Comment Cela A Commencer 3
Je vais vous raconter la suite, notre ami et amant venait à la maison deux fois par semaine, une fois en milieu et souvent le samedi ou le dimanche. On mangeait ensemble et en fin de soirée ils allaient dans le salon du bas où le canapé restait ouvert en position lit. A chaque fois je me faisais violence pour ne pas aller les espionner, mais mon côté voyeur prenait toujours le pas sur ma raison. Et je descendais toujours plus ou moins longtemps les épier. Certaines fois la porte était presque fermée et je devais me contenter d'écouter leurs ébats mais cela m'excitait tout autant que de les voir. Quand la porte était assez entrouverte je me régalais de voir la bouche ou la chatte de Marie déformée par ce sexe. Le fait de la partager, avec mon ami, de savoir qu'elle avait tout le plaisir dont elle avait envie, de la tendresse et de la complicité avec moi et un sexe plus gros et un peu plus de bestialité avec lui.
Cette période où je suis cocu dans ma maison a duré environ deux mois, il vient quand il veut (peut) baiser ma femme, à chaque fois le plaisir est au rendez-vous pour moi comme pour Marie. Après toutes leurs parties de jambes en l'air, quand elle me retrouvait au lit, nous faisions l'amour en évoquant ou non ce qui c'était passé en bas... Un soir nous étions au lit tous les deux, je lui reparlais de la clause mise en place quand elle m'a demandé pour coucher avec un autre. Elle m'a dit que c'était Ok pour elle, qu'elle était assez à l'aise avec lui pour essayer le trio.
- Mais je te laisse le lui dire, juste tu me préviens quand tu veux le faire, m'a t elle dit.
Quelques semaines passent sans que je trouve le courage de dire à mon ami que l'on pourrait baiser Marie à deux. Enfin un samedi on est tous les trois à la maison, le repas est fini, je fais un signe à Marie qui nous laisse, je lui propose un verre et nous allons vers le salon (pas celui qui leur sert de chambre), je commence donc avec des allusions sur Marie, sur son goût pour le sexe, on allume une cigarette assis sur le canapé un verre à la main, je lui parle du trio, comme de fait exprès Marie rentre dans la pièce.
- J'ai envie d'une bonne fin de soirée, nous a t elle dit en venant s'asseoir entre nous et en posant ses mains sur nos pantalons.
De suite je bande. Et je me doute que je ne suis pas le seul. On finit la cigarette que déjà Marie nous a libéré nos bites. Elle me prend avec sa bouche, son amant a déjà plongé sa main sur la poitrine de Marie, après quelques aller retour sur mon sexe, elle se relève pour se pencher sur son sexe à lui. J'en profite pour me déshabiller, et je passe ma main de ses seins à sa chatte, elle est trempée. Mon excitation est à son comble. A nouveau elle change de sucette, Luc, se déshabille à son tour. Lui aussi s'occupe de sa chatte, des bruits de succion montent de son entre jambe, elle mouille vraiment beaucoup...
Quand elle se penche à nouveau sur lui, je me laisse glisser au sol et je lui relève une jambe sur le canapé, ce qui ouvre son sexe humide. Je la regarde le sucer, on sent qu'elle y met du cur et qu'elle se régale, son amant a les yeux fermés et gémit discrètement. Je ne peux me retenir plus longtemps et je plonge mon visage entre ses cuisses pour déguster son coquillage... Elle commence à gémir autrement que du plaisir d'avoir une queue dans la bouche, je lui pince le clito avec mes dents, un doigt commence à la fouiller... Elle se redresse et m'invite à remonter sur le canapé et me reprend avec sa bouche. Luc me remplace entre ses jambes, elle me caresse les couilles comme on le ferait pour en extraire du lait... J'ai envie de la prendre, je lui relève la tête de ma bite et l'embrasse goulûment. Elle comprend mon désir et s'échappe de la bouche de notre complice. Elle se met en levrette sur le canapé. Je propose avant de continuer d'ouvrir le canapé en lit pour notre confort à tous les trois. Quelques secondes après, elle pousse Luc sur le lit et se penche sur lui pour le prendre avec sa bouche, à quatre pattes elle m'offre une vision affolante, je me mets derrière elle, habille mon sexe d'une capote (nous avions décidé que lors des trios, on mettrait des capotes afin qu'elle n'ait pas besoin d'aller à la salle de bain entre deux décharges.
Elle s'affaire sur la queue de notre invité, je la baise et elle suce, cette vision est trop forte émotionnellement, je sens mon plaisir monter, je me retire et propose à Luc de prendre ma place, il hésite, gêné je suppose. Et nous échangeons nos places. Je lui caresse les seins, mais de sa main elle attire ma bite vers sa bouche, je retire rapidement la capote et elle me prend en bouche. Luc lui donne des coups de queue fermes bien au fond de sa chatte. Je me retire de sa bouche et me faufile sous elle pour lui lécher le clito. Je n'avais pas penser à la proximité de cette queue plongeant en rythme dans la chatte de Marie. Lorsque je pose la bouche sur son clito, je vois le sexe et les bourses de Luc en mouvement à quelques centimètre de mon visage. Marie me suce à nouveau, sa pipe et cette vue de sexe bourrant cette chatte, me fait exploser dans la bouche de Marie.
Après avoir récupéré de mon orgasme, je me dégage du couple, et prend une position de spectateur sur le lit. J'embrasse Marie et profite du spectacle. Mon sexe retrouve de sa rigidité, Luc, le voyant, se retire en laissant sa place. Marie qui fatigue un peu en levrette, en profite pour se mettre sur le dos et ouvre ses cuisses en grand. Elle attire Luc par sa queue pour la prendre dans sa bouche, j'enfile une capote, et me plonge dans sa chatte à nouveau, je me trouve à proximité de sa bite maintenant sucée par ma femme. Sa chatte est détrempée, nous gémissons tous les trois de concert. Je la baise quand Luc se crispe, je vois l'aspect de ses couilles changer, elles se resserrent quand il pousse un cri de plaisir et se vide lui aussi dans la bouche de Marie, elle avale tout et le tète pour le nettoyer. Moi je continue à la besogner. Elle se caresse, Luc s'est un peu écarté. Je sens la jouissance qui monte à nouveau et j'explose dans le sexe de Marie.
Nous finissons tous les trois allongés avec Marie au milieu. Éreintés, essoufflés. Je ne peux m'empêcher de lui rouler une pelle, et là un goût inconnu pour moi me fait prendre conscience qu'elle vient d'avaler sa semence quelques minutes avant... Nous nous sommes endormis là tous les trois. Quand au petit matin, j'ai ouvert les yeux, Luc n'était plus là. Il s'était éclipsé au milieu de la nuit...
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