Ma Femme Au Salon Des Vins 2
Le voir prendre possession de limité de ma femme était fascinant. Elle avait basculé la tête en arrière et fermé les yeux pour savourer ces attouchements. Le chanceux nimaginait même pas quil nétait que le deuxième homme à accéder à ce doux calice.
Il se pencha en avant et sa bouche prit possession de loffrande. Ma belle africaine eut un orgasme au simple contact des lèvres de cet inconnu. Voyeur, à quelques dizaine de centimètre, je pouvais voir la langue sactiver et pénétrer le sexe impudique. Elle lâcha ma queue pour appuyer sur la tête de son lécheur.
Jétais bientôt mis de côté par Georges qui se posa à ma place. Il prit le bas de la robe et la tira vers le haut pour la mettre à nue, découvrant ainsi ses jolis petits seins aux gros tétons extrêmement gonflés. Il se jeta dessus comme un mort de faim, gobant et aspirant la grosse pointe de chair qui soffrait à lui, flattant lautre sein de la main. Il extrayait maladroitement sa queue du pantalon avec la deuxième puis attrapa le bras de ma belle femelle pour la guider vers le membre bien tendu.
Elle eut une grimace détonnement mais ses doigts noire cerclés dor sen saisirent sans hésiter et commencèrent à le masturber. Je prenais un peu de recul pour profiter du spectacle que me faisait le trio. Je minstallais dans un des fauteuils, en massant ma queue toujours prisonnière du tissu, nosant pas la sortir et me caresser, de peur de jouir trop vite. Son lécheur de chatte, rassasié de sève, se releva, sessuya la bouche du revers de la manche et se déshabilla. Elle le regardait avec intensité, découvrant le corps massif, adipeux, couvert dune pilosité abondante et noire tranchant singulièrement avec la blancheur morbide de sa peau. Mais son regard se porta rapidement sur la queue. Elle se redressa, repoussant lautre pour caresser la grosse colonne de chair qui se proposait à elle. Elle la regarda, fascinée. Du bout des doigts, elle palpa la prune suintante, la tige veinée, les testicules ondoyants.
Mon cur tapait fort dans ma poitrine devant cette torride et troublante vision, javais limpression de sentir mon sang battre dans la moindre parcelle de mon corps. Je voyais en réel un sexe mâle en érection pour la première fois, jétais autant fasciné par cette queue que par la fellation prodiguée par mon ange noir. Ses lèvres charnues sourlait, se distendait pour absorbé lépaisse virilité, elle sen échappait luisante de salive pour repartir sans cesse à lassaut.
Notre deuxième comparse sétait lui aussi dévêtu et se branlait devant la scène. Il sapprocha jusquà toucher du gland la joue de ma belle. Toute à son uvre, elle en fut surprise, eut un sourire amusé et me jeta un regard des plus coquins, avant demboucher cette autre queue sans me quitter des yeux. Cette fois, elle le pompa directement avec amplitude, avalant presque entièrement cette verge plus modeste. Elle gouta plusieurs fois chacune des bites, à tour de rôle, saidant de ses mains pour occuper le délaissé. Puis Georges descendit le long de son corps pour laper à son tour la chatte africaine qui lexcitait tellement. Alors que la langue sagitait sur ses dentelles roses et noires, elle attrapa les fesses de Roger comme pour linciter à aller plus loin dans sa bouche. Il ne se fit pas prier et après avoir testé la longueur quil pouvait y mettre, il baisa la bouche de ma femme en lui tenant fermement la tête. Il commença à la traiter de pute, de salope, de vide-couilles, de pute à vieux, de sac à foutre
Cette garce eu un orgasme puissant juste à ce moment-là, écrasant fortement le visage de son lécheur contre sa cramouille.
Après quelques minutes de récupération, elle repoussa Georges et sallongea sur le canapé, jambes ouvertes, lune reposant sur le dossier du canapé, lautre posé au sol. Dévisageant dun regard lubrique les deux hommes hypnotisés par cette belle chatte noire aux petites lèvres roses foncées. Elle ne disait rien, mais linvitation était claire. Roger, au lourd pénis, sagenouilla devant la déesse, sexe en main. Elle me regarda, intrigué par ma réaction, lorsquil frotta son gland le long de sa belle fente juteuse. Il la caressa ainsi du clitoris jusquà lentrée de sa grotte humide pendant quelques minutes. Je souris à ma femme et, comme un signal, elle ferma les yeux, le visage serein. Il poussa sur son sexe et je vis ce gros gland se frayer un passage entre les chairs intimes de lamour de ma vie. Jentendais mon cur taper dans ma poitrine, le sang battait dans ma tête, dans mes oreilles, comme si mon corps se préparait à exploser du trop-plein de ce liquide de vie soudainement entré en lui. Mes mains et mes pieds me brulaient de chaleur. Javais limpression quau moindre mouvement, mes membres et mes organes se disloqueraient en une multitude dexplosion dhémoglobine. Jétais figé de peur et dexcitation.
Captivé, immobile, jobservais le membre progresser lentement et je devinais, je ressentais les sensations que cela lui procurait. Je vis les doigts graciles et noirs atteindre le sexe dilaté et en écarter les lèvres, ouvrant au mieux le passage pour grosseur jamais absorbée jusquici et ainsi dévoilant encore plus ses chairs roses et son clitoris gorgé de désir. Elle soffrait totalement, impudiquement à ce sexe massif, à ce sexe inconnu, au deuxième homme franchissant son intimité.
Notre vieux ne put se retenir de dire :
- Oh ! Putain, la salope, elle est bien serrée. Sa chatte est trop bonne, je vais te remplir comme une chienne.
- Oui ! Va sy ! fourre-moi bien ta grosse queue ! Tu es si gros en moi ! Cest si bon !
- Je vais te ramoner comme il te le mérite, ma belle pute ! En douceur, pour commencer, mais tinquiét, tu vas ten prendre plein le trou à foutre !
Sous ses mots, elle se tortilla et son bassin se mit à danser. Mouvement qui lui vient naturellement lorsquelle prend son pied, pour en avoir parlé parfois ensemble, elle ne se rend pas compte de ce mouvement.
Pendant quil coulissait lentement en elle, il promenait ses grosses mains calleuses sur son ventre et sur ses seins. Soudain, il lui attrapa les seins à pleine mains, les rudoya un moment en se saisissant de ses gros tétons noirs pour les serrer et les étirer. Ma petite salope, qui aimait être un peu brutalisée pendant le sexe, eu encore un orgasme. Il commença alors à accélérer les va et viens en poussant sa queue très profondément, puis se retirant, ne laissant que la pointe du gland en elle. Cette garce gémissait comme jamais. Cette fois, la tension nerveuse retombée, josai enfin quelques mouvements et ne tenant plus, je sortis mon sexe pour me branler.
Notre deuxième compère, qui était resté spectateur en se masturbant, sapprocha du couple copulateur. Il se saisit dune main de ma belle pour se faire masturber. Ce contact avec la chair chaude et douce fit ouvrir les yeux à ma femme, qui, dans un élan spontané, tira le vieux pénis vers elle et tendit les lèvres pour lengloutir. Je nen revenais pas, elle, si passive et modérément portée sur la fellation, me clouait par son audace et ses envies.
Notre sucé sempara des belles et longues jambes noires par le dessous des genoux, les replia et les écartant le long du torse de la belle, maintenant écartelée. Il soffrait ainsi une meilleure vue sur la pénétration mais permettait aussi à son vieux pote de la baiser encore plus profondément. Le sexagénaire accéléra encore jusquà la pilonner sauvagement, faisant claquer ses couilles sur le cul mouillé, pendant que lautre tenait toujours les jambes.
Je sentais le pilonneur pas très loin de léjaculation. Il était temps pour moi dentrée dans le jeu pour le plaisir de tous. Je commençais à lui dire ce qui la faisait jouir :
- Tu aimes ça te faire baiser comme une pute, sale trainée, te faire enfiler devant ton mari qui se branle. Tu sers de vide-couilles, de pute à vieux. Tu te fais baiser comme la dernière des salopes. Montres leur la putain que tu es, quils aient envie de venir te baiser souvent. Vide-lui bien ses grosses couilles poilues, il a du bon sperme pour ta chatte. On va te baiser à la chaine, on va te remplir de foutre.
- Oh ! Oh ! Oh ! Oui ! Encore !
Sa voix était saccadée par les coups de bite quelle recevait. Elle se faisait défoncer à couilles rabattues. Elle sagita de plus belle, son ventre dansa frénétiquement autour de la grosse pine. Ne tenant plus, les mouvements du vieux baiseur se désordonnèrent, il tentait de se planter toujours plus loin dans la fente et il déchargea sa semence profondément ancré. Lâchant sa purée, bien planté au fond de la chatte, en grognant comme un ours, pendant plusieurs minutes. Elle avait joui dans un râle rauque et puissant, le corps parcourut de spasme, jetant son bassin contre celui de Roger. Les gestes se firent de plus en plus lent, jusquà limmobilisation des corps.
Essoufflé, épuisé, écarlate, il se releva maladroitement, étourdi, titubant, laissant la chatte béante, recrachant les premières bordées de liquide blanc.
La place se resta pas vacante longtemps, Georges ne laissa pas le temps à ma coquine de se reposer, sinstalla entre les cuisses et frotta son gland, étalant le sperme du clitoris à lanus. Sonnée et toujours au septième ciel, elle se remettait du dernier et puissant orgasme quelle avait eu, elle reçut cette nouvelle, et plus modeste queue de vieux en elle. Le pénis plongea dans ses profondeurs marécageuses avec une facilité déconcertante.
- Oh putain ! Roger, tu lui as démonté la chatte. En plus, elle est tellement pleine que je la sens à peine.
Ses mots déclenchèrent des choses chez ma femme car juste derrière il déclara :
- Elle jouit déjà cette salope, je sens sa chatte se serrer autour de ma queue. Oh oui ! Elle est bonne ta pute.
Sur ce morceau de poésie, il accéléra la cadence. Lautre, à peine remit de ses efforts et de ses émotions, sagenouilla à côté du couple, il humecta son gros index, récupéra un peu de son sperme débordant et glissa sa main sous les fesses relevé de ma belle. Il taquina la pastille noire, qui, sous leffet du plaisir et des sécrétions qui la maculait, se laissa ouvrir.
- Ouai ! Bonne idée Roger, elle me serre encore plus la bite cette garce.
- Je lui ai mis la bague au doigt ! Ah ah ah !
Et cette garce jouit encore un fois de ce traitement. Javais de plus en plus de mal à me retenir du jouir et cessais de me branler. Ma belle ouvrit les yeux, elle semblait me chercher, je mavançai près delle, elle me sourit et attrapa ma queue pour mattirer à sa bouche.
Elle me suça profondément, je ressentis à la fois la passion quelle y mettait, mais aussi les soubresauts qui lanimaient au rythme du vieux cocufieur. Je regardais ma belle garce se trémousser et jouir sous les assauts des anciens, lun planté dans sa chatte, lautre lui doigtant sans tendresse sa petite rondelle noire. Je ne tiens que quelques secondes de ce traitement et lui signalais ma jouissance imminente. Elle ne se déroba pas et avala pour la première fois ma semence. Nos deux complices navaient pas perdus une miette de ce spectacle et Roger de dire :
- Oh la putain ! Elle avale la purée en plus ! Je crois quon a décroché le gros lot mon Georges !
- Cest sûr ! Je narrête pas sentir sa chatte avoir des spasmes autour de ma queue. Cette trainée narrête pas de jouir. Elle me serre la chatte, cest dingue.
- Bouge pas mon con ! tu vas bientôt la sentir ! elle aussi va le sentir passer !
Il se redressa, me poussa sur le côté et attrapa ma femme dans ses bras puissants, retirant par le fait le sexe planté en elle. Elle se laissait faire pantelante. Il la retourna sur le ventre, puis releva ses fesses. Elle se mit à quatre pattes, mais immédiatement, il poussa sur ses épaules pour quelle reste le visage contre lassise du canapé. Son compère inclina une lampe et mit en lumière son cul, dévoilant dune manière très obscène sa chatte entrouverte et son anus, luisants de sperme et de sécrétion vaginale. Il se saisit dun vêtement pour essuyer la chatte qui goutait, je me rendis compte que cétait ma chemise, il fit même entrée un peu le tissu entre les lèvres, mais laissa lanus en létat. Je voyais bien où il voulait en venir, jimaginai la suite sans trop vouloir y croire. Lespérant, le redoutant ? Allait-elle laccepter ?
Toujours est-il que Georges, la queue toujours en lair, se replaça derrière ses belles fesses bien ronde et, après lui avoir assené deux petites claques, une par fesse, lui refourra son vieux gland dans le vagin. Elle se remit à gémir instantanément.
- Ah oui ! Cest encore mieux comme ça ! Je la sens encore mieux cette putain. Je vais te défoncer la chatte, salope !
Il la baisait en douceur de toute sa longueur puis par de petits coups secs, alternant différents rythme qui semblait beaucoup plaire à ma tendre épouse. Cette catin avait orgasme sur orgasme, javais déjà entendu parler de multiorgasmie, mais là je voyais la chose en direct et sur ma femme en plus. Moi qui ne réussissais à la faire jouir quune fois, la plupart du temps, deux fois de suite dans de rares occasions, ce jour-là, je la voyais enchainer les jouissances. Parfois, il me semblait quelle avait une sorte de jouissance ininterrompue, avec des piques plus ou moins intense. Cétait beau, magique et excitant dassister à ça et aussi frustrant de ne pas lavoir fait atteindre ce summum avec ma propre bite.
Roger, qui était resté spectateur le temps de se remettre en forme, prit ma main, la posa sur sa verge tendue et mimprima le mouvement de sa branlette. Curieux, je ne me retirais pas. Je fus surpris du contact doux et chaud en serrant délicatement cette chair. Cétait à la fois agréable et étrange de branler cet homme. Jagissais avec sa queue comme je le faisais avec la mienne. Il émit quelques gémissements de contentement.
- Regarde ton homme, il me branle ! Il me branle bien !
Ma femme ouvrit les yeux. Elle parut vraiment étonnée, puis nous sourit toujours avec ses yeux pleins de lubricité. Je sentie une main calleuse et puissante me saisir par la nuque et mappuyer sur le cou, menjoignant à magenouiller. Je me laissais guider, pas très sûr de pouvoir, ni de vouloir faire ce quil minvitait à lui faire. Nayant jamais eu de fantasme bisexuel, jhésitais devant le gros vît que je branlais toujours lentement, allais-je le prendre en bouche ou pas ? Je jetais un il vers ma femme, cherchant une réponse. Roger se rapprocha de ma belle en maccompagnant avec lui. Mon visage a quelques centimètres de celui de ma femme et de cette queue. Toujours hésitant.
Je sentie une main se poser sur ma nuque pour me contraindre à prendre ce gland luisant dexcitation, mais cette main était fine, douce, je pouvais reconnaitre ce grain de peau entre mille, cétait elle qui me donnait la marche à suivre en faisant un oui de la tête. Je laissais le gland et la tige envahir ma bouche. Lodeur ne me gêna pas, cétait celle de ma femelle, mais la texture me rebuta quelques peu. Jentrepris de le sucer de mon mieux, comme jaime être sucé. Je le faisais sans plaisir, mais car cela avait lair de déclencher dautres orgasmes à ma femme. Après quelques minutes, je cessais, lui faisant comprendre que ce nétait pas mon truc. Il nen fit pas cas, me repoussa gentiment et se pencha sur les fesses de ma femme. Georges, qui démontrait une sacrée endurance, se mit à coulisser très lentement. Il écarta les globes bruns foncés, puis Roger, après avoir enduit son index de salive, taquina létoile noire qui, une fois encore, noffrit aucune résistance à linsertion. Une fois le doigt bien calé à fond, le baiseur accéléra doucement. Puis le doigt sagitât à son tour. Elle avait droit à une préparation dans les règles de lart. Je métais rapproché et regardais ça de très près.
Après quelques minutes de ce traitement, Roger fit signe à son pote de laisser la place, lui-même retira son doigt. De nouveau, il se saisit de ma main pour la mettre sur la queue gluante de son vieil ami. Comprenant le jeu, je tirais la colonne de chair jusquà la poser sur lanus entrouvert de ma belle. Tremblant de tout mon être, je remis de la salive autour du gland pour aider à ce quil allait bientôt arriver. Le saint des saints, ce que javais eu tant de mal à posséder, ce qui métait offert que si parcimonieusement, si rarement, cultivant en moi une sorte de culte à ce plaisir interdit, allait bientôt subir les assauts dun quasi inconnu.
En pleine rêverie, je sentie une main douce me caresser le sexe, effleurant mes couilles, me branlant en douceur. Cétait elle, elle me regardait de ses grands yeux pleins de désir et damour et prononça la sentence :
- Met le mon amour ! Met le dans mon petit trou ! Jen ai trop envie ! Je taime !
Elle ferma les yeux, attendant que je me décide enfin à guider le vieux chibre entre ses fesses rebondies. Je serais le sexe chaud, doux et poisseux un peu plus fort et écrasa le bout luisant contre la rondelle noire, palpitante de désir. La moitié du gland entra en douceur, puis je senti la main de ma belle se contracter sur ma queue, je comprenais et perçu la résistance à la pénétration à travers la bite que javais toujours dans la main. Japerçu lanus bouger autour de la tige blanche, elle poussait pour laider progresser en elle et je sentis que son enculeur poussait dans lautre sens. Ca-y-était, le gland était passé. Jétais comme dans un rêve, jobservais cette queue progresser dans la corolle serrée. Je le ressentais jusque dans mon corps grâce à sa main qui me serrait les couilles fortement, me faisant passer lémotion que cette pénétration lui procurait.
Il fit une pause pour la laisser shabi à sa largeur, se retira doucement. Pendant quelques minutes, il la gratifia de lentes et courtes pénétrations. Il prenait son temps, en vieux sodomite chevronné. Puis il reprit sa progression, insensiblement, gagnant millimètre par millimètre. Ma belle maintenait toujours mes bourses serrées dans une main pendant que lautre tournait sur son clitoris gonflé de désir.
Les vieilles burnes fripées finirent par buter contre la peau noire. Il bloqua la position, quelques instant, puis força sa queue comme pour en mettre encore plus au fond. La belle africaine grogna de satisfaction, poussant elle-même ses fesses en arrière, sa main libre sagitant toujours entre ses cuisses. Georges se mit à coulisser par lents mais ample mouvement dans létroit conduit. Je pris un peu de recul pour voir la scène.
Elle était magnifique ma belle sodomisée, la levrette mettait son joli cul rebondi en valeur, ses petits seins aux gros tétons ballottant délicieusement dans le vide, les yeux fermées, la bouche entrouverte, gémissante, sur son visages un rictus trahissant le plaisir particulier que lui procurait le vieux baiseur. Régulièrement, il augmentait la cadence, noubliant pas de flatter les petits nichons qui sagitaient de plus en plus vite. Après plusieurs minutes de ce traitement, il finit par aller si vite dans sa rondelle, la pilonnant si fort, quelle narrivait plus à se caresser. Je voyais ma femme avoir des orgasmes les uns après les autres alors que sa chatte nétait plus stimulée, elle jouissait intensément de cette sodomie. Cétait à la fois beau, excitant mais frustrant de ne pas être celui qui lui procurait cette jouissance.
Je perçus que Georges nétait pas loin de jouir, mais il nen fit rien, il céda sa place à Roger, que javais oublié et qui se branlait dans un coin. Il ne se fit pas prier, le passage était fait, mais pas pour une queue si large et si lourde, un peu de salive sur sa vieille tige et il poussa sa queue dans lorifice distendu. Moins patient que son acolyte, il poussa un peu rapidement son avantage. Ma belle grimaça à lintroduction. Il ne sen émeut point et vint se caller en profondeur dans la pastille noire de ma douce et tendre, lui dilatant outrageusement larrière train. Il attaqua demblée en puissance, faisant claquer ses cuisses contre le cul luisant de sueur de ma femme qui sembla apprécier cette entrée en matière particulièrement rugueuse. Elle avait déjà un orgasme. Il était si excité quil claqua les belles fesses charnues qui soffraient à lui.
- Oh ! Oui ! Cest bon ! continus !
- Je vais te rectifier ta petite rondelle, tu nes pas prête de te mettre assise sans penser à moi, petite putain.
- Jadore ta bite dans mon cul, cest si fort, si bon !
Cest mots déchainèrent le sodomite, se sentant encouragé, la fessa de plus belle. Cette petite salope jouissait de plus en plus de son traitement.
Il lui fourrait brutalement le derrière, semblant vouloir le maltraiter toujours un peu plus. Ma belle criait sa jouissance mais aussi sa douleur lorsque les larges mains calleuses sabattaient sur ses fesses rondes ou sur ses cuisses fuselées. Elle appréciait vraiment ce traitement et en savourait chaque instant. Elle me regarda avec dans les yeux une sorte de défit et un rictus de bonheur entrecoupé de gémissement. Ce faire enculer devant moi qui me branle décuplait encore son plaisir. Je dois dire que le mien était à son summum.
Roger attrapa solidement les hanches de ma belle et je sentis que cette fois, il allait en finir. Il balança de grands coups de reins, puissants et profonds, maintenant solidement ma femme qui ne se serait de toute façon pas dérobée à lassaut finale. Il déchargea toute sa semence dans le trou du cul de sa pute noire qui jouît encore de plus belle. Son sodomite se figea, toujours bien callé en elle et épuisé, commença à saffaler sur elle.
Ils restèrent soudées ainsi plusieurs minutes, le temps démergé de cette petite mort. Le vieux se releva péniblement et son sexe ramollit séchappa de sa prison de chair. Lanus dilaté ne se referma pas, laissant en échapper le sperme chaud. Georges, qui attendait patiemment, reprit possession de lanneau interdit. Naturellement, ma belle fut surprise de cette nouvelle intromission, mais la jouissance sempara immédiatement de son joli corps. Comme son collègue, il coulissa dans le tendre petit anus et mais ne mit que quelques petites minutes à ensemencer ma femme. Nen pouvant plus, devant de délicieux et terrible spectacle, je jouissais en répandant de longues traces blanches sur le dos ébène de ma belle.
Cette fois, elle sécroula dans un profond sommeil, Georges toujours planté en elle, se laissant débander tranquillement. Une fois mou, il décula, laissant échapper les jus de vieux mélangés et quelques bruits disgracieux. Elle était allongée sur le ventre, nue, les fesses dilatées, souillées, je la trouvais magnifique. Et je nétais pas le seul, religieusement, nous étions trois males, la bite à lair, pendante, suintante, à admirer son merveilleux corps repu de sexe. Après quelques instants, la voyant frissonner, je la couvris dun plaide qui trainait là.
Nous avons tamisé la lumière pour la laisser se reposer et sommes allés dans la cuisine boire quelques bières. Cétait étrange de partager ces boissons, tous à poils, la bite goutant au sol, chacun dans ses pensées, nosant pas dire un mot pendant de longues minutes. Puis les langues se délièrent et je leur expliquais le fantasme inavoué de mon épouse et que tout ça était une première pour nous. Chacun se rhabilla et nous avons discuté de tous et de rien en attendant quelle émerge de son sommeil. Après une heure, elle nous rejoignît, après sêtre revêtu. Il me signifiait quil était temps pour nous de quitter nos amis. Je pris discrètement leurs coordonnées, au cas où.
Le lendemain, elle ne voulait pas parler de ce quil sétait passé, mettant les raisons de ses événements sur le compte de lalcool et ne souhaitait surtout pas les revoir.
Les semaines et les mois passèrent sans quelle veuille renouveler lexpérience mais jouissait toujours comme une damnée quand je me faisais passer pour Roger ou Georges lors de nos ébats. Il ny avait que lors de ces jeux de rôles quelle acceptait de mouvrir sa petite porte ou davaler mon jus dhomme. Elle refusa même que nous nous rendions à lédition suivante du salon des vins. Puis un jour, deux ans plus tard, alors que nous finissions un diner romantique quelle nous avait préparé avec bougie, Champagne et plein de bonne chose, elle posa un papier coloré dans mon assiette. Je le dépliai pour y trouvé des invitations pour le fameux salon des vins qui devait se dérouler le week-end suivant. Je lui adressai un sourire en hochant positivement la tête. Elle quitta sa chaise et se posta debout devant moi, je remarquais alors quelle portait la même robe, les mêmes bottes, les mêmes bas, les mêmes bijoux que cette torride nuit. Elle releva la robe sur sa taille, dévoilant son pubis imberbe, je savais que la nuit allait être chaude, jignorais alors que nous verrions ses amants plusieurs fois par an
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