Ligoté À Une Table D'Examen
Tu me regardes, un peu dépassé par la tournure des événements. Tu es étendu sur une table dexamen, tes poignets sont liés au-dessus de ta tête, bien fixés à la table. Dans ton esprit, les événements de la soirée se bousculent. La rencontre, le vin, le flirt
Comment est-il possible que tu en sois là, ligoté à cette table ? Et surtout, comment est-il possible que ça texcite autant ? Peut-être aurais-tu dû résister
Pourtant tu tes laissé faire, hypnotisé par mon regard, dans limpossibilité de fuir. Tu sais quau fond, tu en as envie. Tu veux tabandonner à moi, défier tous les tabous, devenir mon jouet. Toi lhomme, toi le dominant par habitude
Cette nuit, tu oublies les contraintes sociales, tu remets ton sort entre mes mains, tu me laisses le labeur de réfléchir, décider. Tu deviens impuissant face à ce qui va suivre, tu vis exaltation et crainte à la fois.
Les lumières sont éteintes. Seules quelques bougies nous protègent de lobscurité la plus complète. Des lueurs dansantes sont projetées sur les murs, le plafond. En fond sonore, des chants grégoriens. Latmosphère est mystique, sensuelle. Je mapproche doucement de toi. Je porte une robe noire moulante, des bottes noires qui montent aux genoux. Jentreprends de déboutonner lentement ta chemise, découvrant ainsi ton torse, ton abdomen. Je pose mes mains sur ton corps frémissant, sur lobjet de tous mes désirs. Mes mains caressent, effleurent, explorent ce corps nouveau. En ce moment, tu mappartiens totalement. Je profite de cette impression de puissance, je te rends grâce pour ce cadeau que tu moffres. Jai tous les pouvoirs sur toi, le plaisir, la souffrance, lexcitation, la frustration
Et ce soir, je compte utiliser ce pouvoir pour te faire vivre les jouissances les plus exquises.
Tu me fixes toujours, tes yeux trahissant une multitude de questions, de demandes. Je peux y lire tes envies, tes appréhensions. Je deviens toute mouillée à te voir ainsi.
Rapidement, mes mains viennent à bout de celle-ci. Je défais ta braguette, te retire ton pantalon. A travers ton boxer, je peux clairement voir ton sexe trop à létroit. Ma bouche caresse ta queue à travers le tissu. Tu soupires daise. Plus ma langue sactive, plus ta verge grossit. On peut maintenant en voir poindre le bout au-dessus de lélastique de ton sous-vêtement. Ce dernier te contraint, tu voudrais ten libérer. Je lèche délicatement ce qui dépasse de ton boxer. Tu gémis doucement. Jaime ton goût. Jaime tentendre. Tu me rends folle de désir. Je continue mes léchouilles ainsi quelques minutes qui te paraissent pourtant une éternité, emprisonné dans ce sous-vêtement trop serré. Je tire énergiquement ton boxer vers le bas, ton sexe bondit et se dresse devant moi, tel un ressort. Je suis satisfaite. Je te débarrasse complètement de ton boxer, le guidant toujours plus bas le long de tes jambes. Jatt ta cheville droite, pose ton pied sur un des étriers de la table dexamen. A laide dun long foulard, jattache ta cheville à létrier, lentement, amoureusement. Tu deviens de plus en plus vulnérable. Je fais de même avec ta cheville gauche.
Tu es maintenant nu sur cette table, la chemise ouverte, les quatre membres fermement fixés à la table, les jambes en lair et écartées, moffrant une vue imprenable sur ton sexe et ton joli petit cul ferme. Je minstalle entre tes jambes de façon à ce que tu puisses me voir. Tout en me déhanchant pour le plaisir de tes yeux, je fais glisser ma robe vers le sol. Je porte un soutien-gorge rouge en dentelle avec une petite culotte assortie. Tes yeux glissent le long de mes courbes, ton sexe est plus dur que jamais. Tu me désires, tu veux te perdre en moi. Mais tu nas dautre choix que lattente. Lattente de mes baisers, de ma chaleur, de mon humidité. Et cette attente texcite autant quelle te rend fou.
Je monte sur la table dexamen avec lagilité dun félin. Je te surplombe. Je massieds sur ton sexe bien dur, bascule mon bassin. Tu peux sentir que ma culotte est déjà bien mouillée. La dentelle rouge frotte un peu trop intensément sur ton sexe sensible, tarrachant un petit gémissement de plaisir mélangé à une légère douleur. Je fais tomber mes bretelles le long de mes épaules. Je passe mes mains vers larrière dans mon dos. Vais-je enfin dégrafer ce soutien-gorge ? Je te regarde, coquine, je te fais un peu languir. « Tu voudrais voir mes seins petit pervers que tu es ? » Tu nhésites pas. « Oh oui, Maîtresse, montrez-les-moi sil-vous-plaît! » Tu as demandé poliment, je suis comblée de ton comportement. Je retire la dentelle rouge que je jette sur le sol. Je me penche, mes seins frôlent ton visage, ta bouche. Tu noses y poser tes lèvres. Cest alors que jordonne : « Suçote mes mamelons, donne du plaisir à ta Maîtresse. »
Sans te faire plus prier, tu texécutes. Ta bouche est chaude, douce, ta langue glissante. Mes tétons déjà fermes durcissent de plus belle. En mon bas ventre se forme une boule de plaisir, irradiant dans tout mon sexe. Je suis de plus en plus ruisselante. Je mavance vers ton visage, me retourne dans le sens contraire au tien.
Je mincline ensuite vers toi, ma bouche déposant de doux baisers autour de ton sexe, prenant bien soin de le frôler doucement sans jamais vraiment y toucher. Tu tentes de basculer ton bassin pour satisfaire tes envies. Tu es surpris par une petite claque vive sur la cuisse. « Ne tavise pas de bouger ou jouir sans permission ! » Tu obéis, repentant, luttant contre ton désir de plus en plus vivant de sentir ma bouche sur ton sexe. Tu continues toujours à me lécher, je gémis encore. Puis la sensation chaude et humide de ma langue sétalant sur ton gland tenvahit. Cest bon, doux. Tu soupires. Je continue de légères léchouilles, laisse monter doucement les frissons de plaisir. Ton esprit sembrume. Jaime te voir ainsi. Je teffleure seulement le gland, pourtant tu te sens déjà près de la jouissance. Je crie de plus en plus fort, stimulée par ta langue experte. « Ah ouiii, beau jouet ! Ta Maîtresse va jouir, continue ! Ahhhh ! Ahhh ouiiii !!! » Je jouis alors fortement. Au même instant, ma main enfourne ton sexe et se met à te branler rapidement. Ce geste tant attendu mêlé à mes cris de jouissance, tu es proche de lexplosion. Dans un effort ultime de ne pas me contrarier, tu fais tout pour te contrôler. Ma main cesse ses caresses. Je métends sur toi quelques minutes pour reprendre mon souffle.
Je descends de la table dexamen. Jen fais le tour lentement, profitant de la vue de ton corps. Jy passe mes mains, te caresse, te masse. Tu es bien. Je minstalle à nouveau entre tes jambes toujours prisonnières des étriers. Je recommence à agacer les zones érogènes limitrophes à ton sexe.
Je te jette un regard malicieux. « Parce que tu crois le jeu terminé ? Ce serait trop facile beau jouet. » La frustration se mêle à ton désir. Jouvre un tiroir de la table, en sort un objet noir, pas très gros. Tu reconnais, cest un plug anal. Ton excitation monte dun cran ainsi que tes appréhensions. Jenduis lobjet de lubrifiant. Ta respiration est saccadée, tu sais ce qui tattend. Lobjet encore un peu froid pointe sur ton anus, exerce de petites pressions. Tu le sens qui pousse, se frôle un chemin à travers ton intimité. Ton muscle se relâche, accepte progressivement lintrus. Tu pousses un grognement alors que le dernier rempart cède enfin. Ton sexe est toujours au garde-à-vous. Du méat coule un filet de liquide translucide. Tu me rends folle dexcitation.
Je monte à nouveau sur la table, mempale sur ta verge alors que tu gémis. Tu memplis de toi, jadore. Je commence à monter et descendre sur ton sexe, dabord lentement. Dune main, je me caresse le clitoris, de lautre, je tapote lextrémité du plug qui ressort de tes fesses. Les sensations sont terriblement bonnes, douces, envahissantes. Nos deux corps sont gagnés par celles-ci. Je te chevauche de plus en plus vite, je gémis, je crie avec toi. A nouveau, je ressens les prémices de lorgasme. Jaccélère de plus en plus. Tu me sens monter et descendre autour de toi, ardente et glissante. Ton sexe vibre pratiquement de plaisir. Le plug donne de petits coups excitants, tu nen peux plus. Le point de non-retour se fait sentir, la jouissance naît au fond de ton rectum et dans ton sexe. Tu ne pourras plus te retenir. Cette fois, je ne te refuserai pas la jouissance. Mon vagin se contracte fortement autour de ton sexe, je crie un orgasme exaltant. « Ah ouiiii ! Ahhhhh mon dieuuuuu !!!!! Jaillis en moi bel homme ! » Tu te cabres légèrement, tu gicles partout en moi en hurlant. Je suis comblée par cette explosion de plaisir. Je me laisse tomber sur toi, ta queue toujours en moi. Ta semence coule hors de mon sexe, épaisse. Ma tête appuyée sur ta poitrine, je peux entendre ton cur qui résonne bruyamment. Nous sommes si bien.
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