Elle Me Raconte Sa Dernière Nuit Avec Lui

Pour notre dernière nuit aux sports d’hiver, Maud a voulu dire adieu à son beau skieur, ce photographe professionnel devant lequel elle avait posé nue avant de se donner à lui, en ma présence. Nous sommes allés en boîte et ils ont longuement flirté. C’est à peine si j’ai dansé un rock ou deux avec mon épouse. Tous les blues et les slows étaient pour lui. Elle s’abandonnait dans ses bras et je les regardais. La cave était toujours dans le noir pendant les séries langoureuses, mais la lumière noire et les éclairs projetés par les boules à miroirs suffisaient par instants à me laisser entrevoir leurs corps serrés et les mains d’Antoine caressant les fesses de Maud. Ils se sont embrassés sur la bouche, longuement, sans chercher à se dissimuler dans le coin de la piste le plus éloigné de la table d’où je les observais, plein de jalousie et de plaisir, le sexe dressé dans mon slip.
Bien sûr, elle a voulu passer cette dernière nuit avec lui. « Seule avec lui, mon grand chéri, s’il te plaît… » m’a-t-elle demandé en venant tout contre moi, en pressant son ventre contre le mien pour sentir la dureté de mon sexe et connaître ainsi ma réponse. Je n’ai pas pu jouir d’elle avant qu’elle quitte notre chambre pour rejoindre celle d’Antoine et y passer la nuit. Elle se réservait pour lui. C’est un peu comme si elle m’avait dit : « Je reste propre pour lui, tu me prendras quand il aura assez joui de moi et que je reviendrai dans tes bras, mon grand chéri. »
J’ai très peu dormi. Le sexe tendu toute une nuit, l’esprit encombré d’images où se bousculaient ma femme nue, un superbe mec lui labourant le sexe, deux corps qui tournent et se retournent pour jouir l’un de l’autre dans toutes les positions, la main de ma femme qui saisit une verge toute raide pour l’attirer entre ses cuisses en disant au beau skieur « baise-moi ! », ce fut cela mon repos cette nuit-là. Quand allait-elle regagner notre chambre ? Il était huit heures du matin et je l’attendais encore.

Je suis descendu prendre mon petit déjeuner et je les ai vus arriver, main dans la main, épaule contre épaule. Elle m’a embrassé sur les lèvres et m’a souri. Je devais lui paraître grognon et elle m’a amoureusement caressé la joue, comme on console un . « Je t’expliquerai tout, mon grand. » Plus bas, elle ajouta dans le creux de mon oreille : « J’ai envie de toi encore plus qu’avant, je t’aime. »
Elle ne me l’a prouvé que plus tard, car elle ne pensait plus qu’à boucler sa valise. Cette occupation fut interrompue par Antoine, son beau skieur, qui vint frapper à notre porte en lançant « Je vous dis au revoir… » Bises, poignées de main, « à plus ! ». Laissant la porte entrouverte derrière elle, ma femme sortit avec lui, peut-être pour l’accompagner jusqu’à sa voiture. Comme elle tardait à revenir, je me suis avancé dans le couloir pour découvrir le dernier épisode de ce coup de folie. Ils s’embrassaient sur la bouche, dans un recoin du couloir et la main de Maud pétrissait l’entrejambe de son amant. Ils ne m’ont pas vu et je me suis esquivé.
« Vous n’avez pas eu le temps de faire l’amour ?» lui ai-je demandé à son retour.
- Non, m’a-t-elle répondu, juste quelques bises. Et c’est dommage.
- Vous devez vous revoir ?
- Peut-être. Je t’en parlerai. »
Tout savoir sur la nuit qu’elle avait passée entre les bras de son amant, c’est évidemment ce que je voulais, par un récit détaillé. Elle me le fit par bribes au cours du retour en voiture vers Paris. Pour savoir si ses propos m’excitaient réellement, elle posait de temps en temps la main au bas de mon ventre, mais elle n’y mettait pas l’ardeur qui était la sienne et que j’avais observée quand elle pétrissait l’entrejambe d’Antoine, le matin même dans un recoin de couloir. Sa main me trouvait toujours en érection. Parfois, elle glissait un doigt entre les boutons de ma braguette pour toucher mon slip et mieux sentir la raideur de ma verge. Il m’arrivait de lui demander des précisions, malgré l’abondance des détails croustillants qu’elle me fournissait.

« Avez-vous eu l’occasion de jouir exactement ensemble, en synchronisme parfait ?
- Oui, une fois, et ce fut la meilleure pour moi. Il me prenait en levrette. C’est ce que nous préférions lui et moi. Mais il voulait aussi me faire jouir toute seule, avec ses doigts, ou sa langue sur mon clito, et surtout avec sa belle verge qui savait se retenir. Mais elle finissait toujours par décharger son sperme, mon grand chéri, et là, c’était prodigieux ! »

J’avais besoin de baiser Maud, après une nuit sans elle, seul avec mes fantasmes, et après plus d’une heure passée au volant à entendre des propos aussi excitants. Elle le savait très bien. Elle me fit garer sur une aire de repos. Nous aurions pu faire l’amour sur la banquette arrière, mais elle s’y prit autrement, sur les sièges avant. Elle ouvrit la ceinture de mon pantalon, déboutonna entièrement ma braguette et sortit ma verge du slip.
« Tu n’en peux plus mon grand, ton slip est inondé… tout poisseux. Ton gland est tout rouge, tout luisant… Tu mouilles comme une femme… Comme moi quand Antoine me baissait ma culotte. »
Elle avait décidé de me faire jouir tout seul, comme Antoine lui avait fait à plusieurs reprises. Elle a regardé mon sperme jaillir très haut et très fort, puis elle m’a souri.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!