Nouvelles Expériences 2
Lautre jour en rentrant à la maison, jai croisé une voiture qui semblait sortir de chez moi, un peu surpris, jai ralenti et jai discrètement observé le conducteur. Cétait une belle femme blonde, à ce que jai pu voir, belle poitrine, dans des vêtements très stricts, du style « inspecteur des impôts ».
Une fois à la maison, jai demandé à Géraldine :
- Qui cest la femme que jai croisé en arrivant ?
- Une copine pourquoi ?
- Pour rien, cest moi qui lai faite partir, elle me parait très stricte.
- Oh non, pas du tout, cest mon ancienne coloc, avant que je te connaisse.
- Tu avais une colocataire quand je tai connue ?
- Oui, ça aide bien pour payer le loyer quand on est étudiante.
- Mai il me semble quil ny avait quun lit dans ton appart'.
- Et alors, on se le partageait cest tout.
- Vous dormiez ensemble ?
- Oui, bien sur.
- Vous ne faisiez que dormir ensemble ?
- Euh
.. bien oui.
- Pourquoi tu hésites tant, je suis ton mari, tu peux tout me dire.
- Et bien oui, on se câlinait un peu aussi, cest elle qui ma fait avoir mon premier orgasme.
- Et bien voila, je sais maintenant que jai épousé une lesbienne en herbe.
- Ne racontes pas de bêtises, elle ma juste montré quil y avait autre chose que le travail et les études dans la vie. Nous nous aimions bien, cest tout, en plus, je ne taurais peut être jamais rencontré si elle navait pas été là.
- Ah bon ? Il faut que tu linvites pour que je la remercie, elle vit seule ?
- Oui, elle na pas de mari si cest ce que tu veux dire. Elle, elle est vraiment lesbienne.
- Il y a longtemps que tu la vois ?
- Non, je lai revue en faisant des courses il y a trois mois environ, nous avons bu un verre ensemble cest tout.
- Tu ne las pas revue depuis ? Comment elle sait où tu habites ?
- Mais oui, je lai revue, elle sest inscrite dans le même club de gym que moi, nous nous voyons toutes les semaines à la gym.
- Ah, tu fais du broute minou toutes les semaines.
- Arrêtes de dire des bêtises et viens membrasser.
Je me suis approché delle, lai embrassé fougueusement, elle était toute fraîche et parfumée comme si elle sortait juste de la salle deau.
- Les s ne sont pas là ?
- Non, ils sont au parc, jai demandé à Christine de les prendre a lécole et de les emmener jouer au parc.
- Ah oui, tu voulais être seule avec elle ?
- Arrêtes de dire des bêtises, on saime bien comme deux copines cest tout.
- Oh oui, deux lesbiennes. Elle a connu des mecs ta copine ?
- Non, je ne pense pas, je lai toujours vue quavec des femmes.
- Et quest-ce quelle fait dans la vie ?
- Je ne sais pas, elle est fonctionnaire, je crois.
- Tu linvites quand ?
- Je ne sais pas, je lui demanderai demain a la gym.
Quand les s sont revenus avec Christine, la fille de ma secrétaire, je lai prise à part pour lui payer ses heures.
- Non, monsieur, cest déjà fait, Madame me paye tous les mois.
- Ah bon et vous venez souvent vous occuper des s ?
- Oui, tous les jours, je vais les chercher à lécole et deux fois par semaine je les emmène au parc comme aujourdhui.
- Vous le faites depuis longtemps ?
- Oh non, deux mois à peu près.
- Ah bon, je nétais pas au courant. Bonsoir, à demain alors.
Je découvrais des choses qui me paraissaient étranges. Que pouvais donc faire ma femme ces deux soirs où les s étaient au parc ? Jai décidé de chercher à comprendre.
Par ma secrétaire, jai su quels étaient les jours où sa fille menait les s au parc. Le jeudi suivant je me suis garé devant la maison des voisins en début daprès-midi puis je me suis installé pour surveiller lentrée de ma maison. Vers quatorze heures, une voiture est arrivée, sest engagée dans lallée de ma villa. Jai observé. La belle blonde en est sortie, et dun pas sur d'elle, sest dirigée vers la porte, elle est entrée sans sonner, comme si elle était chez elle.
La grande blonde a tiré une chaise puis sest mise à déboutonner son tailleur si strict. Elle la retiré, plié et posé sur la chaise puis ce fut son chemisier blanc impeccable, puis sa jupe de suivre le même chemin. Je suis resté complètement sonné par le spectacle. Sous son tailleur et sa jupe très stricte elle ne portait quune guêpière noire qui lui faisait pigeonner sa magnifique poitrine et un porte jarretelle noire lui aussi qui encadrait son mont de vénus complètement épilé.
Je bandais toujours très fort, je ne pouvais pas rentrer au bureau dans cet état. Jai pensé à mon amie Marie Christine et je suis parti chez elle. Jai sonné a sa porte, elle a ouvert.
- Toi, Jean-Marc, que fais-tu là ? Tu sais que jai mes s aujourdhui ?
- Oui, je sais, où sont-ils ?
- Chez un de leurs copains qui fête son anniversaire.
- Alors tu es seule ?
- Oui, je repars dans deux heures les chercher et après leur père passe les reprendre.
- Tu me fais entrer, jai très envie de toi.
- Non ce nest pas possible, pas aujourdhui.
- Mais si regarde comme je bande, jai pensé à toi au bureau je me suis mis à bander et je suis venu te voir.
- Non, ce nest pas possible.
- Pourquoi, tu as deux heures de libre non ?
- Oui, cest sur mais je nai pas mis mon diaphragme, et je suis dans ma période dovulation. Je ne veux pas courir de risques.
- Mais tu sais que je peux faire très attention, allez, laisses moi entrer, je te promets dêtre sage.
- Oui, daccord entres, tu veux boire un truc ?
- Oui, toi.
Je lai prise par le cou et je lai embrassé en la caressant. Dans un gémissement elle ma répondu :
- Non, arrêtes, tu nes pas sage comme tu lavais promis.
Doucement en la caressant jai commencé à la déshabiller.
- Non, arrêtes, pas ici, penses aux voisins, ils peuvent nous voir.
Nous sommes montés dans sa chambre, jai terminé de la déshabiller puis je lai couché sur le lit et me suis mis à lui butiner de ma langue sa fente velue, mattardant sur son petit bouton. Rapidement elle sest mise à gémir de plaisir. Jai enfoncé un doigt en elle puis deux et revoyant le spectacle de la main de la blonde entrant et sortant du sexe de mon épouse, jai essayé trois doigts puis quatre, elle narrêtait pas de gémir de plaisir. Enfin javais ma main en elle, cétait chaud humide, jétais bien, je lai pistonné un peu pour la faire décoller puis je me suis relevé et déshabillé en la regardant reprendre son souffle sur le lit.
- Tu nas jamais pensé à tépiler le sexe ?
- Non, pourquoi, tu naimes pas ma touffe ?
- Oh oui, je ladore mais cest une idée qui ma traversé lesprit comme ça.
- Oui comme ton envie de me fister le minou ?
- Te fister le minou ?
- Oui, mettre ta main en moi, cest un truc de lesbiennes.
- Ah bon, je ne savais pas. Jai juste eut envie cest tout.
- Allez, arrêtes de dire des bêtises et viens me faire lamour mais attention, ne restes pas.
Je suis venu en elle, jai été surpris par la sensation dêtre bien serré dans son sexe que javais tant dilaté juste avant. Nous avons fait lamour comme des fous. A la fin, je me suis retiré de justesse pour lui arroser les fesses. Après un petit moment pendant lequel nous nous sommes caressés en reprenant notre souffle, elle sest levée.
- Allez, la récréation est finie, il faut que je range tout et que jaille chercher mes s. Habilles-toi vite et repars travailler.
Jai obéis, je me suis rhabillé et je mapprêtais à partir quand elle ma arrêté, embrassé puis ma dit :
- Je te trouve bizarre en ce moment.
- Moi, bizarre, non, pourquoi ?
- Je ne sais pas, ton envie que je mépile le sexe, ton envie de me fister, quest-ce que tu as ?
- Moi, rien. Non, vraiment rien.
- Je ne crois pas. Enfin on en reparlera, va vite travailler.
Je suis parti soulagé, jai regardé lheure, au lieu de partir au bureau je suis directement rentré à la maison. La voiture de la blonde nétais plus là, je suis entré, du bruit à létage. Jai appelé :
- Géraldine
- Oui, cest toi, tu rentres bien tôt.
- Oui, cest calme en ce moment, quest-ce que tu fais en haut ?
- Comme dhabitude, le ménage.
- Ah bon, tu as bientôt fini ?
- Oui, jarrive dans cinq minutes.
Je me suis installé au salon et servi un verre. Quelques minutes plus tard elle était à coté de moi.
- Tu men sers un aussi.
- Oui, tout de suite.
En lui donnant son verre, je lai embrassé, elle était à nouveau toute fraîche et parfumée comme si elle sortait tout juste de son bain.
- Ta journée a été agréable ?
- Comme dhabitude, les gosses, les courses et le ménage pourquoi ?
- Non, pour rien, au bureau cest très calme en ce moment. Où sont les s ?
- Au parc, avec Christine, il faut quils saèrent un peu ces petits.
- Oui, tu as raison et cest plus calme sans eux. Tu viens là à coté de moi me faire un petit câlin ?
- Non, ils ne vont pas tarder à rentrer, on na pas le temps.
- Tu as revue ta copine ?
- Oui, elle passera manger à la maison demain soir.
- Super, je vais voir la maîtresse de ma femme ma concurrente directe.
- Arrêtes de dire des bêtises, cest une vieille copine cest tout.
- Oui, une vieille copine qui te fais jouir plus que moi, non ?
- Ne racontes pas de bêtises, si elle me faisait jouir plus que toi, je serais toujours avec elle et je ne taurais pas épousé.
- Oui, cest vrai. Tiens, justement jentends les s qui rentrent.
A suivre
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