La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°250)

Suite de l'épisode 249 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -

- Salope, et bien dit-moi ! Oui, dit-moi, salope, tu as eu ce que tu voulais ?

C’est sur ces quelques mots que Thierry avait terminé de baiser Isabelle, la sodomisant sauvagement en levrette et déversant dans l’anus de la belle en pleurs de longs jets de sperme chaud. Isabelle ne sait quoi lui répondre et choisit pour l’instant de se taire, prenant le temps de réfléchir à ce qu’elle doit faire. En tant qu’Isabelle et femme, elle se sent humiliée par les manières grossières et brutales de celui qui jusqu’à présent était passé pour un super gentleman, plutôt romantique et amoureux, accouru à son secours pour la sortir des griffes de son soi-disant bourreau, son Maître, le Marquis d’Evans, se rendant compte qu’en réalité, il avait bien caché son jeu depuis ce matin, et qu’il n’était au demeurant qu’un rustre personnage, prêt à la maltraiter et à la baiser sans le moindre ménagement, mais sans toutefois pouvoir assumer ses penchants et sa bestialité renfermée. Mais au fond d’elle-même, Isabelle sait qu’elle n’est là que dans un rôle de composition d’une comédienne qui ne devrait pas durer éternellement et la vraie soumise Thaïs n’est pas si mécontente de la manière dont les choses se sont passées car finalement son Maître Vénéré aura eu ce qu’IL espérait, les débordements de son faux amant qu’IL a pu filmer tout à loisirs pendant de longues minutes.

- Isabelle, tu ne dis plus rien ? Sèche tes larmes et vient dans mes bras.
- Que voudrais-tu que je dise après ce qui s’est passé entre nous, tu n’es qu’un salaud comme les autres après tout. Je te déteste pour ce que tu viens de me faire subir. Tu ne t’imagines tout de même pas que je vais venir sécher mes larmes dans tes bras maintenant, comme s’il ne m’était rien arrivé.
- Isabelle, pardonne-moi, tu m’avais mis hors de moi, en me traitant de moins que rien et en mettant en cause ma virilité.

Un homme, c’est hyper sensible quand on touche à ces choses là. Je regrette cependant, je n’aurai jamais du me mettre en colère. Je ne sais pas ce qui m’a pris et je n’en suis pas spécialement fier. Je ne me suis jamais comporté comme cela avec personne avant et surtout pas avec une femme. Mais aussi, tu n’arrêtais pas de dire que tu voulais du sexe pur et dur, je croyais un peu que cela t’aurait fait vraiment plaisir. Tu as dû être habituée à supporter bien pire avant, d’après ce que tu m’as raconté et aussi ce que j’ai lu sur le message que tu as adressé à ta maman, et encore je suis sûre que tu ne lui as pas tout dit et à moi non plus. Je ne pensais pas que tu réagirais aussi mal. Ton Marquis, IL a dû t’en faire voir bien d’autres et par tous les trous, ne me dit pas le contraire. Je voulais aussi que tu ressentes la différence avec cet après-midi, l’amour ce n’est pas cela, ce doit être doux, tu le vois bien, dès qu’on te malmène un peu tu pleures comme une petite fille, alors que tantôt, tu étais radieuse et amoureuse. Ne me dit pas que tu préfèrerais retourner avec ton Maître qui t’a brutalisé sans raison alors que je n’ai fait que te faire l’amour un peu durement utilisant des mots crus, parce que je croyais que c’était ce que tu voulais au fond de toi, ce qui te faisait fantasmer.

Thierry tente de se rapprocher d’Isabelle pour la prendre dans ses bras, mais elle lui échappe, et se recule pour éviter qu’il ne la touche et l’att. Ses caresses lui sembleraient odieuses et déplacées, si ce n’était pas ordre de son Maître qu’elle était là dans cette chambre, mise à la disposition de ce jeune coq d’homme d’affaires.

- Je t’en prie mon amour, pardonne-moi, je suis le dernier des derniers, je ne veux pas te perdre si vite alors que je viens à peine de te rencontrer. Je sais, je n’aurai pas dû. Mais c’était plus fort que moi. D’une certaine manière aussi, je dois te l’avouer, j’ai voulu te piéger, me le pardonneras-tu ? Je voulais tester tes réactions pour savoir ce que tu avais dans le ventre, si tu étais vraiment une femme pervertie, nympho et un peu maso, qui pouvait aimer ce qu’elle subissait, ou plus exactement, ce que je croyais, une fille martyrisée qui s’était faite avoir et entraînée contre son gré dans une situation dont elle n’avait pas réussi à se défaire toute seule.
J’avais besoin de savoir celle que tu étais vraiment avant de songer à te prendre avec moi et à pouvoir te faire confiance. Et ta réaction de tout à l’heure me fait bien comprendre que tu n’es qu’une pauvre faible femme, qui a besoin d’amour, de tendresse, de caresses, de protection, de sérénité, tout ce que je vais pouvoir t’apporter et t’offrir dorénavant. Ne pleure plus s’il te plait, cela ne se reproduira plus jamais, je ne ferai plus jamais de mal, et je ne ferai jamais plus rien qui puisse te déplaire, je t’ai aimé dès l’instant où je t’ai vu à la merci de celui qui te maltraitait et je veux faire de toi mon amour, ma princesse, ma reine, ma protégée, celle qui régnera sur mon cœur et sur ma vie. Je serais prêt à tout pour te rendre heureuse. Je veux tout te donner, t’offrir mon Amour et tout ce que tu pourrais espérer.

Si Thierry avait pu savoir à cet instant là, combien il s’enfonçait tout seul dans son erreur de jugement.

- Isabelle, n’ai plus peur et calme toi. Laisse-moi venir m’endormir à tes côtés, s’il te plait. Nous sommes fatigués, et quelques heures de sommeil nous feront du bien à tous les deux. Demain, je t’emmènerai loin d’ici et tu seras libre de choisir ton avenir. J’espère que tu voudras bien rester avec moi et partager ma vie.

Isabelle n’a toujours pas ouvert la bouche. Elle se rappelle des ordres de son Maître Vénéré qui lui a demandé de faire en sorte que son amant dorme le moins possible. Il n’est donc pas question de le laisser venir s’allonger sur le lit, à ses côtés pour quelques heures de sommeil récupérateur qui seraient pourtant les bienvenues, même pour elle. Sa tâche n’est pas finie. Elle décide de repartir à l’assaut et de continuer à le piéger d’une toute autre manière pour voir quelles seront ses réactions, quitte une fois de plus à le faire sortir de ses gonds et en subir les conséquences.

- Tu ne crois pas que cela va se passer ainsi ! Je n’apprécie pas du tout tes méthodes. Tu as voulu me piéger, as-tu dit.
Et tu crois que je pourrais faire confiance à quelqu’un qui cherche à me piéger et à me tester. Et tu as le culot de m’avouer cela en face !

Tandis qu’elle lui parle sans mâcher ses mots, d’une voix ferme et grave, elle qui a plutôt habituellement une voix douce et aigue, Isabelle s’est petit à petit rapprochée de Thierry qui était resté assis sur le rebord du lit et sans la moindre hésitation, elle lui donne deux gifles de toutes ses forces.

- Et bien prend déjà cela en souvenir de celles que tu as osé me mettre tout à l’heure sur la figure !

Et sans même lui laisser le temps de réagir, elle lui en assène deux autres encore plus violentes. Thierry encaisse sans même ouvrir la bouche, surtout surpris par la réaction d’Isabelle, lui qui espérait encore croire qu’elle était prête à venir se faire consoler dans ses bras.

- Et ces deux là, c’est en prime, comme bonus à titre de dommages et intérêts pour préjudice subi.

Thaïs ne se reconnaît même plus, jamais de sa vie, elle n’a giflé un homme, et sûrement pas avec cette violence là. Elle ne peut s’empêcher de penser que son Maître Vénéré a sur elle un tel pouvoir, et qu’elle-même a envers Lui une telle dévotion et une envie de Lui obéir en tous points qu’elle en arrive à se surpasser et à faire des choses dont elle ne se serait même pas cru capable avant. Thierry a une réaction qui étonne Isabelle, car au lieu de se mettre à nouveau en colère, et de se déchaîner devant les caméras au risque qu’elle se prenne une nouvelle raclée incontrôlée, le jeune businessman baisse la tête et tout bas essaye de lui dire quelque chose.

- Je te demande pardon, Isabelle. Je l’ai bien mérité, oui j’ai bien mérité que tu sois en colère contre moi et que tu m’envoies des baffes. Vas-y continue, si cela doit t’aider à te soulager. Mais je t’en supplie, calme-toi, pardonne-moi et oublions ensuite ce fâcheux incident. Je veux te prouver que je t’aime et que tu peux avoir confiance en moi.

- Salaud, Salaud, Salaud !!!! lui crie t-elle tout en continuant à le gifler à en avoir presque mal aux mains.

Elle espère qu’il va finir par réagir, mais ne voyant rien venir d’autre qu’un homme tête inclinée et les yeux regardant vers le bas qui accepte sans broncher les coups qui pleuvent sur son visage, elle se dit que ce type est vraiment bizarre dans ses réactions et qu’il faut peut-être qu’elle change de stratégie, Après tout, ce n’est pas parce qu’il se balade en costume cravate, qu’il a une bonne situation professionnelle et une aisance financière certaine, qu’elle n’est pas tombée sur quelqu’un qui finalement n’attend qu’une seule chose, d’être dominé et d’avoir quelqu’un qui le fasse marcher à la baguette. Et elle pense que son Maître Vénéré, serait peut-être content de découvrir ce penchant chez son invité d’affaires, car avec ses talents de Dominateur, IL saurait très bien comment faire pour le dresser et le faire plier sous son joug, ce qui serait encore mieux que de l’avoir juste piégé dans le cadre de cette négociation immobilière et financière , car il y a peut-être une graine de futur esclave mâle du château qui germe à l’intérieur de ce spécimen. Elle ne sait pas très bien comment s’y prendre, mais elle se rappelle les manœuvres d’approche de son Maître quand IL récupère dans son cheptel un nouvel arrivant qu’IL prend sous son joug.

- Je ne crois plus à tout ce que tu me racontes. Tu m’as trahie et tu m’as piégée. Si tu voulais te faire pardonner vraiment, tu ne serais pas juste là assis sur le bord du lit, mais bien à genoux en train de me demander pardon. Toi, tu n’as que quelques mots vides de sens à m’offrir, c’est bien maigre. Pousse-toi, je n’ai pas besoin de toi, minable. Au moins, mon Marquis, IL assumait ce qu’IL faisait en Maître Dominateur qui s’affiche et lui au moins IL ne me disait pas qu’IL m’aimait s’IL ne le pensait pas. Toi, tu me dis des sornettes pour me faire croire à de l’Amour et ensuite tu te prends pour un macho qui baise comme un animal en rut et ne se contrôle même plus car sa queue lui titille le cerveau.

Isabelle se lève du lit, comme si elle s’apprêtait à quitter la pièce, quand elle aperçoit Thierry qui s’approche, s’agenouille à ses pieds et l’enlace au niveau des cuisses comme pour l’empêcher de partir. Elle donne quelques coups de pied pour tenter de se dégager et voyant qu’il la tient toujours fermement, elle recommence à le gifler pour lui faire lâcher prise.

- Pardonne-moi, Isabelle, je t’en supplie, mais surtout ne part pas. Je t’aime et j’endurerai tout de toi aussi longtemps que tu le voudras pour obtenir ton pardon.

Isabelle n’en revient pas. Oh, combien elle aimerait que son Maître soit là à cet instant, car IL saurait bien comment faire tomber Thierry dans ses filets. Elle sent bien qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que ce type révèle sa vraie nature soumise, qu’elle pressent maintenant, non pas à genoux devant elle par culpabilité, mais bien aux pieds d’un vrai Maître qui le ferait courber pour de bon. Et elle tente le tout pour le tout, pensant que les caméras filment toujours tout ce qui se passe et se dit dans la chambre.

- Tu endurerais tout de moi et aussi longtemps que je le voudrais ? Tu rêves, un mec comme toi, cela n’a pas de courage, c’est juste lâche, lui dit-elle pour l’humilier un peu plus, je suis sûre que tu ne supporterais même pas ce que tu m’as fait subir tout à l’heure sur le lit.
- Pardonne-moi, Isabelle, je ne pensais pas t’avoir fait mal et que cela puisse te mettre dans un état pareil. Tu as des cicatrices plein le dos qui saignent et tu m’en veux simplement parce que j’ai osé te sodomiser, alors que tu portais visiblement des plugs sans arrêt au château, et que cela devait être sûrement plus douloureux que ma queue qui t’a fait haleter de plaisir, ne ment pas.
- Oui d’accord ! Ceci dit, ce n’était pas une raison pour r de moi à ton tour, sans mon accord. Mais pour l’instant, lâche-moi et va t’allonger sur le lit, je vais te rejoindre, je te le promets, je prends juste un truc dans ma valise, oui juste un truc ...

Thierry croyant qu’Isabelle est en train de se calmer, va se coucher et s’allonge sur le côté du lit, espérant qu’elle viendra rapidement se coucher à ses côtés. Pendant ce temps, Isabelle est partie chercher dans sa mallette à joujoux qui est dans sa valise, un gros gode qu’elle utilise fréquemment quand son Maître le lui impose, en plastique beige-rosé imitant un sexe mâle mais de taille conséquente. Elle le tient dans sa main gauche et le cache tandis qu’elle s’approche du lit.

- Tu veux voir ce que cela fait d’être malmenée et e par un mec qui a envie de vous enculer à sec. Je suis sûre que tu n’as jamais été pénétré par une queue.
- Bien sur, qu’est-ce que tu crois ? Je ne suis pas une femme moi et je n’ai pas non plus de mauvais penchants.
- Qui te parle d’être une femme, sale macho sexiste, je te parle juste d’avoir un trou dans les fesses que quelqu’un dilate pour y rentrer une queue ou un gode. Et que je sache, tu as bien un petit trou là où je me pense comme les autres. Alors, si tu ne sais pas l’effet ressenti, et bien, je te propose de le découvrir tout de suite, sans plus attendre. D’ailleurs, je te donne le choix. Tu auras 10 secondes pour réfléchir, pas une de plus, je vais compter. Ou tu me laisses te faire sentir ce que j’ai pu ressentir comme humiliation et endurer comme sauvagerie douloureuse quand tu m’as sodomisé, dans ce cas, tu t’allongeras sur le ventre et tu me laisseras faire sans dire le moindre mot, ou je te quitte définitivement dans la seconde et tu n’entendras plus jamais parler de moi. Surtout ne cherche pas à me revoir, car ce serait peine perdue.

(A suivre ….)

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