Nacira Ma Femme Et L'Aubergiste Du Douar
Ma femme Nacira a dépassé la cinquantaine mais sentretenant toujours elle est encore vivace et très excitante. Malgré le poids des tabous et des coutumes, nous avons développé au fils des ans et pendant trente années de mariage un penchant vers le libertinage. Moi, jaime la voir prise par dautres. Elle, se garde et nose pas franchir le pas. Plusieurs tentatives nont abouti à rien. Juste des fantasmes pas plus. Certes elle men parle au cours des ébats amoureux mais une fois dans la réalité elle se rétracte en permanence.
Il marrive souvent de lexhiber en voiture en passant par les petits villages arabes où les gens surtout les jeunes sont agglutinés sur les bords de la route. Là, dos nus ou tenue légère, bien maquillée, presque comme une pute elle fume et les regarde au moment où moi je ralentis. Je les vois dans mon rétroviseur tous tourner la tête en portant leur main à leurs braguettes. Parfois on descend dans lun des cafés isolés sur le long de la route et là je fais en sorte que la voiture soit bien en vue des hommes qui sont dans le café ou dans sa terrasse. Ma femme feignait de cherche les toilettes sort en ayant à la main sa cigarette. Tous les regards des hommes la suivent puis se tournent vers moi sans dire mot. Moi je bande et je chuchote, allez la baiser, oui je suis son mari et jadore me rendre cocu. De retour ma femme me lance, ça y est tu bandes espèce de cocu ! Tu vois comment ces hommes bandent sur ta femme, tu aimeras bien que ces messieurs me baisent tous ensemble ! Jen meurs de désir
Une fois nous sommes allés en visite dans un coin situé sur un site historique. A Batna. Venant dAlger sur la route on a eu beaucoup dexcitation. On a même pris avec nous un auto-stoppeur auquel ma femme a fait une séance de striptease, par ses gestes de fumer, de rire et de dire des gros mots. Elle disait au jeune : tu as un gros zeb ? Lautre de répondre, oui. Ma femme : tu aimerais niquer une femme de lâge de ta mère ? Le jeune dit silencieusement ouiiii.
Arrivés sur le site, nous avons trouvé un joli refuge dans une forêt tenu par un mec chargé de guider les touristes. Il y a avait en ce jour là plusieurs familles algériennes avec des s. A midi passé le repas nous a été servi. Tellement quil y avait du monde lhomme nous a réservé un coin séparé. Ma femme en ce moment là voyant les familles et leurs s sest mis un hidjab et un foulard. Lhomme ne cessait daller et venir vers nous. Une fois la salle vidé de tous, il vient nous suggérer la possibilité de pouvoir y passer la nuit arguant quil a des chambres dhôtes à cet effet. Il semblait être excité à la vue de ma femme prenant sa cigarette et redécouvrant son maquillage une fois ayant ôté son khimar et son hidjab. Elle avait lair dune véritable pute, tellement le maquillage était à outrance avec cette chevelure blonde dorée, il lui suggérait den prendre une de fabrication locale. Aarrar. On a rigolé un peu puis on est parti à lhôtel dans la ville. Etant complet on était obligé de retourner chez notre ami Rachid.
Le voyant tout content de nous revoir revenir, il accéléra la cadence pour nous préparer la chambre. Il ny avait personne dans cette forêt sauf nous. Il nous invita à faire un tour nocturne dans le site archéologique que nous avons accepté. Là dans le noir je le voyais guider madame, la prendre par le coude pour la diriger dans la bonne direction. Il profite de temps à autre à la serrer contre lui, elle rigolait et semblait se plaire. A un moment jai entrçu que la main de ma femme était portée sur la braguette de ce guide, je ne pouvais rien distinguer dans le noir absolu.
Eu égard à la chaleur qui me taraudait on sest embrassé fortement et chose inhabituelle chez ma femme, elle était en état suprême dexcitation. Je baissé ma tête vers sa fente et quelle ne fut ma surprise de la trouver dégoulinante, toute humide et mouillée ! Voulant savoir plus, elle me rétorqua fermement : allez conard lèche et tais-toi ! Je mappliquais studieusement lorsquon frappa à la porte. Elle se couvre à moitié, moi jouvre la porte et cest Rachid avec un plateau de thé et des friandises qui se présente. Javais honte et aussi envie irrésistible quil rentre. Je linvitais à sasseoir à coté du grand matelas où nous étions à même le sol, car cest une auberge campagnarde. Léclairage nétait assuré que par la lueur dune bougie, donc les silhouettes sont à peine à discerner. Cette ambiance augmentait lintensité sexuelle qui manimait.
Un certain moment, Rachid a voulu dans un geste de redresser loreiller sur lequel sadossait ma femme a touché ses seins à moitié nus. Il continuait ce geste en lallongeant, posant sa poitrine sur celle de ma femme, me faisant croire quil était entrain dajuster loreiller. Ce geste a pris des minutes. Soudainement ma femme lui dis clairement : allez Rachid vient à coté de moi ! Moi éberlué jobservais comme un cocu heureux. Un homme dans le lit avec ma femme. Ma femme : Rachid montre moi cet engin que tu me mettais tout à lheure dans la main. Le bonhomme ne sempêcha pas de tirer de sa braguette une grosse queue, énorme, raide et longue.
Le lendemain, au réveil Rachid nous présenta le petit déjeuner faisait semblant de rien savoir. Ma femme lui dit quil a été merveilleusement gentil et fort accueillant et que nous reviendrons souvent chez lui pour admirer le site historique.
De retour à la maison, et après une ou deux semaines, ma femme me dit dun ton autoritaire mais douçâtre que nous devons repartir vers Batna pour mieux voir le paysage. Je lui répondais quil y a dautres paysages à voir ailleurs. Non je voudrais allez à Batna, chéri, je nai pas bien vu ce site.
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