Nouvelles Expériences 4

Géraldine, ma chère et tendre, est d’accord pour qu'Ursula vienne manger avec nous un soir par semaine jusqu'à ce qu’elle ait trouvé un homme qui s’occupera bien d’elle. J’ai passé deux mois de rêve. Pendant deux ou trois après-midi par semaine je retrouvais Marie-Christine chez elle, le vendredi soir, nous donnions les s à garder et Ursula venait manger à la maison, enfin certains dimanche soirs nous nous câlinions Géraldine et moi. Nous faisions ça à l’ancienne, en silence à cause des s.
Au bout de ces deux mois, Marie-Christine a du se rendre compte de quelque chose. Un jour elle m’a pris entre quatre yeux :
- Tu ne m’aimes plus ?
- Non, je t’aime toujours énormément pourquoi ?
- Tu ne me fais plus l’amour aussi intensément qu’avant.
- Tu te trompes, je n’ai pas changé, je suis toujours le même amoureux fou de toi.
- Non, je t’assure, tu es beaucoup moins performant qu’avant, tu te fatigues plus vite, tu comprends ce que je veux te dire non ? En plus tu m’as demandé des trucs étranges comme m’épiler le minou, tu me fistes régulièrement alors qu’avant tu ne faisais pas de trucs pareils. Ça a commencé il y a plus de deux mois et j’aimerais savoir ce qui se passe.
- D’accord, j’avoue, il y a un peu plus de deux mois, j’ai découvert que ma femme avait une maîtresse, je les ai vu se faire des trucs complètement fous. J’étais jaloux, je l’ai prise pour une folle, alors j’ai fais en sorte que ma femme me présente à elle et je l’ai baisé. Elle a beaucoup aimé ça et maintenant, tous les vendredis, j’ai deux femmes à contenter à la maison. C’est peut être pourquoi je suis un peu plus fatigué en semaine. Toi, tu as déjà couché avec une fille ?
- Bien sur, je n’en connais pas beaucoup qui dans leur jeunesse, n’ont jamais essayé, c’est un moyen très simple pour avoir beaucoup de plaisir sans aucun risque.
- Tu as aimé tes expériences de lesbienne ?
- Oui, c’était très agréable, j’ai beaucoup aimé mais j’étais très jeune à l’époque.


- Je pense à un truc complètement fou, tu ne voudrais pas t’inscrire dans le club de gym de la rue Miro, et draguer une fille ?
- Que je drague une fille ! Moi ! T’es dingue ou quoi ? J’aime trop faire l’amour avec toi.
- Justement, si tu dragues cette fille et que ça marche, tu seras invitée par ma femme à la maison et on ne sera plus obligé de se cacher. Ce n’est pas super comme plan ?
- Peut être mais je serais obligée de te partager avec ta femme alors que maintenant, je t’ai tout à moi et à moi seule.
- Tu ne me partageras pas qu’avec ma femme mais aussi avec sa copine, je suis sur qu’à quatre on pourrait avoir des orgasmes merveilleux.
- Moi, je pense que tu es bien tordu comme type mais si tu me fais bien jouir maintenant, je m’inscrirai à ce club de gym.
Je lui ai fait l’amour comme si ma vie en dépendait. A la fin de l’après midi complètement épuisée elle m’a avoué :
- Tu dois rudement avoir envie de nous avoir toutes les trois dans ton lit pour m’avoir autant fait jouir, c’est d’accord je vais m’inscrire au cours de gym où va ta femme et sa copine. J’espère seulement que j’arriverai à m’en faire des copines.
- Je pense oui, j’ai regardé un jour les femmes présentes à ce cours, tu seras une des plus belles.
- Merci, c’est gentil mais si Ursula aime les hommes maintenant, comment penses tu qu’elle s’intéressera à moi ?
- En la rendant jalouse, en draguant ouvertement Géraldine ma femme, en te voyant elle sera tellement jalouse qu’elle voudra t’éliminer.
- M’éliminer ?
- Oui, faire de toi son esclave, je sais qu’elle est l’esclave de sa chef. Je pense que pour t’éliminer elle voudra faire de toi son esclave, il te faut jouer le jeu et bien faire croire que tu es une lesbienne convaincue qui n’aime pas les hommes. Je suis sur que pour te salir, te rabaisser, elle t’offrira à moi et on pourra jouir tous ensemble.
- Tu es démoniaque dans tes raisonnements mais ça m’amuse bien et si ça se termine comme tu l’as prévu, ce sera le pied total.

C’est vrai que mon plan était diabolique mai si ça fonctionnait, j’aurais les trois femmes qui comptent le plus pour moi dans mon lit en même temps. J’étais tout excité Rien que de penser au plaisir que je pourrai en tirer, trois femmes en chaleur, plus ou moins jalouses et amoureuses en même temps dans mon lit, quel pied ce sera.
Trois semaines plus tard, Marie-Christine que je ne voyais plus qu’un après midi par semaine m’a fait une surprise à laquelle je ne m’attendais pas. Quand j’ai commencé à la déshabiller en la caressant pour lui faire l’amour, elle s’est éloignée de moi, m’a repoussé sur le lit puis langoureusement elle m’a fait un strip. Je n’en revenais pas, elle ne portait pas de soutien gorge ni de culotte et était entièrement épilée.
- Tu l’as enfin fait ?
- Oui, c’est Ursula qui m’a obligée.
- Ah bon, ça y est, tu es son esclave ? racontes-moi comment ça s’est passé.
- Et bien voila, je me suis inscrite au cours de gym comme tu me l’avais demandé, c’est vrai, à part Ursula, ta femme et moi, il n’y a que des vieilles peaux dans ce cours, tu avais raison. Rapidement j’ai sympathisé avec ta femme, Ursula ne semblait pas trop aimer ça. Il y a deux cours de ça, au début du cours, elle m’a coincé dans le vestiaire et m’a faite jouir très fort sous ses caresses puis elle m’a demandé de ne plus m’approcher de Géraldine. J’ai fais l’andouille, j’ai continué à la draguer Géraldine. Au moment de la douche, elle m’a à nouveau coincé, je m’attendais à nouveau à une bonne jouissance, elle m’a traité comme de la merde, elle m’a rabaissé, m’a obligé à la faire jouir puis après m’avoir donné une bonne fessée en m’ordonnant de m’épiler comme elle. Comme en pleurs j’ai accepté elle m’a à nouveau faite jouir très fort puis elle m’a demandé de ne plus porter de sous-vêtements. Dans le vestiaire elle m’a pris ma culotte et mon soutien gorge, les a déchiré avec un couteau qu’elle avait dans son sac et elle les a jeté à la poubelle.
Au cours suivant, elle m’a coincé à nouveau dans le vestiaire pour contrôler. Comme je portais une culotte elle m’a donné une fessée très forte puis elle a sortie son couteau et me l’a découpé sur moi. En voyant que je m’étais épilé le minou, elle m’a fait jouir pour me remercier de lui avoir obéi. Après le cour, à la douche elle s’est approchée de moi et m’a dit d’un air menaçant en me montrant le couteau « si tu continues à tourner autour de Géraldine, je te plante. Je sais où tu habites, je t’ai suivi la semaine dernière, gardes ça en mémoire, je peux débarquer chez toi à tout moment et si tu as remis ta culotte ce sera ta fête ». Puis elle est partie avec Géraldine. Elle commence à me faire peur, je ne sais pas si ton plan va marcher, je ne peux plus m’approcher de Géraldine et c’est elle qui devrait m’inviter, non ?
- Oui, c’est vrai, continues à jouer à la petite fille soumise avec Ursula, vendredi je vais m’occuper d’elle pour faire bouger un peu les choses.
- Oui, je veux bien mais alors fais moi jouir comme l’autre jour ou j’arrête tout.
- Ursula déteint sur toi, tu me prends pour ton esclave maintenant ?
- Non, mon amour mais j’aime tellement quand tu me fais bien jouir.
Nous avons fait l’amour tout l’après midi. A un moment elle a semblé se paralyser et m’a dit
- Arrêtes toi, il faut que tu partes, elle sait où j’habite et m’a dit qu’elle passerait à l’improviste pour contrôler ma tenue.
Je l’ai rassuré :
- Non, elle ne passera pas, elle est fonctionnaire et elle est à son travail jusqu'à au moins quatre heures, viens sur moi, j’ai envie de me laisser faire.
Elle s’est activée sur moi jusqu'à la jouissance totale. Vers quatre heures, j’ai pris une douche et je suis reparti au bureau très content de ma journée.
Le vendredi soir, je me suis occupé de chambrer Ursula. Dès son arrivée j’ai commencé à lui dire que je la trouvais différente, j’ai continué à insister pour enfoncer le clou devant ma femme, pendant l’apéro.

- A te voir, Ursula tu t’aies trouvé un amant, tu rayonnes.
- Non, je t’assure, je n’ai pas trouvé un homme qui me plaise autant que toi. Et puis tu sais avec mon travail et ma chef, ce n’est pas très pratique pour me faire draguer.
- Ton travail, ta chef, tu ne t’aies pas trouvé d’amant mais peut être une amante qui sait ?
Géraldine qui souriait depuis le début a commencé à froncer les sourcils.
- Je crois savoir, oui, c’est sur, tu te fais la nouvelle de la gym, au début elle me draguait, maintenant elle m’évite, tu es une salope, tu ne veux pas partager les bons coups.
- Non, je t’assure, je l’ai juste remise à sa place pour qu’elle arrête de te draguer.
- Tu te fous de moi, je suis sure que tu te la fais, c’est pour ça que tu ne prends plus la douche avec moi.
- Je ne prends plus la douche avec toi parce que je suis entrain de la mater, de la former, de la dresser, j’en fais mon esclave, en deux semaines j’ai fait de très gros progrès avec elle, bientôt, j’en ferais ce que je veux, bientôt je pourrais exiger d’elle qu’elle te fasse jouir.
- Jean-Marc a vu juste, tu n’es plus la douce copine que j’avais, tu deviens comme ta chef de service, une salope aigrie qui désire avilir les femmes qu’elle approche. Moi qui croyais que tu m’aimais et que tu aimais Jean-Marc. Non, tu n’aimes que ton plaisir et bien on va t’en donner. Jean-Marc, atts la.
Je me suis exécuté, elle l’a déshabillé puis en fouillant dans son sac, elle a sorti des menottes et on l’a attaché écartelée sur le lit. Pour la première fois depuis que je la connaissais, je l’ai vu entièrement nue, sans sa guêpière ni ses bas. Ça m’a fait tout drôle. Géraldine s’est mise à lui pistonner le minou d’une main pendant que de l’autre elle me masturbait. Au bout d’un moment elle m’a guidé en elle pour que je la baise. Elle s’est installée au dessus de sa tête pour se faire lécher le minou pendant qu’elle m’embrassait et me caressait. J’ai joui assez rapidement tout au fond de son ventre. Après m’être retiré, Géraldine s’est mise à laper le foutre qui s’échappait de son sexe la faisant à nouveau gémir de plaisir.
Nous avons passé toute la nuit à la faire jouir. Même quand je baisais ma femme, elle insistait pour que j’aille jouir en elle, elle l’avait surnommé « l’outre à sperme ».
Au petit matin, je n’en pouvais plus, je n’arrivais même plus à bander tellement la nuit avait été torride.
Nous avons fait notre toilette et nous sommes partis nous promener en la laissant attachée, comateuse sur le lit. Ce n’est qu’en début d’après midi que nous l’avons détaché en lui faisant promettre de nous présenter sa conquête le vendredi suivant.
Le mardi après midi quand j’ai vu Marie-Christine je l’ai prévenu que sa maîtresse Ursula allait exiger d’elle qu’elle la suive le vendredi soir. En lui expliquant qu’elle ne devait pas s’inquiéter, c’était pour venir chez nous. Je lui ai ensuite fait promettre de faire celle qui ne me connaissait pas. Après ça, nous avons fait l’amour. Je me suis régalé de voir qu’elle ne portait pas de sous-vêtements et surtout de caresser son sexe imberbe. Finalement Ursula avait très bon goût.
A suivre

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