Nouvelles Expériences 3
Pendant toute la soirée, je nai pas arrêté de revoir ma chérie se tordre de plaisir sous les caresses de sa copine. Une fois au lit, jai essayé de la caresser, sa réponse fut nette :
- Non, pas ce soir, je suis très fatiguée.
Et elle sest retournée dans le lit pour dormir. Moi, jai très mal dormi, je narrêtais pas de revoir la main de cette femme entrer et sortir du minou de ma chérie.
Le lendemain, la journée fut monotone, il me tardait dêtre présenté à ma concurrente. Je me demandais si elle viendrait avec sa guêpière et ses bas de soie. Enfin le soir venu, je suis vite rentré, elle nétait pas encore arrivée. Géraldine avais fait de gros efforts, une odeur délicieuse avait envahie la maison, dans le salon notre plus belle nappe, notre plus belle vaisselle. Je nai pas pu mempêcher de la chambrer.
- Oh, vu le repas et la table que tu nous as préparé, il faut que je sorte mon smoking, nous avons au moins un président qui vient manger.
- Arrêtes de dire des bêtises ce nest qu'Ursula ma copine.
- On aurait pu manger à la cuisine non.
- Quand même, cest une très bonne copine, je désire ce quil y a de mieux pour elle.
- Ah bon et moi, je mange du surgelé avec les gosses dans la cuisine ?
- Gros bêta, les gosses mangent à la cuisine, et ce soir ils dorment chez mes parents, ils nont pas école demain. Toi, tu es le maître de maison et tu manges au salon avec nous.
- Je sors quoi pour lapéro ?
- Je ne sais pas ce quelle aime, tu peux préparer un de tes cocktails dont tu as le secret, ils sont délicieux.
- Elle arrive bientôt ?
- Oui, elle ne devrait pas tarder.
Spécialement pour loccasion jai préparé un truc de ma composition, cest très doux à boire mais très fort, mes copains lavaient appelé « nique de suite » à tel point les femmes qui le goûtaient se retrouvaient complètement pompette et se laissaient baiser rapidement. Je terminais juste ma préparation quand la sonnette a retentit.
- Jean-Marc mon mari, Ursula, ma copine de fac. Donnes ton manteau à Jean Marc, il va le ranger.
Jai pris son manteau, des effluves de parfum féminin mont envahi. Jai rangé le manteau et je suis parti les rejoindre au salon. Ursula était assise sur le canapé à coté de Géraldine, elles semblaient discuter.
- Je vous sers un petit verre ?
- Non, merci, je ne bois pas dalcool.
Géraldine est intervenue :
- Tu peux faire un petit effort, pour fêter nos retrouvailles.
- Daccord mais juste un petit peu.
Jai servi tout le monde et en lui tendant le verre je lui ai dit :
- Ne vous inquiétez pas, cest très doux.
Elle a trempé ses lèvres dedans.
- Oh oui, cest très bon, on a limpression de boire du jus de fruit exotique sucré.
Nous avons discuté de plein de choses, jai refais le service de ma bombe trois fois, à chaque fois je lui en mettais un peu plus dans le verre. Après la deuxième tournée, elle était beaucoup moins guindée et commençait à avoir chaud, je lui ai proposé denlever son tailleur. Elle a refusé en rougissant. Pour moi, cétait un aveu, elle devait porter sa guêpière dessous. Assis sur le fauteuil en face delle jobservais discrètement. Je voyais ses mains toucher de plus en plus régulièrement ma chérie. Je ne disais rien et mimaginais la voir en guêpière et porte-jarretelles. Après la troisième tournée nous nous sommes levés pour passer a table, Ursula a eut beaucoup de mal pour se lever.
- Cest traître votre truc, je suis complètement saoule.
- Mais non, cest rien, cest parce que vous navez pas lhabitude, ça va passer en mangeant.
Ensuite cest Géraldine qui me dit :
- Tu las dosé costaud ce soir non ?
- Pas du tout, il est comme dhabitude.
- Aides Ursula pour quelle vienne à table, elle narrive pas à se lever.
- A tes ordres chef.
Jai pris Ursula sous les bras pour la lever, jen ai bien profité pour lui caresser doucement la poitrine, elle ne portait sûrement pas de soutien gorge, je sentais ses tétons pointer sous ma caresse. Les baleines que je sentais en dessous devaient être sa guêpière. Je bandais rien que dy penser.
- Fait doucement, elle est fragile, ce nest pas un sac de ciment.
Cest Géraldine qui me voyant penché sur Ursula ne devais pas comprendre ce que je faisais.
Je lai aidé à marcher jusqu'à la table et à sasseoir. Petit à petit elle refaisait surface, davoir marché un peu avait du lui faire du bien. Au fur et à mesure que le repas avançait elle remontait la pente et se remettait à parler. Elle était toute rouge, je voyais des gouttes de sueur pointer sur ses tempes, je lui ai à nouveau proposé de retirer son tailleur. Elle ma fait signe que non alors jai demandé discrètement à Géraldine de soccuper delle.
- Chéri, tu devrais lui enlever son tailleur en laine, elle a beaucoup trop chaud.
- Elle ta dit non.
- A moi, oui, mais je pense que si cest toi, elle ne dira pas non.
Elle sest approchée dUrsula, a passé ses mains sur sa poitrine et a commencé à déboutonner. Jétais aux premières loges, devant moi, Ursula se dévoilait. Sous son tailleur strict et son chemisier blanc elle ne portait que sa guêpière, sa poitrine pointait un maximum, Géraldine na pas pu sempêcher de lembrasser doucement. Jai vu les mains dUrsula disparaitrent sous la jupe de ma chérie.
Sans un mot je me suis levé, jai attrapé doucement Géraldine aux épaules et je lai déshabillé. Je pense que cest grâce à laction sournoise de mon cocktail quelle na pas réagit et a continué de déshabiller et caresser Ursula en gémissant de plaisir sous ses caresses. Nous allions bientôt atteindre le point de non retour, Ursula qui pistonnait de sa main le sexe de Géraldine qui lui caressait la poitrine en gémissant.
Jai pris mon appareil photo numérique et jai commencé à mitrailler. Au bout dun moment elles se sont levées puis elles sont montées dans la chambre en passant devant moi sans même remarquer ma présence tellement elles étaient prisent par leurs caresses. Je suis monté derrière elles et jai continué mon reportage photo.
Au bout dun moment, le spectacle quelles moffraient et les râles de plaisir quelles narrêtaient pas de pousser ont eut raison de ma concentration. Je me suis déshabillé et approché delles.
Ursula était couchée sur Géraldine, la tête entre ses jambes, Géraldine lui rendait la pareille. Je suis monté sur le lit du coté de la tête de Géraldine, et jai avancé mon chibre doucement vers cette fente imberbe qui dégoulinait.
Cest Géraldine elle-même qui ma guidé en me léchant les couilles, je suis entré tout doucement, jai senti une résistance qui mempêchait de menfoncer. Jai poussé plus fort, ça a cédé et je suis entré entièrement dans la pauvre Ursula.
Elle était vierge la salope, son cri de douleur quand jai éclaté son hymen ma vrillé les tympans mais lexcitation était trop forte, Géraldine lui tenait la taille pour quelle ne puisse pas méchapper en même temps elle me léchait les couilles. Quand Ursula a arrêté de se débattre et a commencé à gémir de plaisir au rythme de mes coups de buttoirs, Géraldine la lâché et de ses doigts elle a fait comme une bague qui me masturbait quand je ressortais du sexe dUrsula. Sous ce traitement, il ne ma pas fallu trop longtemps pour commencer à avoir une envie incontrôlable de jouir. Géraldine a du sen rendre compte, elle a serrer ses doigts autours de la base de ma bite pour empêcher toute montée, je me suis immobilisé tout au fond dUrsula et jai attendu un petit moment que la pression baisse.
Les deux furies qui se câlinaient à coté de moi, ne semblaient pas avoir envie que ça sarrête si vite, jai été submergé de caresses pour me refaire bander.
Rapidement elles y sont arrivées et cest encore Ursula qui ma chevauché en enfonçant mon chibre au plus profond de son ventre pendant que Géraldine métouffait de son sexe sur ma bouche. Par moment jarrivais à les voir sembrasser fougueusement en se caressant. La cavalcade a duré un bon moment puis Ursula sest mise à crier son plaisir, je sentais tous ses muscles intimes se contracter par saccades sur moi au rythme de son orgasme, cétait merveilleux, hyper agréable mais jai réussi à me contrôler et je nai pas explosé.
Après quUrsula se soit arrêtée de bouger, anéantie par lorgasme qui venait de la ravager, Géraldine la poussé en arrière puis a avancé pour sempaler à son tour sur mon chibre tendu. Ensuite tout en faisant bouger son bassin pour faire monter son plaisir, elle sest penchée sur le sexe offert dUrsula pour le bouffer avidement. Nous sommes repartis tous les trois vers des plaisirs encore inconnus jusqualors.
Nous avons jouis tous les trois presque en même temps, dabord Ursula sest mise à crier son plaisir ce qui ma poussé dans mes derniers retranchements et jai craqué et Géraldine se sentant envahir par mon foutre brûlant sest mise à jouir à son tour. Nous sommes restés couché longtemps, complètement anéantis par le plaisir que nous venions davoir.
Au petit matin, je me suis réveillé le premier, javais deux vénus à coté de moi, dun coté, une blonde, avec une guêpière et un porte jarretelle noir qui tranchait avec la pâleur de sa poitrine et de son sexe épilé qui dégoulinait de foutre ce qui lui donnait un air de salope et de lautre entièrement nue, lair douce, et câline, ma femme, magnifique dans son sommeil.
Je me suis levé sans bruit, rapidement je me suis habillé puis je suis descendu préparer du café. Pendant que le café passait je suis vite parti à la boulangerie acheter des croissants. De retour à la maison jai préparé un plateau et je suis remonté dans la chambre. Lodeur du café et des croissants a dabord réveillé Géraldine qui sest empressé de caresser Ursula pour la tirer de ses rêves. Elle sest mise à gémir de plaisir, a ouvert les yeux et a embrassé fougueusement Géraldine.
- Ah non, vous nallez pas recommencer.
Elles se sont arrêtées, en me voyant Ursula est devenue toute rouge et a tiré le drap sur elle. Géraldine a éclaté de rire.
- Ce nest pas la peine, depuis hier soir il ta déjà bien vue.
Elle a écarquillé les yeux sans dire un mot en continuant de rougir.
- Tu ne ten souviens pas ? Il ta même baisé.
- Non, ce nest pas possible.
- Je tassure, de toute manière passe ta main sur ton minou et tu va voir il y a encore du sperme qui en sort.
Elle la fait puis sest mise à pleurer. Géraldine la prise dans ses bras pour la consoler. Doucement elle lui a dit :
- Il ta baisé et tu as beaucoup aimé ça, tu ne ten souviens pas.
- Non, vraiment pas.
- Et bien toi, quand tu bois, tu ny va pas de main morte. La première fois, il ta un peu , mais cest toi qui las presque violé la seconde fois. Tu ne ten souviens vraiment pas ?
- Non, je me souviens davoir eut beaucoup de plaisir, cest tout, je pensais que cétait avec toi.
- Avec moi aussi tu as eu du plaisir cette nuit. Tu nas pas faim, il nous a apporté le café et les croissants au lit. Profitons-en.
Elles ont bien déjeuné puis jai interrogé un peu Ursula.
- Pourquoi tu thabilles aussi strict et vieillot ?
- Oh, pour rien, cest une habitude, tu sais toute ma scolarité, je lai faite chez les bonnes surs pensionnaire. Même à la fac je mhabillais un peu vieillot, Géraldine narrêtait pas de me le faire remarquer.
- Et pourquoi dessous tu thabilles en pute ?
- Jy suis obligée par ma chef de service. Si je ne porte pas ça sous mes vêtements, jai droit à une grosse fessée dans son bureau. Elle contrôle tous les jours. Cest devenu une habitude maintenant.
- Elle toblige même à te promener sans culotte ni soutien gorge
- Oui cest la tenue quelle mimpose. Je my suis tellement habituée que quand je mets une culotte, ça me gène.
- Et ton sexe épilé, cest aussi elle ?
- Bien sur, au début, javais des poils, pas beaucoup mais jen avais. Maintenant, si elle en trouve ne serais-ce quun jai droit à la fessée
- Ah bon, et quand tu as la bonne tenue quest-ce qu'elle fait ?
- Pour me féliciter, elle me fait jouir puis elle demande à ce que je lui rende la pareille pourquoi ?
- Pour rien, ta chef, cest ta maîtresse alors ?
- On peut dire ça. Pourtant elle est mariée mais elle na pas de plaisir avec son mari alors elle le prend avec moi au bureau.
- Alors Géraldine cest quoi pour toi ?
- Ma meilleure amie, on a quand même vécu trois ans ensemble, ça ne soublie pas.
- Tu es déjà sorti avec un homme ?
- Non, jamais, tu sais, en pension chez les surs, il ny avait que des filles et comme jétais bien avec des filles jai continué. Je suis une pure encore vierge.
- Ah non, plus maintenant.
- Pourquoi ?
- Je tai dépucelé hier soir et tu as bien aimé ça.
- Je nen ai gardé aucun souvenir, tu peux recommencer pour voir si cest si bon que tu le dis ?
- Demande lautorisation à Géraldine. Cest elle mon épouse.
Elles ont discuté un petit moment puis Géraldine ma donné le plateau du petit déjeuner pour dégager le lit et ma demandé :
- Déshabilles-toi pour quelle puisse voir comment est fait un homme. Elle nen a jamais vu.
- A vos ordres chef.
Pendant que je me déshabillais Géraldine caressait doucement Ursula. Une foi entièrement nu, je me suis approché delles et je leur ai demandé :
- Allez mesdames, il faut vous activer pour lui faire lever la tête.
Géraldine ma attrapé et doucement branlé puis elle a demandé à Ursula de me sucer un peu. Elle la fait et rapidement je me suis retrouvé en pleine forme. Géraldine a poussé sur les épaules dUrsula pour quelle se couche sur le dos puis elle sest mise à lui lécher le clito en lui pistonnant le vagin dune main et lui caressant la poitrine de lautre. Quand elle a trouvé que le moment était venu, elle ma fait signe pour que je me mette en place. Elle a guidé mon chibre dans sa maîtresse puis elle a poussé sur mes fesses pour que je menfonce au plus profond. Ursula sest mise à râler de plaisir. Jai attrapé ses jambes pour les relever au niveau de mes épaules et je me suis activé de plus en plus vite et fort en elle.
Au bout dun petit moment elle sest mise à jouir comme jamais. Jai ralenti la cadence pour quelle puisse reprendre son souffle puis jai recommencé à la pilonner. Elle a à nouveau poussé des cris de jouissance et je me suis lâché au plus profond de son ventre. Quand elle a senti mon foutre fouetter la bouche de son utérus, elle sest tétanisée en criant lorgasme qui lemportait puis elle est retombée inerte, comateuse. Je me suis retiré et couché à coté delle.
Un bon moment après elle a ouvert les yeux et dit :
- Je navais jamais joui aussi fort, cest merveilleux, jarrête les filles il faut que je me trouve un homme comme toi.
- Si tu ne trouves pas, je reste à ta disposition enfin si Géraldine le veut bien.
A suivre
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