Le Parc, La Nuit.

Plutôt petit, 1m68. Des cheveux blonds bouclés, j'ai des tâches de rousseur sur les joues. Mon visage plutôt in et ma bouche en coeur, tout ça fait que j'attire les hommes. Pour les exciter un peu plus, je revêt un short en jean ultra court qui me moule les fesses. Ça laisse aussi voir mes cuisses bronzées et une petite bande de peau claire, annonçant la blancheur de mes fesses. Je sais depuis longtemps que les fesses blanches les émoustillent. Ça donne une illusion de jeunesse.
Jeune, je le suis encore : J'ai 20 ans.
A la tombée de la nuit, dans un parc du sud de Marseille, réputé pour être fréquenté par des amateurs d'éphèbes, je suis en train de pisser contre un arbre, en regardant ma bite. Un mec se colle contre moi et sa main se substitue à la mienne. Sa queue est plaquée à mon dos, juste au-dessus de mes fesses. Son autre main malaxe mon postérieur. En réalité, je faisais semblant de pisser. Le mec se met à me branler. La chaleur de sa main me fait durcir. L'autre main se glisse dans mon short et un doigt s'insère dans ma raie. Je tend un peu le cul en arrière, et le doigt s'introduit dans mon cul.
Le gars me retourne et défait sa ceinture. Il sort sa queue et m'att par les cheveux. Il tient sa bite à la main et me courbe en avant. J'écarte les lèvres et le gland glisse à l'intérieur. Posé sur ma langue, il s'ouvre le chemin vers ma gorge. Les mains sur ma tête, le gars, d'un coup de reins m'enfile sa queue toute entière dans la bouche. Le mouvement de ses hanches fait ressortir et entrer à nouveau sa pine entre mes dents.
- Serres les lèvres ! dit-il. Pas les dents !
Maintenant, le gland forçait le passage et le mec râlait.
- Avales tout ! dit-il en jouissant. Tu suces mieux qu'une gonzesse !
- Oui monsieur, fis-je d'une petite voix.
Ça aussi, je sais que ça les rend fous. Le gars se retira et ouvrit mon short. Il me retourna et, se baissant, il le tira jusqu'à mes pieds.

La vue de mon slip rose, façon layette, lui fit un effet terrible. Il se saisit du tissu et l'arracha. Sans plus attendre, la queue à la main, il écarta mes fesses à l'aide de son gland et, arrivé sur le petit trou, à sec, d'un puissant coup de reins, il propulsa sa bite au fond de mon cul. Il ne fut pas long à jouir.
Il s'est rhabillé et m'a reculotté. J'ai cru qu'il avait fini, mais pas du tout.
- Je ne vais pas te faire de mal ! C'est juste pour la mise en scène !
Il sortit de sa poche une cagoule sombre. Il ramassa mon slip et me le fourra dans la bouche avant de m'enfiler la cagoule sur la tête.
- N'aies pas peur, je vais te porter !
Il se baissa et passa son bras autour de ma taille. Il se releva et mes pieds quittèrent le sol. Les jambes et les bras dans le vide, il me serrait contre lui. Nous avons marché plusieurs minutes. Il m'a fait entrer dans une maison et il m'a enlevé la cagoule. Il me tenait les mains dans le dos. J'avais toujours mon slip dans la bouche.
Il me traîna dans une pièce couverte d'une moquette épaisse. Il m'a remis debout et m'a déshabillé avec des gestes lents et tendres. Avec un lacet, il a lié mes poignets par devant. Un masque de théâtre a recouvert mes yeux. Il a retiré le slip de ma bouche. Sur la table, il a pris ce que j'ai cru être une ceinture. Il l'a passée entre mes lèvres. C'était du tissu. Nu, il me fit mettre à genoux au milieu de la pièce. Sur les quatre côtés, il y avait des miroirs dans lesquels je pouvais me voir.
Il tendit mes bras en avant et passa ses deux pieds dans le cercle. Sa queue était déjà sortie. Il m'attrapa par les cheveux et me releva la tête. Il me tendit sa bite et je la pris en bouche.
- Regardes-toi dans la glace ! Tu vas me rallumer !
Il se saisit de la bande de tissu et en fouetta mes fesses. Du coin de l'oeil, je regardais le miroir. Malgré la douceur du tissu, mes fesses me cuisaient. Il avait dû l'enduire d'un produit quelconque.
Dans ma bouche, sa bite grossissait et devenait dure. Il éjacula rapidement. Il me releva et me conduisit jusqu'à la table. Il me coucha dessus, sur le dos, les mains liées. Il m'avait remis le slip rose dans la bouche. Avec la bande de tissu, il me fouetta partout et surtout sur la queue. Le produit me brûlait et me faisait bander comme un taureau. Il me retourna et me délia les mains. Il recommença à me fouetter.
- Écartes tes fesses ! dit-il.
Tout mon corps était écarlate et cuisant.
- N'aies pas peur, ce n'est pas dangereux. Dix minutes après une douche, tout disparaîtra.
Il me saisit par les pieds et fit glisser mes hanches au bord de la table. Ses grosses mains écartèrent mes fesses et il m'encula. Après avoir joui dans mon cul, il me poussa sous la douche, me rhabilla et me poussa dehors. J'étais ravi.
Je suis revenu plusieurs fois. Il disait qu'il voulait expérimenter d'autres choses. Je n'ai pas été déçu. Mais ça, ce sont d'autres histoires....

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