Le Train N° 5987
Je mappelle Marc et jai 37 ans. Marié, je suis souvent amener à me déplacer pour mon travail si bien que ma vie sexuelle nest pas aussi épanouie que je le souhaiterai.
Lhistoire que je vais vous raconter nétait pas prévue mais restera comme lun de mes plus beaux souvenirs. Un lundi soir, mon patron vient me voir pour me prévenir quune réunion importante se tiendrait le lendemain à paris. Impossible de la louper et je dois le remplacer au pied levé.
Ma femme men veut parce que je suis souvent loin de la maison et a des doutes sur ma fidélité. Pourtant, jusquà maintenant, je ne lai jamais trompé malgré les évidentes tentations.
Me voici donc mardi matin, à 7h30, sur le chemin de la gare perdu dans mes pensées à me demander si finalement mon mariage va tenir. Je me dirige vers le quai numéro 5 lorsque je bouscule une jeune femme. Elle tombe, je laide à se relever en me confondant en excuses : « Désolé madame, jétais perdu dans mes pensées et je ne vous ai pas vu ».
Cest à ce moment que mes yeux se posent sur elle : tout dabord sa main, si fine, si douce puis ses yeux verts profonds et clairs. Elle est magnifique dans son tailleur couleur rouge.
« Ne vous excusez pas, jétais distraite moi aussi »
Ses yeux pétillent, elle est brune, fine et très dynamique. Maintenant que je la détaille un peu plus, je me rends compte que je ne pouvais pas bousculer une femme plus jolie quelle.
Finalement, elle ramasse son sac et file vers le même train que moi. Instinctivement, je la suis comme poussé par un sentiment étrange de déjà-vu. Elle ondule devant moi pendant que je voltige poussé par une force invisible.
Elle rentre dans un wagon : le 18. Sortant de ma torpeur, je me dis quil faut que je me ressaisisse « Allez, Marc. Tu as du travail, pense à autre chose ». En regardant mon billet, je me rends compte que je suis devant le bon wagon. Je pars à la recherche de la place 68 et quelle ne fut pas ma surprise lorsque je découvre que mon voisin de voyage nest autre que cette magnifique inconnue.
« Re-bonjour, je crois que nos chemins étaient faits pour se rencontrer » dit-elle avec un magnifique sourire.
Je lui réponds avec un sourire gêné : « Encore désolé pour tout à lheure, je ne suis pas du matin »
Je minstalle puis engage la conversation sur les raisons de son voyage. Je bois véritablement ses paroles, je suis hypnotiser par ses yeux et je me sens tellement à laise avec cette inconnue. Jai limpression de retrouver un ancien amour. Elle doit lire dans mes pensées car elle me pose une question déconcertante « je suis sûr de vous connaître ».
A ce moment-là, mon téléphone sonne : mon patron !! « Excusez-moi je dois répondre »
Je sors du wagon pour répondre lorsque je vois ma belle inconnue se diriger vers moi, dun pas décidé. Je la suis du regard et elle passe à côté de moi en me regardant droit dans les yeux. Sa main effleure la mienne et je sens un papier qui glisse dans le creux de ma main. Il est écrit « Suivez-moi ».
Aussitôt, jécourte ma conversation téléphonique et la suit, en silence. Elle franchit un premier wagon puis elle disparaît sur la gauche. Je continue mon chemin et entend quelquun me murmurer : « Par ici ». Je laperçois dans lembrasure dune porte surplombée du panneau « Local Technique ».
Je rentre, ferme la porte et elle att ma cravate pour mattirer à elle et membrasser. Ses lèvres sont chaudes, sa bouche souvre et nos langues se touchent dans un fracas de sensations. Je sens sa langue senrouler autour de la mienne pendant que mes mains caressent son dos nu.
Jai limpression quelle sait comment utiliser sa langue avec moi tant je suis sous tension. Mon corps se tend sous ce contact inattendu. Ma main droite remonte pour caresser sa joue et la rapprocher encore plus de moi. Je veux la sentir plus proche, je veux la posséder, la toucher, lenlacer.
Cet être si fragile dégage tellement de force et dassurance que cela me rend plus fort.
Cette douceur et ce romantisme accompagnent chacun de nos gestes. Sa main gauche déboutonne le haut de ma chemise pendant que sa main droite tient ma fesse droite.
Elle me murmure « Hummm, jai limpression de tavoir toujours attendu ».
Je réponds « Moi aussi, je narrive pas à me contrôler »
« Ne te contrôle pas » dit-elle dans un sourire
Ma main gauche passe sur sa poitrine, gonflée, galbée. Elle a une poitrine magnifique : sans doute du 95C car ma main ne tient pas tout son sein. Sa bouche mordille mon oreille droite pendant que je retire son haut pour admirer de plus près son soutien-gorge rouge assorti à son ensemble.
Ma bouche se rapproche de sa poitrine pour lembrasser. Ma langue glisse sous son soutien-gorge pour gouter enfin ce fruit défendu. Sa peau a un goût dabricot fraichement cueilli, je suis comme en apnée devant un corps si beau.
Je déboutonne son soutien-gorge pour libérer ce sein qui ne demande quà être absorbé dans ma bouche. Pendant ce temps-là, elle a réussi à entièrement libéré ma chemise et elle me la retire. Ma bouche aspire son téton qui durcit sous mes caresses. Ma main droite caresse son dos puis descend à ses fesses.
Son corps se cambre pour me laisser laccès à ses hanches, à ses fesses. Ma bouche descend le long de son ventre pendant que mes mains passent sous son tailleur, pour prendre contact avec ses fesses qui ondulent. Elle rejette sa tête en arrière et pose ses mains sur ma tête. Elle en veut plus et tout de suite.
Mes mains font glisser la fermeture éclair de son tailleur qui tombe à ses pieds dévoilant à la lumière un corps musclé, élancé et terriblement féminin. Elle porte une shorty rouge qui met en valeur ses formes. Il est en dentelles et laisse transparaître son sexe épilé.
Ma bouche revient au contact de son nombril pendant que mes mains remontent sur ses cuisses.
Ma bouche rejoint mes doigts pour lécher son abricot, sa fontaine de jouvence, son jardin secret. Elle écarte les jambes pour me laisser accéder plus facilement à son intimité. Je baisse son shorty pour ne plus sentir de barrière entre nous. Ma langue glisse sur ses lèvres et remonte sur son clitoris bandant de désir. Je lentends gémir pour ce premier coup de langue qui en appelle dautres, ses lèvres sécartent pour laisser ma langue y pénétrer. Mes mains ont repris leurs places sur ses fesses et accompagnent les mouvements de ma langue. Je sens sa chaleur, son humidité sur moi. Sa cyprine coule sur mes lèvres et ça mexcite. Ça mexcite tellement !!!
Mes mains passent délicatement entre ses fesses pour effleurer le reste de son intimité, elle sursaute lorsque mon doigt passe sur son anus mais elle ne dit rien. Au contre, son sexe se colle à ma bouche et je lengloutis véritablement sous mes baisers. Ses mains mattirent à elle contre son sésame.
« Encore, oh oui, continue »
Ma main gauche passe entre ses jambes pour pouvoir la caresser en profondeur pendant que son clitoris vibre sous mes coups de langue. Je la pénètre avec un doigt puis un deuxième pendant quun troisième, humidifié, glisse sur son anus. Elle gémit, magrippe par les cheveux. Je la sens haleter de plus en plus vite puis jouir dans ma bouche dans un cri libérateur.
Ma langue recueille son jus au goût incroyable pendant quelle reprend doucement ses esprits. Elle me redresse et membrasse pour échanger ce liquide intime. Ses mains glissent entre mes jambes pour défaire ma ceinture puis ma braguette. Pendant quon sembrasse, mon sexe se retrouve libéré de mon boxer puis pris au piège entre sens mains qui montent et descendent.
Elle est encore très excitée et je sens que nous nen avons pas fini.
Elle le regarde, lobserve, lapprivoise. Mes 18 cms nont pas lair de lui faire peur puisque je sens le bout de sa langue titillée mon gland. Sa langue descend le long de ma verge jusquà mes bourses qui sont pleines. Puis ses lèvres remontent doucement jusquà mon gland. Et là, pfiouuuu, jai ressenti un plaisir immense en sentant mon sexe entrer dans sa bouche si chaude.
Une sensation de bien-être et dunion ma envahie. Je nentendais plus rien, je me laissais guider par mes sens, je fermais les yeux pour profiter de ce cadeau de la nature. Ses va et vient étaient rapides puis délicats, lents comme si elle voulait me faire mariner.
Ses mains étaient posées sur mes fesses et glissaient sur ma fente pendant que sa bouche gobait mon sexe gonflé. Elle semblait vouloir me rendre la pareille en tout point puisque lun de ses doigts caressa mon anus. Sa main disparut un instant pour réapparaître humidifiée de cyprine afin de glisser plus facilement sur mes fesses.
Sa bouche semblait faite pour accueillir mon sexe, nos mouvements étaient synchronisés et mon plaisir montait. Javais des papillons devant les yeux tellement cétait fort.
Puis soudain, plus rien. Sa bouche avait disparu de mon sexe, ses mains de mes fesses.
En ouvrant les yeux, je laperçus de dos, les mains en appui sur une chaise. Elle avait écarté les jambes et semblait mattendre.
Son regard pétillant et coquin était presque suppliant. Je mapprochais pour glisser mon sexe dans le sien quand je compris quelle voulait autre chose. Sa croupe était cambrée, son anus luisait de mes caresses et je mapprochais de ses fesses pour lui prodiguer un anulingus. De ma main droite, je me branlais pour ne pas perdre ma vigueur pendant que ma langue simmisçait dans sa cavité. Elle ondulait sous mes caresses, son souffle signifiait son désir et son envie de continuer. Je me relevais et me rapprochais de son corps afin que mon sexe la pénètre.
De sa main, elle guida mon sexe vers son anus et le fit coulisser plusieurs fois comme pour sassurer que je ne sortirai pas. Elle semblait à laise avec cette position qui rebute la plupart des femmes. Pour ma part, je navais pas lhabitude de la réaliser mais je me sentais tellement en confiance et en symbiose avec elle que cétait juste naturel.
Mes mains agrippèrent ses hanches et je la laissais contrôler les va et vient. De sa main gauche, je la sentais se caresser. Il ne fallut pas longtemps pour que je sente son corps se contracter et son orgasme envahir tout son corps. Mon sexe nattendait que çà pour remplir cet orifice du liquide divin. Sa jouissance ne fit quaccroître mon érection et je dus jouir en elle pendant au moins 30 secondes
Nos corps étaient emboîtés à la perfection, ils étaient faits pour ça. Je sentais mes muscles satrophier et je dus me retirer.
Elle tomba dans mes bras et je lembrassai. Nos corps luisaient de sueur quand tout à coup, un coup de sifflet retentit
« Mesdames, messieurs, notre train va arriver en gare de Paris. Veuillez-vous assurer de ne rien oublier avant de descendre du train ».
Nous nous rhabillâmes en vitesse et retournâmes à notre place tout rouge, essoufflés.
Sur le chemin, le train sarrêta et nous fûmes séparés par des voyageurs.
Le temps darriver à ma place, elle était déjà partie et ne mavait laissé quun petit mot :
« MERCI. Signé : L. »
Depuis, je ne lai plus revu mais ces souvenirs hantent encore et encore mes pensées
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