Réveillon (2)

Assis sur le canapé Svetlana, Émilie et moi regardions Erwann se faire sucer par une Nina déchainée. Félix était parti prendre une douche. Nina à genou devant Erwann se caressait tout en suçant la belle queue d’Erwann.

Quelques jours plus tôt, alors que nous prenions un café dans un bistrot du centre-ville, Nina et moi avions vu passer Erwann. Il sortait de son boulot et s’était installé quelques minutes avec nous le temps de nous dire bonjour. Une fois parti, Nina m’avait une nouvelle fois fait part de son envie de baiser avec lui.

— Il a un beau petit cul, et j’aime bien l’idée qu’il préfère les mecs, me dit-elle alors que nous marchions dans la rue pour rentrer chez nous. Je trouverais assez excitant de la sucer devant toi. Je sais que tu as souvent pris sa bite en bouche et que tu as dû boire son foutre, alors de me dire que pour une fois ce serait moi, j’en mouille déjà. Je le chaufferais bien. Je ne le laisserais pas me jouir dans la bouche, mais préparerait sa queue pour qu’il t’encule. J’ai envie de te voir de faire prendre par lui. Je sais que tu aimes ça, Émilie m’a dit que parfois elle t’encule avec un gode. C’est marrant, mais alors que tu te fais enculer par elle et que tu l’encules aussi, jamais tu ne l’as fait avec moi. Je dis ça sans reproche, mais j’aimerais te voir de faire défoncer le cul avant de te donner le mien. Ou alors je laisserais Erwann me dépuceler avant de m’offrir à toi. Enfin, pour en revenir à Erwann j’ai très envie de lui, il m’arrive même de me masturber en pensant à lui. À lui et toi ensemble baisant devant moi.

Elle continua comme ça, sur le même registre pendant un moment jusqu’à ce qu’on arrive chez nous. Tout en l’écoutant me raconter ses fantasmes, je me remémorais la Nina que j’avais connu six mois plus tôt, plus innocente, plus réservée, mais dont le tempérament de feu ne demandait qu’à s’exprimer. C’est sans doute à cause de cette image d’elle en robe blanche, presque virginale que je n’avais pas encore osé lui demander de m’offrir son cul.

J’en avais envie, il était plus que tentant, bien rond, bien ferme, sans doute très accueillant, confortable.

En ces premières minutes de l’année, elle accédait à son fantasme. Je la regardais sucer la belle et bonne queue de mon amant. Je bandais ferme et Svetlana commença alors à s’occuper de moi. Émilie nous quitta pour rejoindre Felix. Svetlana n’eut pas le temps de retrouver le gout de ma bite que Nina intervint.

— Désolée ma belle, mais tu va devoir le lâcher, juste le temps qu’il se fasse enculer, tu vois j’ai très envie d’assister à ce spectacle, en attendant je mouille comme une folle, et je suis sûre que tu peux m’aider.

Alors qu’Erwann m’enfilait. Nina se faisait bouffer par Svetlana. Nina me regardait droit dans les yeux. Regard provocateur, plongeant dans le mien. Heureuse de me voir soumis à la bite d’un autre, une bite qu’elle avait sucée juste avant.

— Tu es beau mon amour. Ca te va bien d’avoir une bite dans le cul. Il te baise bien le petit, tu as l’air de prendre ton pied.

Effectivement même après m’être fait défoncer par Félix, Erwann était sur le point de me faire jouir de nouveau. J’avais le cul de Svtelana qui se balançait sous mes yeux. Nina jouit sous les coups de langue de la belle Slovaque. Erwann se vida en moi, et bandant comme un âne je pris Svetlana en levrette sans autre forme de préliminaire. Quelques coups de reins plus tard, je jouissais et m’effondrais sur le sol.

Nina chaude comme la braise se branlait et se glissa un doigt dans l’anus.

— Viens, me dit-elle en me regardant droit dans les yeux.

J’étais fatigué, mais je ne pus résister à cette invitation. Laissant Erwann et Svetlana sur le canapé, je suivis ma belle jusque dans sa chambre.
Elle s’allongea sur le lit dont les draps froissés témoignaient du passage des trois filles quelque temps plus tôt. Je bu au goulot une gorgée de champagne, et tendit la bouteille à Nina qui en fit de même.


— Je suis prête, je veux que tu me dépucèles du cul, j’ai trop envie de te sentir en moi par là, je suis chaude, folle, tu m’as fait mouiller comme une dingue quand Erwann te sodomisait. Je veux t’offrir mon petit trou ce soir, un cadeau de nouvelle année…

Je posais un doigt sur les lèvres de Nina pour la faire taire. L’alcool, l’excitation, la peur la faisaient parler, un torrent de parole aurait pu sortir de sa bouche sans interruption. Je l’embrassais, nos langues au gout de champagnes se mêlèrent. Je sentais doucement remonter en moi le désir.

— Je ne te force pas, et j’arrête quand tu veux, lui dis-je tout en faisant glisser une main sur son dos, vers ses fesses que j’écartais avant d’y glisser un doigt.

Elle sursauta un peu, mais se laissa faire. Allongées sur le ventre elle m’offrait sa plus intime intimité. Je préparais le terrain en la doigtant doucement, gentiment, tendrement. Écoutant sa respirations, les mouvements de son corps. La sentant s’ouvrir je glissais un second doigt en elle. Nina gémit, et m’encouragea à poursuivre mon exploration.

Je bandais de nouveau, et Nina semblait prête pour sa première sodomie. Je quittais un moment la chambre pour aller chercher un tube de lubrifiant. Traversant le salon je trouvais Erwann la tête entre les cuisses de Svetlana lui bouffant la chatte.

— Pour un petit pédé il s’y prend bien, me dit-elle en souriant.

De retour dans la chambre de Nina je lui enduisais le cul et en fit autant à ma bite. Je me glissais entre ses fesses et posais mon gland sur sa rondelle humide, je poussais doucement pour faire tomber sa dernière barrière. Elle résista un peu, mais s’ouvrit pour m’avaler. Nina poussa un petit cri quand je la pénétrais totalement. Je restais un moment sans bouger, pour que sa douleur s’estompe. Ce fut elle qui commença à bouger, m’invitant à la baiser.

Son cul déviergé était étroit, serrant bien ma queue tendue. À chaque mouvement, Nina se crispait.
Je lui demandais si elle avait mal, elle me répondait que non et me demandais de continuer. Petit à petit elle se détendit, et ses cris devinrent des râles de plaisir, puis des cris de jouissance. Je me lâchais et l’enculais comme je le faisais avec Émilie, ou Erwann, à fond. Jusqu’à jouir dans un grand cri.

Je me retirais. Nina se retourna et se caressa la chatte tendrement. Les draps étaient trempés.

— Je me suis vidée, me dit-elle en m’embrassant. C’était trop bon, je n’avais jamais joui comme ça. Encore.

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