Une Soirée Tout À Fait Ordinaire...
Ce soir-là avec ma copine Adeline, nous avons eu envie nous éclater, alors nous somment allées boire un verre dans un bistro du côté de la gare, nous le connaissons pour sa réputation sulfureuse, lendroit est sombre, peu de monde dans la salle, nous nous installons au bout du bar, assises sur des tabourets façon vamp, nos cuisses largement découvertes ont vite attiré le regard dun homme étrange, mis baroudeur, mis gitan, demblée, il sest approché de nous, ceci a irrité de suite ma copine
- Alors les petites ? On cherche sa dose dadrénaline
Sans hésiter, il pose la main sur une cuisse dAdeline
- Nous sommes venues simplement boire un verre, laissez-nous tranquilles et retirez votre sale patte
Lhomme ninsiste pas et regagne sa place
- Non mais tas vu sa dégaine ? Il va nous foutre la paix celui-là ?
- Moi, je lui trouve du charme avec ces traits marqués, jaime son air négligé et sa cicatrice qui lui barre la joue
- Cest peut-être un gangster ?
- Justement, son air mystérieux me fait envie
- Hé bien baise avec lui si tu veux moi, je me barre, salut a demain
Enfin seule ! Je me demandais comment me débarrasser de cette mijaurée, pas un sou daudace ! Ça a lair dintéresser mon homme qui a présent mate mes cuisses sans sencombrer de principes , je sens un pincement dans ma chatte, mes lèvres gonflent, ma culotte shumidifie immédiatement, volontairement je décroche un pied de la barre du siège et laisse pendre ma jambe ce qui a pour effet de faire remonter ma jupe sur ma cuisse et surtout de séparer ma fourche , si je me trouvais en pleine lumière je pense quen se baissant légèrement ma culotte est visible Il nen faut pas plus à mon pirate, pour revenir à la charge, il fait les deux mètres qui nous séparent et pose une main calleuse sur ma cuisse
- Te voilà seule, tu cherches de la compagnie ma belle ?
- Ça dépend
.
- Cela dépend de quoi ?
- Ce serait plutôt de qui
- Ça dépend si je suis entreprenant ou pas ?
Tien regarde
Sa main remonte entre mes cuisses, je me moque si lon nous observe, je le laisse atteindre mon slip et en apprécier la moiteur
- Tu mouilles comme une chaudasse, passe ta main dans ma braguette et att mon cobra, méfie-toi il est prêt à mordre
Je ne vais pas passer pour une dégonflée, je passe ma main dans la fente déboutonnée, le sexe énorme nest pas prisonnier de sous vêtement, un formidable soubresaut secoue mon poignet
- Mon dieu, quel membre
- Si tu veux le gouter suis moi, mais avant paye mon verre
Il est plutôt gonflé, mais ça mexcite ce coté macho, je laisse un billet sur le comptoir et sors juste derrière lui, il mattend au coin de la rue encore plus sombre que le bar
- Montre-moi ton cul, je te montre ma queue
- Ici ?
- Oui ici
remonte ta jupe et vite, écarte ton fond de slip
, enfonce un doigt et fait le moi sentir ?
ouais, tu sens la femelle en chaleur, regarde le morceau que tu vas prendre dans la moule dici peu
.
Il fourre la main dans sa braguette restée ouverte et sort son sexe, dans la pénombre, japerçois un manche à demi bandé, mais qui promet dêtre gigantesque en érection
- Allons vers les voies de chemin de fer, je connais un endroit où nous ne serons pas dérangés
Il marche à grandes enjambées sans se préoccuper si jarrive à le suivre, dans cet endroit désert il pourrait mégorger sans que personne trouve mon cadavre dici plusieurs jours, je suis complètement folle mais lenvie de me faire sauter par ce mec est plus fort que tout, il se dirige vers des wagons désaffectés, ouvre une porte de lun deux et me fait asseoir sur une banquette a la propreté douteuse, un clair de lune illumine la scène
- Ici, nous serons bien, pour commencer, tu vas me sucer ma mignonne
- Elle est propre votre verge ?
- PROPRE ? Avale et ne rechigne pas
Lhomme agrippe ma tignasse par la nuque et moblige à me pencher vers sa bitte , une odeur de pisse envahit mes narines mais la pression quil minflige est si forte que je suis obligée douvrir la mâchoire à fond, cest comme si on mobligeait à gober un uf , derrière le gland la peau est noueuse , je sens les grosses veines coulisser sur mes lèvres , il ne sarrête pas de menfiler son manche tant quil ne sent pas le fond de ma gorge , un premier haut le cur fait couler une salive épaisse de ma bouche et de grosses larmes sur mes joues creusées par la succion
- Alors ? Quen dis-tu ? Elle nest pas bonne ma matraque ? Suce feignasse, att mes couilles et presse les bien
Je finis par mhabi à cette présence et fait tourner ma langue autour du prépuce, mes doigts fond rouler les bourses dans leur sacoche de peau
- Mais cest quelle sait faire la petite salope ! Suce-moi à fond ça vient
.
HHOOOOOOOUUUUUUAAAAAA !!!!!!
Un déferlement de foutre obstrue ma gorge, son jus acre me ressort par le nez, enfin, il retire sa queue pour que je puisse respirer, je tousse, je crache, mon chemisier est maculé de semence
- Hoooo, dommage ! Tu aurais dû le retirer avant, laisse faire, je men occupe
Lhomme fouille dans sa poche, il en ressort une sorte de manche sur lequel dune pression, il en fait jaillir une lame effilée qui luit sous la lumière blafarde
- Vous nallez pas me faire du mal ?????
- Rassure-toi je ne te veux que du bien, allonge-toi et ferme les yeux
Résignée jobéis, je pense que ma dernière heure est arrivée, soudain la lame glacée frôle ma poitrine, un coup sec et le premier bouton saute, les autres suivent à toute vitesse, les pans de mon chemisier sont écartés, il émet un sifflement dadmiration, mais ce nest pas fini, à nouveau la lame sintroduit entre mes seins et mon soutien-gorge, une secousse et me voilà dépoitraillée, je sais que mes tétons sont dressés, il va sapercevoir que je suis excitée
- Houuuuaaaaaa, quelle salope, tu bandes des seins, tas vraiment envie ! Autant en finir de suite
Le gitan sattaque maintenant à ma jupe, là aussi pas de détail, il tire sur la fermeture éclair qui cède dans un sinistre craquement, il tire le vêtement jusqu'à mes chevilles, il ne me reste plus pour tout rempart que mon slip mouillé par ma cyprine et maintenant par mon urine, car je pisse de trouille, je croise les cuisses pour protéger ma chatte, mais rien ny fait, la lame entaille les deux côtés de ma culotte, cest fini, je suis nue
.
- Écarte-toi ! Rien ne marrêtera petite pute, je vais te fourrer le bonbon jusqu'à ce que tu recraches mon foutre par la bouche
- Pitié monsieur
ne me faites pas mal
- Tu vas gueuler, mais de bonheur ma poule, écarte-toi
encore plus
je vois voir ta chatte bailler dimpatience
- Ça va comme ça monsieur ?
- Ne me beurre pas les couilles avec tes monsieur appelle moi chéri puisque nous allons devenir amants, supplie-moi plutôt de te la mettre bien profond
- Mettez-moi votre verge chéri.
- Jai pas entendu
- Mets-moi ta queue profondément dans le ventre chéri
- Hé ben voilà ! Cest mieux ! Avant je vais te caresser avec mon surin
Le froid de lacier passe entre mes lèvres, mon clitoris en érection est hors de sa cachette, il appuie dessus du plat de la lame,
- Si je le voulais, je pourrais texciser dun seul coup de poignet
- NON ! Pas ça ! Baisez-moi, enculez-moi si vous le voulez !
- Retourne-toi en levrette que je vois ton trou du cul palpiter
Cambrée à outrance, le nez dans le siège qui sent le moisi, les ongles plantés dans le tissu déchiré, jattends lassaut ultime, il pose un genou au ras de mes fesses, il tape plusieurs fois violemment sur mon cul avec sa queue, comme pour en tester la raideur, je confirme, elle est dure comme un manche de pelle, mon vagin émet un bruit obscène
- Tentends ? Elle réclame à bouffer ta conasse, ne la faisons plus attendre
tes étroite bordel
.
Mais quil menfonce sa queue bon sang ! Il ne pensera plus à me faire souffrir mentalement, je suis prête à supporter sa bitte dans nimporte quel trou
enfin ! Mon col souvre sous la poussée du gland mafflu, ma gaine vaginale est labourée, écartelée, ça me fait un bien démesuré, je marque boute afin de supporter la charge quil minflige, ça y est ses poils pubiens me chatouille le cul, mes muscles vaginaux sont tellement compressés quil mest impossible de les contracter, par contre sa queue bat la mesure dans ma chatte aussi fort quun cur de buf
- Tu mécrases la queue avec ton con étroit ! Sen est que meilleur pour moi, demain, tu seras obligée de passer de la crème adoucissante entre tes cuisses
- ASSEZ ! Baisez-moi ! Baisez-moi !
Le mandrin se met en mouvement, au début, il me semble quil va faire ressortir mon utérus à lextérieur, puis ma mouille aidant ça devient le paradis, à chaque aller-retour, cest lextase, les orgasmes se succèdent, lintérieur de mes cuisses est trempé, lhomme est comme fou, il grommèle des obscénités, soudain quelque chose de froid pèse sur mon anus, à la forme et à la consistance, je devine que cest le manche de couteau quil menfile dans le boyau
- Et voilà ! À moi seul, je satisfais tous tes trous ! Ça te plait ?
- Hooooooooouuuiiiiii, jaime ça !
Méthodiquement, il me lime la chatte avec son membre démesuré et mon anus avec un manche en corne ciselée, son éjaculation est à la hauteur de la réserve de ses couilles, une déferlante de foutre jaillit dans mon ventre, a peine la dernière giclée envoyée quil retire queue et manche de couteau, jespérais être délivrée, mais cest sans compter sur sa vigueur, la bitte ne fait que changer de trou, mon anus a peine assouplis reçois le membre imposant
- Une petite visite de courtoisie a ton cul et je te laisse rentrer chez toi, courage chienne !
- Je vais défaillir
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- Fait comme tu veux, ça ne mempêchera pas de finir en déchargeant dans ta niche privée
Sans tenir compte de mes protestations il baise mon cul qui se met à lubrifier, preuve que ce nest pas du viol, lorsquil sest enfin épanché a gros bouillons je suis tombée dans les pommes, cest le froid qui ma ranimée, je suis seule, maculée de sperme, avec mes vêtements lacérés, jai regagné ma voiture en tenant ma jupe dune main et les pans de mon chemisier de lautre, jai laissé sur place mes sous-vêtements inutilisables, mais quelle soirée de débauche !
Je reviendrais la semaine prochaine
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