Leslie La 56
Leslie LA56 Laure, le journal intime - Aventure dans le train, de Toulouse à Nice, linconnu
Après ma visite à Toulouse, je me suis rendue à Nice par le train de nuit, un intercité direct en compartiment en première classe couchette. Comme cela était possible, pour ma tranquillité, jai réservé pour un prix forfaitaire le compartiment complet.
Après avoir remarqué le peu de monde sur le quai, je me suis dit que le train serait bien vide et après être montée dans mon wagon, je me suis installée dans le compartiment comportant quatre couchettes, mais que pour moi, le pied.
Puis je suis ressortie sur le quai dans lattente du départ.
Peu de temps après, deux jeunes hommes, quelque peu bruyants, sont venus sinstaller dans le compartiment à côté du mien
Suivi peu de temps après par un très bel homme qui est monté dans le wagon et en le suivant discrètement des yeux, jai remarqué quil avait le même compartiment que les deux jeunes hommes.
Lhomme a marqué un temps darrêt, mais nest pas entré dans son compartiment se plaçant devant la porte du mien.
Le départ étant proche, je suis montée à mon tour pour rejoindre mon compartiment
- Excusez-moi, mais je crois que vous êtes devant mon compartiment, dis-je.
- Oh, mais cest à moi de mexcuser, je vous empêche daccéder à votre espace.
- Merci, dis-je.
Jallais ouvrir la porte de mon compartiment, mais il mavait devancé et nos mains se sont rencontrées sur la poignée de la porte. Sa main était aussi chaude que la mienne était fraîche.
Le train venait juste de partir et au passage des aiguillages, nous avons été bousculés et je me suis retrouvée tout contre lui. Jai pu sentir son parfum, un peu musqué, mais très agréable et aussi sentir son corps musclé.
Il a posé sa main sur ma hanche pour me retenir et jai ressenti comme une décharge électrique, il a ouvert la porte de mon compartiment en me disant :
- Un grand compartiment pour vous toute seule, vous risquez de vous ennuyer !
- Si cest le cas, je viendrais vous trouver et vous me tiendrez compagnie.
- Avec joie, répondit-il.
Je me suis installée et jai pris un magazine en pensant à cet homme et à sa proposition de me tenir compagnie.
Cest vrai quil était bel homme, la quarantaine, un visage régulier, brun, les yeux marron, le regard franc, direct. Autant que jai pu en juger quand nous étions lun contre lautre, il était un peu plus grand que moi et devait mesurer un mètre quatre-vingt. De plus sous sa veste et sa chemise blanche, on devinait des pectoraux puissants. En y pensant je me sentais un peu troublée
Alors que je lisais, jai entendu du bruit dans le compartiment dà côté, les deux jeunes rigolaient et faisaient un bruit denfer, pas très reposante la compagnie de mon inconnu.
Peu de temps après, on a frappé à la porte de mon compartiment et comme javais tiré les rideaux pour être tranquille, il ma fallu ouvrir pour savoir qui se tenait derrière la porte.
Lhomme se tenait là devant moi et à aussitôt dit :
- Mon compartiment est trop bruyant, puis-je partager le vôtre ?
Troublée devant cet homme, je nai pu que répondre :
- Pourquoi pas !
Il sest donc installé en face de moi et après avoir ouvert son ordinateur à commencer à pianoter dessus
Je le regardais par-dessus mon magazine, le détaillant et imaginant cette force qui émanait de lui, mais à un moment, il a levé les yeux et a croisé mon regard.
Je me suis sentie comme une petite fille prise en faute et jai piqué un fard avant de baisser les yeux.
- Savez-vous ce que je suis en train décrire ? me demanda-t-il.
- Pourquoi me posez-vous cette question ?
- Parce que cela vous concerne
- Comment ça, ça me concerne ?
- Oui, je suis en train de commencer à écrire ce qui va nous arriver dans ce train.
- Ce qui va nous arriver ?
- Jai bien senti que vous étiez, disons, émue, quand je vous ai ouvert la porte tout à lheure. Alors, je crois que nous allons avoir une aventure ensemble, courte et sans lendemain, mais quelque chose de violent et passionnel.
- Vous croyez ? dis-je, dans un souffle.
- Ne le sentez-vous pas ?
Je voyais très bien à quoi il faisait allusion et son regard comme un trait de feu ne quittait pas le mien semblant lire la moindre de mes pensées. Comme souvent lors de mes déplacements, jétais en tailleur strict avec une jupe assez courte, un chemisier blanc transparent qui laissait deviner mon soutien-gorge en dentelle. Je portais des dim'up qui sarrêtaient en haut des cuisses et un string en dentelle assorti à mon soutien-gorge. Et son regard a mis directement le feu dans mon ventre, une vraie boule de chaleur qui est descendue dans mon string.
Je ne savais plus quoi dire, plus quoi faire, jétais là, comme une imbécile, complètement perdue et ce regard qui continuait à me transpercer.
- Allons laissez-vous aller, vous en avez envie !
Mais pourquoi avait-il fallu que jaccepte que cet homme si désirable vienne sinstaller en face de moi dans mon compartiment que javais réservé rien que pour moi, maintenant je me sentais piégée par mes désirs
Alors, jai fermé les yeux et je nai plus bougé. Et là, jai senti son pied nu qui écartait mes genoux, mon premier réflexe a été de serrer les genoux et de rouvrir les yeux, et à nouveau son regard a trouvé le mien, et en plus il souriait
- Laissez-vous faire, nous sommes seuls, abandonnez-vous à vos envies et refermez vos jolis yeux
Je me suis laissée bercer par sa voix et jai fermé les yeux.
Son pied sest fait insistant et jai écarté légèrement les genoux. Son pied a repris sa progression, je sentais sa chaleur à lintérieur de mes cuisses, dabord sur les bas puis sur ma peau nue, puis son pied est arrivé à mon string et je lai senti contre ma vulve sur laquelle il a appuyé doucement.
Et son pied est resté sans bouger, simplement posé sur mon intimité, ma respiration sest faite plus courte, javais chaud, je mabandonnais.
Puis, son pied sest déplacé, et cest son gros orteil qui sest fait plus précis et jai senti mes grandes lèvres qui sécartaient et qui ensuite a trouvé mon clitoris peut-être un peu au hasard parce que je doute quun pied soit assez sensible pour trouver un bouton aussi petit, même si déjà je le sentais dressé hors de sa protection.
Toujours est-il quil a commencé à bouger son orteil de bas en haut et que mon sexe sest ouvert comme une fleur et est devenu une vraie fontaine. Je sentais ma cyprine inonder ma petite culotte et certainement mouiller son pied nu.
Jai senti le plaisir monter en moi et je me suis mordue les lèvres pour ne pas me manifester trop bruyamment et jai eu un premier orgasme
Il avait vu que javais joui et son pied complet a repris sa place sur ma vulve.
On a frappé à la porte du compartiment et le contrôleur a passé la tête en disant :
- Contrôle des billets sil vous plaît.
Je nai pas compris tout de suite encore sous le coup de lorgasme qui mavait transpercé quelques minutes plus tôt, le contrôleur était dans le compartiment et son regard était posé sur mes jambes.
Je métais laissée glisser au bord du fauteuil et ma jupe était remontée sur mes cuisses et lon pouvait voir le liseré plus foncé de mes dim'up. Javais les jambes écartées et le pied de mon inconnu toujours entre mes cuisses, posé sur mon sexe.
- Madame, je crois que le contrôleur vous demande votre billet.
Le contrôleur a composté nos billets, le regard fixé sur mon entrecuisse, comme hypnotisé. Puis après un clin dil appuyé à mon inconnu il sest éloigné, non sans dire :
- Bon voyage messieurs dames, et surtout bonne nuit !
Aussitôt la porte refermée, mon inconnu a retiré son pied de mon entrecuisse, et sest levé en disant :
- Je vais installer une des couchettes du bas !
- Comme vous voulez, dis-je.
Quand il sest redressé jai bien vu que son pied luisait, certainement mouillé
Je me suis levée, jai rabaissé ma jupe et je lai laissé déplier la couchette, blottie dans un coin.
Puis il a refermé la porte du compartiment et sest appuyé contre elle, de dos.
Puis mattrapant pas la main, il ma plaquée contre lui, mais de dos moi aussi.
Je sentais la bosse de son sexe contre mes fesses, et jai senti soudainement que jétais prête à tout accepter de la part de cet homme, comme dans un état second.
La veste de mon tailleur nétait pas boutonnée et il a commencé à déboutonner mon chemisier, doucement sans précipitation. Il faisait ça de sa main gauche, sa main droite posée sur mon ventre me plaquant contre lui, contre sa virilité dressée contre ma raie.
Javais mis mes bras en arrière et javais empoigné ses fesses, je voulais sentir encore plus son sexe contre les miennes. Ce faisant, je bombais le torse faisant ressortir ma poitrine, javais la tête rejetée en arrière posée sur son épaule, totalement abandonnée. Il a baissé mon soutien-gorge découvrant mes seins aux tétons déjà très érigés. Il les a pris dans ses mains et a commencé à les parcourir puis il a fait rouler les pointes entre ses doigts, très doucement, délicatement.
Je me suis à nouveau embrasée et mon ventre réclamait de nouvelles caresses.
Jai pris sa main droite et je lai posée sur mon pubis à travers la jupe. Il a alors remonté ma jupe sur ma taille avec ses deux mains découvrant mes dim'up et mon string blanc en dentelle.
Il a continué de caresser mes seins avec sa main gauche pendant que sa main droite descendait sur mon ventre, entrait dans mon string et atteignait mon pubis, prenant possession de mon sexe.
Il a fini par baisser mon string à mi-cuisse pour être plus à laise.
Javais maintenant les fesses nues directement en contact avec son pantalon de toile fine et je sentais son érection comme sil ny avait plus rien entre nous. Son sexe me semblait de bonne taille et il avait trouvé sa place dans le sillon de mes fesses. Ses doigts ont écarté les lèvres de mon sexe et se sont introduits sans difficulté dans mon vagin. Je mouillais tellement que je sentais mes cuisses humides de cyprine.
Dabord un doigt puis deux et enfin trois se sont introduits dans mon vagin à la recherche de mon plaisir. À un moment, jai ouvert les yeux et je me suis vue dans la petite glace du compartiment et je ne me suis pas reconnue.
Était-ce bien moi la jeune femme plaquée contre cet homme qui me fouillait, le chemisier ouvert, le soutien-gorge baissé, la jupe remontée et la culotte à mi-cuisse, jambes écartées, offerte, abandonnée au plaisir des sens
Oui, cétait bien moi et je me suis trouvée désirable.
Ses doigts trempés étaient sortis de mon vagin et sétaient posés sur mon clitoris complètement sorti de son capuchon. Il devait avoir lhabitude de cette caresse car il a tout de suite trouvé le rythme qui me convenait. Mon bassin sest mis à onduler au même rythme et de nouveau, jai senti le plaisir menvahir. Ses mains sur mes seins, dans mon sexe mont une deuxième fois envoyés au septième ciel, un orgasme puissant est monté de mes reins, de mon sexe et de mes seins, balayant tout sur son passage.
Jai crié mon plaisir
Un peu assommée, je me suis assise sur la couchette quil avait auparavant dépliée.
- Vous êtes une vraie jouisseuse ?
- Oui, je crois, enfin, je ne sais pas, cétait tellement fort.
- Vous en aviez tellement envie, une aventure improbable, peut-être même un fantasme ?
A suivre
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