Ma Routine Candauliste Avec Maud

A Paris, notre vie a repris son train-train quotidien. Maud travaillait à la maison sur son ordinateur. Elle mettait au point des projets immobiliers et rencontrait périodiquement les responsables de la société qui lui confiait ces tâches. Moi, je visitais une clientèle d’entreprises pour vendre des conceptions et des réalisations de sites internet. Maud et moi, nous nous retrouvions le soir. L’échangisme et le candaulisme n’étaient pas une obsession pour nous, mais simplement un divertissement. Il est vrai que j’éprouvais de plus en plus le désir d’offrir à d’autres hommes mon épouse chérie et je savais qu’elle éprouvait de plus en plus de plaisir à me satisfaire en ce domaine. Nous en parlions souvent dans nos rapports amoureux. Collés l’un contre l’autre avant ou après l’amour, elle sentait mon sexe se redresser quand nous évoquions ce sujet. Un soir, je me suis fait plus précis.
« Tu aimerais revoir Alain ? Tu sais, ton beau skieur …
- Oui, mon chéri…
- Il était bon ?
- Mieux que ça, il était super… »
Elle finit par m’avouer qu’il lui avait téléphoné récemment pour lui proposer de la revoir. Elle n’avait dit ni oui, ni non, mais elle rêvait secrètement de son corps.
« De sa verge ? lui ai-je demandé.
- Oui, mon chéri.
- Sa grosse verge ? »
Pressant son ventre encore plus près du mien, elle a senti que je bandais comme un fou à l’idée qu’elle pourrait se donner encore à lui.
« Tu me permets de revoir Alain ?
- Tu connais ma réponse, tu es ma grosse salope… Je t‘aime… »
J’avais une envie folle d’assister à leur baise, mais j’aurais aimé aussi être absent, les laisser jouir seuls et retrouver Maud un peu plus tard, écouter son récit et la faire jouir à mon tour. Je lui ai posé la question.
« Tu préfères être seule avec lui ? Sans moi ?
- Comme tu veux, mon chéri.
- Mais toi, qu’est-ce que tu préfères ?
- J’aime quand tu nous regardes. Je sais que ça t’excite, que tu bandes et que tu m’aimes.

Ça m’excite de le savoir. Deux hommes avec moi… Un qui m’aime et qui me regarde jouir, et un autre qui jouit de moi et qui me fait jouir. Je sais que si tu bandes, c’est parce que tu es jaloux, parce que tu m’aimes, mon grand chéri… »
Il y eut un grand silence entre nous.
« Et quand tu es seule avec lui ?
- C’est différent, mais j’aime aussi. Je me dis que je te trompe, que je suis ta salope, que j’écarte les cuisses pour un autre, que je fais jouir mon amant. Tu es absent mais tu sais où je suis et ce que je suis en train de faire, avec un autre. Et ça t’excite… tu bandes très dur et ça me fait mouiller de savoir que je te trompe et que tu bandes. Mais je pense surtout à moi, à mon plaisir, à cette grosse verge qui se vide au fond de mon ventre, Je te trompe, mon chéri, je jouis avec lui, sans toi… Ça m’excite follement de te tromper. Tu m’en veux ?
- Je t’aime, Maud… J’aime que tu te donnes à Alain, que tu le fasses jouir et que tu reçoives son sperme… »
Elle me touche au bas du ventre.
- Tu mouilles comme une fille, mon grand, quand tu me dis des trucs comme ça… Et j’aime ce que tu dis… regarde, ça me fait mouiller moi aussi. »
Je mets deux doigts entre les lèvres du sexe de Maud. Effectivement, je les retire tout poisseux. Je plante le pouce au fond de son sexe et je dirige un doigt à la recherche de son anus. Elle aime que je la pénètre ainsi par ses deux ouvertures. Je la fais souvent jouir de la sorte. Je ralentis pour la faire languir, je mets beaucoup de temps à lui faire atteindre l’orgasme, à la faire gémir, puis crier. J’aime qu’elle me demande d’aller plus vite, plus fort… J’aime qu’elle inonde mon pouce de sa mouille et que son anus se resserre sur mon doigt quand elle parvient au plus fort de la jouissance.
« Maud chérie, je t’aime… J’aime quand tu jouis… Je veux que tu te donnes à Alain… Qu’il te prenne comme moi… Mieux que moi encore… Qu’il te baise, qu’il t’encule avec sa grosse verge, ma chérie ! »
Maud se détend, son souffle s’apaise, elle se blottit contre moi. Quand elle s’endormira, je la mettrai sur le côté, me tournant le dos, les genoux repliés vers la poitrine. Doucement je pénètrerai son sexe avec le mien et je la baiserai par des mouvements lents et profonds. Je finirai par jouir. Elle aime s’endormir avec une verge qui se vide en elle sans brutalité, puis qui se dégonfle tout doucement, tandis qu’elle sombre dans le sommeil.