Comment Cela A Commencer 2

Je vais vous raconter donc la suite, Marie avait un amant. On était passé du fantasme à la réalité. Ils se voyaient au début un soir par semaine dans les voitures, avec tout l'inconfort que cela implique. Lors de nos discussions, on a admis que ce n'était pas une solution. La maison où nous vivions à ce moment là possédait deux salons, qui pouvaient se transformer en chambre d'amis. Pour des raisons pratiques nous avons décidé que celui près de la porte d'entrée serait réservé à notre ami. Il ne restait plus qu'à le convaincre de venir baiser ma femme sous mon toit, et avec moi présent à l’étage au dessus. Marie à l'occasion de quelques rencarts, et par SMS, a commencé à lui faire comprendre que j'étais au courant et que je l'acceptais. Pendant cette période là, il passait à la maison comme avant, soit pour passer la soirée entre amis ou juste passer boire l'apéro. Mais il disait à Marie être mal à l'aise, par rapport à l'amitié qui nous liait lui et moi. Il a fallu qu'elle le lui dise vraiment pour qu'il le comprenne vraiment. Mais malgré ça, il n'y croyait pas.
Un samedi, je m'en rappellerais tout le temps, il vient passer la soirée à la maison. Apéro, repas arrosé de vin, et un petit digestif, Marie et moi avons fait de nombreuses allusions au fait que j'étais au courant et consentais qu'ils aient une relation. Lui restait discret voir gêné. A la fin du repas, je pris mon courage à deux mains, et je me lançais. Je lui dis donc que je savais, que ça ne me dérangeait pas, et pour finir je lui dis qu'ils ne pouvaient plus se voir dans une voiture comme des jeunes et que le confort d'un lit serait plus propice à leurs ébats. Nous le sentions mal à l'aise, mais il est resté. Une fois passé cet intermède, la discussion se déroula comme les autres fois. Vers une heure du mat, il dit qu'il allait partir lorsque il se dirigea vers les escaliers menant à la porte d'entrée, on se dit au revoir comme si de rien était. Mais quand il descendit, Marie m'embrassa et me dit «à tout à l'heure, je t'aime».

Et je répondis «moi aussi», je bandais déjà de savoir qu'elle allait se faire prendre là, juste à quelques mètres de moi... Je finissais de ranger la salle à manger où nous étions tous les trois, mais je n'entendis la porte d'entrée, je les imaginais donc dans les bas l'un de l'autre. J'allais dans le salon et me mis devant l'ordi avec là télé en bruit de fond. Mais là, après une paire de cigarettes, mon sexe me fit mal, mon imagination tournait à plein régime. N'y pouvant plus, je me dirigeais sans bruit vers les escaliers, et là, petit à petit des sons me parvenais, j'entendis gémir, je ne sais lequel des deux geint de plaisir. Je descendis deux marches de plus, j'entendais de mieux en mieux leurs soupirs. Je les entendais parler, rire et gémir, deux marches de plus et je me rapprochais de la porte du salon (chambre adultère). J'entendais des bruits de succion et mon ami gémir «Ohhhhh oui c'est bon, ah, hummm, oui, oh...». Marie devait le sucer, je n'en pouvais plus, je bandais comme un fou. Je tentais de voir la scène, ma femme avec une bite autre que la mienne dans la bouche. Je sais que dans ces moments là, elle joue de sa main sur les couilles, les sert, les relâche, ses doigts glissent vers ses fesses mais n'atteignent pas la cible. C'est une frustration jouissive, j'imaginais qu'elle lui faisait subir la même douce ... Ils changeaient de position et se retrouvaient en 69, ils gémissaient de concert maintenant... Elle lâchait le sexe de sa bouche : «Prends moi, je te veux. Ça va être bon. Ohhhhh. Arrêtes avec ta bouche, je veux ta bouche...». Il se redressait et se rapprochait de Marie, ils s'embrassaient et là, tout doucement je voyais son sexe envahir la chatte de ma femme. J'étais dans son dos et il était sur Marie, aucun des deux ne pouvait me voir, moi par contre je voyais la chatte de Marie grande ouverte, offerte, gourmande. De là où j'étais, je voyais les fesses de mon pote qui s’avançait vers Marie. Je voyais ses couilles et son sexe s'avancer, le gland écartait les lèvres puis disparaissait.
Mon ami commençait à bouger dans un petit rythme, Marie gémissait quand il la remplit totalement. J'étais au paroxysme de l'excitation, je me voyais les rejoindre mais je restais cacher. Le rythme s’accélérait, Marie poussait des petits cris, s'accrochait à ses épaules, lui réclamait du plaisir, lui disait que c'était bon... Et là, brusquement il la prenait dans ses bras et la retournait pour se trouver maintenant sous Marie. Là c'était elle qui me tournait le dos, je voyais maintenant ses fesses à elle monter puis descendre sur cette bite. Il lui écartait les fesses, sa rondelle était ouverte et là un de ses doigts venait lui titiller son trou du cul. C'est à ce moment là que le plaisir envahit ma Chérie, elle feulait de plaisir, je reculais de peur de me faire voir. Marie criait, et lui aussi prenait son pied, il le disait, gémissait et puis le lit ne fit plus de bruit... Je restais immobile, il n'y avait plus de bruit. Une image me vint, il ne portait pas de capote, elle allait devoir aller aux toilettes... La peur de me faire surprendre me fit reculer doucement avec une boule au ventre. Je remontais le plus vite possible et me remis devant l'ordi. Une pointe de jalousie fit son apparition, non pas de l'acte sexuel en tant que tel, mais du fait qu'elle se soit fait remplir de la semence de son amant... Mais ce sentiment fut de courte durée, les images de leur accouplement me revenaient, je bandais depuis une heure. J'allais au lit, là où Marie devait me rejoindre quand ils auraient fini et qu'il serait parti. Une fois couché, je me branlais en revoyant les images de la soirée, je ne fus pas long à venir, je jouis vraiment très fort... J'essayais de trouver le sommeil mais je n'y arrivais pas et le temps passait. Il y avait maintenant une heure et demie que j'avais quitté mon observatoire et Marie qui ne montait pas... Un bruit, des pas dans les escaliers, puis dans la salle de bain, la douche qui coule, je commençais à faire semblant de dormir. Marie arriva dans la chambre, elle se coucha et vint se lover tout contre moi et fit en sorte de me réveiller.
Je jouais la surprise et on commença à discuter, elle me raconta sa soirée (c'est l'une des conditions avec le trio pour que je la laisse avoir un amant). Elle me raconta son plaisir et ses ressentis, tout en jouant avec ma bite, vite fait entre son récit et les images je bandais, elle vint sur moi et s'empala sur mon sexe. Elle bougea sur moi jusqu'à me vider les couilles. Si elle savait que je les avais espionner pendant leur partie de baise et que ça m'avais plu de la voir dans les bras d'un autre, gémir sous les coups de bite de notre ami. Vivement qu'il revienne et qu'ils se lâchent encore plus... A bientôt pour la suite.

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