étaient suffisamment écartées et la robe relevée pour laisser voir sa petite chatte entièrement imberbe. Ses lèvres charnues luisaient dexcitation. Ses effluves de femelle titillèrent mes narines, achevant de durcir ma verge.
Les jambes habillées de bas et de bottes noires, elle nous offrait là une pose des plus sensuelles. Ma queue faisait des bonds dans mon pantalon, le moindre mouvement de ma part risquait léjaculation précoce, sans même me toucher. Javais envie de la caresser, de la peloter, de lembrasser. Jhésitais, je ne savais plus quoi faire, pris entre la trouille, le désir et le risque de jouir trop tôt. Je jetais de nouveau un coup dil vers les autres, lun deux se massait le sexe à travers le pantalon.
Je rebus une gorgée car ma bouche était sèche démotion. Profitant du mouvement pour poser mon verre, je lembrassai sur la joue, elle tourna la tête et me donnait un baiser torride, plongeant sa langue dans ma bouche, cherchant la mienne avidement. Je posai ma main sur lintérieur de sa cuisse, immédiatement ses jambes sécartèrent largement, offrant une parfaite vue sur sa fente ruisselante aux deux mâles en chaleurs.
Ma main atteignit son sexe, elle bascula le bassin vers lavant en se rapprochant du bord du canapé pour faciliter la caresse. Mes doigts se perdaient entre ses lèvres marécageuses, nos bouches toujours soudées. Elle caressait brutalement ma queue et mes couilles par-dessus le pantalon. Je sentis une de ses jambes sécarter encore, cétait Roger qui la maintenait ainsi ouverte. Il commença à caresser sa cuisse juste au-dessus des bottes en me regardant, semblant chercher mon assentiment. Ne me voyant pas réagir, il sagenouilla et posa la jambe sur son épaule. Sa main arriva près de la mienne, me lenleva et en prit la place. Notre baiser cessa, ma femme regardait ce mec caresser sa chatte. Il parcourait de ses gros doigts calleux, presque deux fois plus gros que les miens, les lèvres noires et imberbes gorgées de désir. Il flattait un peu le clito pendant quun autre doigt massait lentrée de son vagin. Le voir prendre possession de limité de ma femme était fascinant. Elle avait basculé la tête en arrière et fermé les yeux pour savourer ces attouchements. Le chanceux nimaginait même pas quil nétait que le deuxième homme à accéder à ce doux calice.
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