Elle Est Revenue

Elle est partie sur un coup de tête, après une dispute idiote. Le soir toutes ces traces avaient disparues. C’est une charmante voisine qui pour me consoler me racontait son départ : elle était en larmes… Et moi, je devrais prendre son absence gaiement ?
Elle me manque déjà, le soir même quand je me couche sans chaleur contre moi, ces belles mains sur mon corps, les miennes sur le sien. Que raconter à mes parents : leur dire que nous nous sommes disputées, que nous avons rompu, pourquoi finalement ?
Elle me manque de plus en plus. Déjà deux jours sans elle ; sans sa voix, sans ses parfums. Et puis où est-elle ? Avec une autre personne, ou seule ? En plus en couple nous avions des communs plaisirs. Comment la remplacer ?
Je me couche, les mains entre mes jambes, comme si j’avais froid, très froid. Mon cœur est glacé. Je sens ma chatte brulante contre mes poignets. Non, je ne la toucherais pas, pas sans elle. Que j’ai besoin d’elle, de ses lèvres, de ses mains, de son corps en entier, même si c’est pour ne rien faire, au moins la sertir là, à mes cotés
Ma nuit est affreuse. Mon réveil est dissonant. Mon travail est de merde, je rendre chez moi plus rompue que si j’avais besogné 8 jours d’affilés. J’ouvre ma porte, je sens son odeur, ses parfums. Mon Dieu, un miracle, elle est encore là.
Oui, elle est revenue. Elle avoue qu’elle a été tentée par une autre fille, qu’elle a passé la nuit avec elle, qu’elle s’est donnée en entier aux caresses de l’autre, qu’elle a appris un ou deux trucs.
Je ne veux rien savoir, ni sa couleur de cheveux, ni de ses yeux, ni de sa féminité. Elle est revenue, c’est le principal. Je vais retrouver ses secrets, ses façons d’aimer.
Il est tard dans l’après midi. J’ai envie d’elle de l’aimer comme lui faire comprendre que je ne peux ma passer d’elle. Son visage est la cible de mes lèvres. Je l’inonde de baisers. Quel bonheur de sentir encore sa bouche sur la mienne, de gouter encore sa salive sur ma langue.

Je lèche le miel de son cou, elle me le rend enfin. Je dois l’ en la serrant contre moi comme si j’avais peur qu’elle parte encore.
C’est elle qui me mène à notre chambre. Elle en a connu des étreintes, pas journalières, mais extrêmement sensuelles. Elle aimait et j’aimais la faire jouir sous mes lèvres, mes doigts, des fois avec un objet nommé gode. Elle me disait qu’elle avait envie de moi, comme si je n’en avais pas envie. C’est à croire qu’elle n’a pas fait l’amour depuis une éternité. Elle est folle de désir. Nous devons tous faire, réviser nos gammes.
Notre lit devient trop petit pour elle. Habituellement c’est à moi de prendre me dessus. Aujourd’hui il faut que ce soit elle qui dirige nos plaisirs. Je m’attends à tout, sauf à ce qu’elle fait. Pas possible, elle a suivi des cours de débauche. Elle m’a fait coucher, les membres écartés, bien écartés : je ne doit plus doit plus bouger. C’est plus facile à dire qu’à faire surtout quand sa bouche parcourt tout mon corps à jeun de ses caresses. Elle commence par la main gauche, m’embrasse l long du bras, arrive à l’épaule. Sa langue passe sous mes aisselles : je dois sentir la sueur. Elle prolonge son léchage vers un sein. La langue en fait le tour. Elle monte sur le mamelon, l’aspire à peine. Elle me le fait presque bander. Et elle continue sa démolition. Elle lèche tout le corps en descendant. Je l’attends vers la chatte qui mouille. Elle la saute largement pour embrasser le genoux gauche puis le droit.
Je suis essoufflée d’attendre la suite : elle m’embrasse l’intérieur de la cuisse, très lentement, trop lentement ; Je coule à tel point qu’il me semble avoir de la cyprine jusque sur le petit trou. Enfin elle arrive sur le pubis. Mes quelques poils sont l’objet de caresses ? Et puis lentement trop, elle arrive enfin sur le bouton.
Ah cette langue, là, je frémis de plaisir avant même qu’elle me lèche. Je suis enfin un peu soulagée quand ses lèvres aspirent le clitoris. Elle n’a pas changé sa façon de faire.
Je suis aspirée, léchée dans la bouche. Je bande un peu. Sa langue tournoie sur moi : je gémis mon plaisir. Lentement elle se tourne sans que sa bouche me quitte. Elle passe deux doigts entre mes jambes. La voilà son invention, elle caresse mon vagin avec un puis deux doigts, elle les fait aller et venir de plus en plus vite. Elle arrive à secouer mon ventre en entier. Je me crispe autour de ses doigts. Je me tends pour jouir. Elle continue, je jouis encore.
Mon orgasme est dévastateur. Elle ne m’avait jamais faite jouir autant. Tant pis si elle n’est pas contente, je bouge un bras. Je suis sur elle. Je caresse doucement ce que je trouve. J’arrive moi aussi à son con. J’y ente deux doigts comme elle me fait. J’arrive par bonheur à lui donner un petit orgasme : je suis trop mal placée. Elle finit de trouver. Elle est droite sur moi sa cible n’a pas changée. Je reste avec sa langue sur mon clitoris. Je ne me souviens pas avoir été léchée aussi bien depuis mes débuts en amours féminins.
Je voudrais moi, lui donner aussi du plaisir. Elle finit de se tourner, elle est sur moi entièrement. Je retrouve son odeur, sa saveur, sa douceur du sexe. Ma langue dine d’elle. Sa cyprine coule sur mon visage : j’aime bien ça. Je sais qu’elle me lèchera quand nous auront fini, juste avant de recommencer. Qu’elle a bon gout, que ma langue lèche de bonnes choses. Nous arrivons à tourner sur le lit, l’une après l’autre dessus. C’est quand je suis sur elle que je la suce, quelle me donne le gode. Oh, je sais ce que ça veut dire : elle veut que j’entre dans son joli petit trou froissé. Je l’ai juste sous les yeux. C’est facile de le poser, c’est moins facile de l’enculer comme elle le voudrait : j’ai peur de lui faire mal. Et pourtant elle insiste. Alors lentement le gode entre dans son ventre. Je le mets presque en entier. Je vois la peau de l’anus entrer aussi. Et elle gémit comme si je l’étranglais. Elle me mordille le clitoris. Je sors entièrement le gode, je le mets dans la bouche, je le suce comme une bite avant de le remettre là où elle veut.
Elle prépare une drôle de revanche : elle avait caché l’autre gode sous le matelas. Je suis surprise de le sentir sur mon petit derrière où normalement elle n’entre que ses doigts. C’est bien plus gros : elle va me faire mal. Elle l’entre tellement doucement que je sens ce nouveau plaisir sans en souffrir un seul instant. C’est bon cette façon de me la mettre au fond de moi. Avoir le cul avec ce gode, avoir le reste de la chatte avec sa langue : que faire sinon se laisser aller à ses instincts les plus bas, les plus animaux : jouir plusieurs fois, ce que je fais. Elle enlève le gode de son cul, elle vient s’assoir sur mon visage. Des fois elle le fait, toujours je sors ma langue dans sa féminité. J’aime ses moment où seul compte la figue d’une fille. J’aime finir une bonne scène amour entre fille ainsi. Je sais qu’elle ira demain ou après demain me dire qu’elle a eu une vraie queue d’un vulgaire homme que je ne veux pas connaitre. Si elle veut elle me racontera comme elle s’est fait mettre, au fond je m’en fiche.

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