Une Soirée Qui Aurait-Pu Être Gachée - 1Ère Partie
UNE SOIREE QUI AURAIT PU ETRE GACHEE
Je me suis réveillée relativement de bonne heure aujourd'hui, ce soir mon mari serait avec moi pour aller à cette soirée prévue de longue date. Soirée très privée où se trouverait beaucoup de couples que nous connaissions. Je savais que ce serait une soirée du bon goût et du sexe. Tout pour m'enchanter, d'autant plus que mon mari serait avec moi, nous aurons, peut être, le temps de faire l'amour avant d'aller à cette soirée s'il n'était pas trop fatigué par les 10 ou 11 heures de vol entre Tokyo et Paris. Rien qu'a cette idée je sentais les lèvres de mon sexe devenir humides. L'idée même de son pénis s'introduisant lentement dans ma fente me faisait mouiller, mes doigts caressaient ma fente comme il m'arrive souvent de le faire. Le réveil est pour moi propice à la masturbation "soft".
Soudain le téléphone a sonné. J'ai regardé, par habitude le numéro affiché, celui de son avion! Que se passai-t-il ?
J'ai décroché, un peu axieuse, la voix très froide de sa secrétaire m'a dit:
- Bonjour Madame, je vous passe le Président.
Ce que Sylvie m'agace quand elle est dans son rôle de secrétaire parfaite puisque dans le privé nous utilisons les prénoms, mais passons, le "Président" prenait la communication.
- Bonjour ma Puce, nous avons un problème technique et ne pouvons pas décoller avant de recevoir la pièce. Clémentine s'en occupe, (tiens Clémentine, la copilote, il m'en parle beaucoup trop, d'autant plus que pour l'avoir vu une ou deux fois je sais qu'elle est tout à fait son genre). Un sentiment de jalousie est venu à mon esprit. Pourquoi ?
- Pourquoi ne prends-tu pas un vol régulier ?
- Je suis fatigué, je préfère retourner à l'hôtel et être en forme.
- Etre en forme pour Clémentine lui dis-je en raccrochant.
Il me fallait trouver un cavalier pour la soirée n'ayant pas envie de m'en priver pendant que le "Président" se reposerait avec ou sans Clémentine dans une suite de l'Intercontinental de Tokyo.
J'ai pensé à Jean, vieux camarade de fac qui avait été amoureux de moi et récemment divorcé; en plus il avait une très belle voiture de sport qui ne lui servait plus à grand chose à cause des limitations de vitesse, mais j'ai toujours aimé ce genre de voiture et en ai eu beaucoup à une époque ou l'on était libre de rouler comme bon nous semblait.
J'ai immédiatement décroché mon téléphone pour expliquer à Jean en quoi je voulais qu'il m'aide. Il a accepté immédiatement ma proposition mais j'ai clairement mis les choses au point en lui disant qu'il pourrait faire ce que bon lui semblerait et moi aussi mais qu'il n'était pas question que quoi que ce soit se passe entre nous. Il a été d'accord, j'étais ravie.
J'ai pu continuer à caresser ma toison et le bord de mes lèvres en rêvent aux mains, doigts et langues auxquels je permettrai, ce soir d'y faire honneur.
J'aime ces moments de calme, seule dans ma chambre, où je peux me masturber avec volupté, lentement, pour sentir monter le plaisir qui me submergera mais que je retarde le plus possible en arrêtant, de temps à autres, mes "manipulations" de petite fille vicieuse que j'aimerais être encore.
Caresser doucement mes aréoles pour arriver aux pointes qui se réveillent et se redressent comme des bourgeons qui vont éclore.
Laisser ma main descendre sur mon corps pour atteindre mon pubis. Tien mes poils sont un peu longs il faut que je les coupe, Passer mon doigt le long de mes lèvres, là aussi il faut un coup de rasoir, j'aime qu'elles soient bien lisses pour que les langues y trouvent tout leur plaisir. Je passe d'une lèvre à l'autre et attends d'en sentir l'intérieur s'humidifier pour les écarter de mon index qui va aller de haut en bas et de bas en haut. Sentir mon clitoris gonfler et ma production de cyprine augmenter. Je me refuse encore à le décalotter car je sais que dès que mon doigt le rejoindra l'orgasme déferlera. Que mon jus d'amour laissera une trace sur les draps et que j'aurais peut être une éjaculation de "femme fontaine" ce qui m'arrive dans les moments de jouissance intense.
J'arrête là mes jeux pour filler sous la douche, sans m'y attarder, car je me connais assez pour savoir comment cela finirait!!!
Comment vais-je m'habiller ce soir ? Grave question! Avec ou sans dessous, robe courte ou longue, escarpin à haut ou très hauts talons ?
N'arrivant pas à me décider, je téléphone à mon amie V.
- Que fais-tu cette après midi ? J'ai une soirée où je devais aller avec M. mais il est bloqué à Tokyo, j'irai avec Jean, mais comme je ne me décide pas pour la tenue j'ai envie d'aller faire un tour de shopping.
- Serait-ce une soirée chez les X.
- Oui c'est chez eux.
- Nous y sommes invités aussi.
- Super! J'en suis ravie.
- Moi aussi je suis sure que l'on va s'amuser.
- S'amuser ou se faire défoncer ? (éclats de rire de part et d'autres).
- D'accord je passe te prendre, on ira faire les boutiques.
Nous avons commencé nos recherches dans nos quartiers de prédilection.
J'ai demandé à V. qu'elle tenue elle allait mettre ? Une robe longue transparente qui a un décolleté en V allant jusqu'au nombril et nue dessous avec des chaussures noires à hauts talons.
J'ai donc décidé de choisir une robe longue, champagne, avec un décolleté carré mais largement ouverte en V dans le dos jusqu'en bas des reins avec une fente sur le coté remontant jusqu'à la hanche. Le soutien gorge était à proscrire, le string à voir ? En fonction de l'ouverture sur la cuisse. Une paire d'escarpins de même couleur avec des talons me faisant prendre dix bons centimètres mais augmentant la courbure de mes reins.
Fières de nos achats nous sommes rentrées chez moi afin que je peaufine ma tenue. Ma seule crainte étant que ces essayages ne dégénèrent en caresses voluptueuses, ce qui n'aurait pas été pour me déplaire mais je n'aime pas être pressée par le temps quand je fais l'amour.
V. a promis de rester sage et moi de retenir mes envies, nous aurions tout le temps de les assouvir pendant la soirée!
Il fallait quand même résoudre le problème du soutien gorge et du string et là son avis m'était nécessaire.
Un soutien gorge attaché dans le dos était à proscrire, j'avais des coques qui se collent simplement sur le sein mais j'étais sure d'en perdre une dans la "bataille". V. eut l'idée de génie en fouillant dans mes tiroirs elle a trouvé des corolles en forme de bouquet de feuilles de fraisier dont le centre, évidé, laissait passer juste la pointe du sein. Il suffisait de les colorer en rouge avec une peinture au goût de fraise et comestible, (disponible dans les magasins spécialisés qui se respectent). Le problème de ma poitrine étant réglé il me fallait attaquer celui du bas; string ou pas string?
J'ai fait plusieurs essais, aidée par V. qui en a profité pour frôler mon pubis de ses doigts, involontairement disait-elle. Quelle affreuse menteuse !!! En fin de compte j'ai opté pour un string minimaliste et transparent dont les côtés avaient l'avantage de ne pas être visibles même quand les pans de ma robe s'écartaient.
V. m'a quitté pour aller elle-même se préparer. J'avais donc tout mon temps pour pendre un bain, me maquiller, me coiffer et préparer un en cas avant l'arrivée de mon "chevalier servant". J'étais quand même très triste que mon mari n'ait pas fait un effort pour être avec moi à cette soirée prévue de longue date. C'est quelquefois pénible d'être mariée à un homme qui tourne inlassablement, comme un écureuil, dans la cage des fuseaux horaires.
Je décidais d'aller sur mon lit pour penser aux bijoux que j'allais mettre et pour me détendre, j'ai raflé un havane dans le coffret à cigare, j'adore fumer bien que ce ne soit plus la mode et surtout, comme Georges Sand, les cigares dont je fais, avant de les allumer un usage un peu particulier. Donc compfortablement, je me suis installée sur mon lit passant doucement le bout arrondi du cigare sur ma fente en même temps que je caressais mes seins. Quand j'ai senti ma fente devenir bien humide j'ai introduit le bout du cigare dedans en le faisant tourner lentement pour qu'il s'imprègne de mes sucs.
Vers vingt heures mon ami est arrivé, j'étais prête, comme nous avions environ une heure de route à faire nous sommes partis immédiatement. Dans la voiture il m'a complimenté sur ma tenue en ajoutant qu'il était triste de ne pas pouvoir savourer le "contenu".
Nous sommes arrivés chez nos hôtes, grande maison ou petit château, des hommes en livrée étaient chargés d'aller garer les voitures. Une immense entrée où les maîtres de maison saluaient les arrivants, les femmes rivalisant en tenus le sexy, les hommes en smoking noirs ou blancs.
Nous étions ensuite introduits dans un immense salon où étaient dressés deux immenses buffets. Je connaissais beaucoup de présents, surtout les femmes et quelques hommes, relations professionnelles de mon mari. Il y avait également une bonne dizaine de garçons, dans la trentaine, remarquables par leur esthétique et que le fait qu'ils soient manifestement sans cavalière, j'en ai déduit que leur présence n'avait pour seul but que de satisfaire les envies de certaines invitées.
V., deux autres amies et moi avons décidé d'aller visiter les autres pièces, desservies par un grand couloir. Elles avaient toutes un thème indiqué par une pancarte à l'entrée. "Le donjon", "la chambre des plaisirs saphiques", pour "les hommes", "réservé aux couples de 2, 3 personnes ou plus". Bref un menu très alléchant. On pouvait se déshabiller à un vestiaire où l'on vous remettait un charment bracelet d'identification de nos vêtements.
Nous allions pouvoir passer aux choses sérieuses, mais ce sera une suite si vous le souhaitez ?
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