Réveillon Du 31 Décembre
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les jours qui suivent notre retour de Paris sont assez calmes, une nuit dans les bras de Marie de Michel et rien dautre. Je passe 3 jours chez mes parents pour noël, ils sont heureux de mavoir à la maison à temps plein. Cest une occasion davoir de longues discussions, ce qui ne nous est pas beaucoup arrivés depuis un an et demi que jai quitté la maison. Sils savaient tout ce qui sest passé dans ma vie depuis.
Je réintègre mon appartement et reprend le travail quelques jours et nous sommes déjà le 31 décembre. Marie décide que nous ne travaillons pas pour pouvoir faire la grasse matinée et passer le reste de la journée à se préparer. En début daprès-midi, Marie passe me prendre pour la tournée habituelle en commençant par lesthéticienne, puis la coiffeuse et enfin la maquilleuse. De retour au manoir il est déjà lheure de shabiller. Marie mapporte la robe quelle a choisie et que je nai pas encore vue. Robe haute couture bien sûr, et magnifique. Elle est noire. Cest une robe longue. Il sagit en fait de deux bandes de tissus pour lavant et larrière, avec sur chaque flanc un maillage métal de 15 à 20 cm de large qui va de la poitrine à la taille. De ce fait vue de profil, on voit la base et une partie des seins, on voit les fesses et les jambes sur toute leur longueur. Le haut comporte une fine chaînette qui passe derrière le cou. Il suffit de décrocher lattache de cette chaîne derrière la nuque et la robe tombe à mes pieds. Les bas auto-fixants sont bien sûr visibles sur toute leur longueur. Des escarpins avec talons aiguilles de 10 cm complètent la tenue. Il ne faut pas avoir à se promener en ville dans cette tenue sinon cest lémeute assurée. Marie porte une robe noire dont le haut est entièrement transparent et le bas fendu jusquà la taille aussi. On voit donc aussi ses bas noirs sur toute la longueur. Nous partons vers 20h00 vers le centre de Toulouse.
Michel gare la voiture dans un parking souterrain du centre et nous marchons 10 mn pour atteindre lhôtel particulier où se déroule la soirée. Je connais cette superbe demeure pour être souvent passée devant, mais je naurais jamais imaginé le luxe de lintérieur. Dès le hall dentrée je comprends que je rentre dans un monde différent du mien. Avec Marie et Michel je vis dans le luxe et je le côtoie tous les jours, mais ils mènent une vie normale au quotidien. Là, je rentre cest beaucoup plus classieux et totalement déconnecté du monde extérieur. Dès le hall dentrée, deux femmes dune quarantaine dannée dans le même uniforme se précipitent sur nous pour nous débarrasser de nos manteaux avec des manières dun autre temps. Jai limpression dêtre dans un film. Marie samuse discrètement de mon étonnement. Nous montons lescalier et sommes accueillis par un couple dune soixantaine dannées qui semblent bien connaître Marie et Michel vu les embrassades interminables. Marie me présente et la dame, Martine, commence à me regarder sous tous les angles en me faisant tourner sur moi-même et en sexclamant sans cesse sur ma beauté, sur ma jeunesse
Elle félicite Marie : « Tu ne mas pas menti ma chérie elle est superbe ! ». Il y a déjà une dizaine de personnes présentes, que des couples entre 40 et 50 ans, voir plus pour la majorité.
Marie et Michel en connaissent certains et me présentent, Martine nous présente les autres. Toutes les femmes sont dans des tenues aussi osées que Marie et moi, ce qui me met à laise malgré le ton guindé de la soirée. Marie mexpliques que nous serons une trentaine de convives, 80% de couples + quelques filles et quelques hommes seuls. Elle me dit que seuls les propriétaires sont guindés et très vieille France, les autres jouent le jeu mais quà un moment la soirée se débridera et que nous nous amuserons.
Puis nous commençons à parler avec un peu tout le monde, les derniers convives arrivent, le champagne coule à flots. Une musique de fond envahit la pièce, et au fur et à mesure de lapéritif les conversations se font plus fortes et lambiance se décontracte un peu. Je suis assaillie de questions et de compliments par la plupart des convives. Pas mal dhommes me reluquent et je vois dans leurs regards quils ne rêvent que de mallonger sous leur corps. Marie me dit que tout restera très correct jusquà la fin de lapéritif et pendant le buffet repas. Tout saccélèrera après quand ça commencera à danser. Le buffet est dressé par les serveurs, et il faut dire quil est copieux. Que des mets délicats, foie gras, caviar, langoustes
. Beaucoup se jettent dessus et sinstallent aux tables disposées autour de la pièce. Nous faisons de même. Puis vient le buffet de desserts, aussi somptueux et copieux que le précédent. La maitresse de maison prend un micro et annonce quon peut commencer à danser.
Quelques couples commencent à envahir la zone devant la sono. Nous continuons à discuter avec un petit groupe. La maîtresse de maison reprend le micro et annonce le décompte de changement dannée.
Quelques hommes viennent se frotter à moi, une ou deux femmes aussi dont une qui a dû r du champagne. Une porte est ouverte au bout de la pièce, je vois des matelas, des coussins
cest là que la suite va se passer. A lentrée de la pièce des coupelles sont déposées sur une table et remplies de préservatifs. Un homme qui discutait avec nous à table minvite à danser, je le suis. Il doit avoir entre 45 et 50 ans, mais très bien conservé, et je préfère commencer avec un qui nest pas trop mal plutôt. Rapidement il commence à me peloter et à membrasser, il passe ses mais sous ma robe et les pose sur mes fesses. Je passe mes bras autour de son cou et je commence à répondre à ses baisers. A côté de nous certaines femmes commencent à se laisser dénuder. Au bout de quelques minutes, il me demande si je veux bien le suivre dans la pièce voisine, et sans attendre ma réponse il my conduit. Ses caresses ont fait leur effet, je suis prête. Je retire ma robe en prenant soin de la poser sur un fauteuil, je suis nue, et nous nous allongeons sur un matelas. Cest très confortable, il y a plein de coussins, il commence à me caresser. Je vois passer dautres personnes qui commencent à occuper la pièce, des gémissements viennent déjà de çà et là. Il me demande de le sucer, je mexécute, puis il se place au-dessus de moi et me lèche la chatte à son tour. Il me fait du bien, je mabandonne de plus en plus. Au bout de quelques minutes, il se dégage et enfile une capote, jouvre les cuisses et il me prend la chatte. Il est très doux, il me caresse en même temps quil me prend, je me dis que sil continue je ne vais pas tarder à jouir. Il accélère quelques secondes et marrache quelques gémissements, mais il éjacule très vite.
Jentends les commentaires autour de moi dont certains disent que je suis une bonne salope. Une des femmes nettoie mon visage en léchant le sperme, pendant que je sens un homme se coucher sur moi, il me prend la chatte. Une bite force ma bouche, je lavale goulument. Des mains caressent mon corps, je sens un doigt rentrer dans mon anus, puis rapidement lhomme qui me prend change de trou et il me sodomise à grands coups de boutoir. Le premier jouit dans ma bouche, et le second le suit et crache son foutre en moi. Une femme voyant que je suis à deux doigts de venir me masturbe le clitoris et je joui une nouvelle fois avant que lhomme ressorte de mon anus. Jouvre les yeux, je vois quil ne reste quune femme qui me caresse en me disant que jai bien joui, que son mari ma bien prise par le cul
Je lui dis que jai soif, elle membrasse, maide à me relever et nous allons dans la grande salle nues. Toutes les femmes sont nues, je cherche Marie des yeux, mais elle nest pas là. Jentends jouir dans tous les coins, la majorité des convives sont en train de baiser. Nous nous asseyons à une table et elle me sert un verre de jus de fruit. Jen profite pour la regarder et je dois dire quelle est pas mal, malgré quelle soit bien plus âgée que moi. Nous discutons un peu, deux hommes passent à côté de nous, ils me remercient
Ce doivent être eux qui mont prise.
Je sens des mains me caresser les épaules par derrière, je me retourne, cest Michel. Il me demande si tout va bien et si je me fais bien baiser. Je lui réponds, il me demande si jai vue Marie, lui non plus ne la pas vue depuis un moment. Il conclut quelle doit bien samuser et continue à me caresser. Martine, la maîtresse de maison, vient nous demander si tout se passe bien, puis elle séloigne. Je métonne auprès de Michel quelle soit toujours aussi bien habillée quà notre arrivée. Il me dit quelle et son mari ne feront rien car ils sont trop occupés à prendre soin de leurs convives et narrêtent pas de courir de droite à gauche. Jean, le mari, vient aussi parler un peu avec nous, il me complimente, dit que je suis encore plus belle toute nue, mais il ne me touche pas. Puis Michel me demande si je suis prête à repasser à côté, je le suis, ses caresses mont excitée et jai envie de lui. Nous cherchons de la place et finissons par en trouver tout au fond de la salle. Je mallonge au-dessus de lui et nous commençons à nous embrasser, puis je massois sur lui et mempale sur sa queue, à cru comme dhabitude. Je bouge mon bassin, je monte et descend sur son sexe bien dur. Je sens des mains me caresser le dos et les seins, tirer sur mes tétons. Un autre caresse mes fesses et rapidement je sens sa main pousser sur mon dos pour me pencher en avant. Je mallonge sur Michel et il membrasse. Je sens quon prépare mon anus, jentends cracher, puis une bite force contre ma rondelle, elle a du mal à rentrer. Je me cambre autant que possible et je pousse pour mouvrir. Le gland finit par passer et marrache un cri de douleur. Il finit par senfoncer et il commence à pistonner mon petit trou, la douleur satténue et le plaisir prend sa place. Jaime sentir deux bites en moi et je joui très rapidement sous ce double assaut. Je sens Michel accélérer le mouvement, je lui demande de venir jouir dans ma bouche. Il se dégage, et vient se placer devant moi, il pénètre ma gorge et jouit. Celui qui mencule est aussi sur le point de lâcher sa semence et jentends Michel lui dire : « Dans sa bouche, elle adore ça ». Il a raison, jaime ça. Le gars sort de moi, arrache sa capote, et vient jouir dans ma bouche, jai du mal à tout avaler. Je récupère avec mes doigts ce qui coule sur mon menton et je lèche les précieuses gouttes. Je sens une autre bite forcer mon anus, une femme glisse sa tête sous mon ventre et me lèche le clitoris en même temps. Elle me fait jouir en quelques minutes et celui qui mencule jouit à son tour.
Je suis encore prise de nombreuses fois, par des hommes, des femmes jusquà ce que les rapports deviennent trop douloureux. Je finis par crier grâce. On maide à me lever, et je sors de la pièce. Je retrouve Marie et Michel assis autour dune table devant un café. Je vois des viennoiseries en masse sur une table. Je me sers un café et je déjeune avec eux. Marie me demande si tout sest bien passé, je lui dis que je nen peux plus, elle non plus dailleurs. Michel nous dit avoir abandonné bien avant nous. Vu le monde qui déjeune je me dis quil ne doit plus y avoir grand monde dans la chambre. Il est six heures du matin, Marie me dit que certains sont déjà partis et que nous allons y aller aussi. Elle demande à Michel, qui est habillé, sil peut aller dans le hall nous récupérer les sacs contenant de quoi nous changer. Nous récupérons nos robes et nos chaussures, je jette mes bas déchirés et je retire mon porte-jarretelles. Jenfile un jean, un pull à col roulé et des baskets. Nous saluons ceux qui restent, je me demande en embrassant les gens, lesquels mont baisée ou pas. Mais je ne sais pas, à part certains, je ne sais même pas dire combien mont prise. Les hôtes ne cessent de me complimenter lorsque nous les saluons. Martine prend Marie à part un moment pour discuter. Nous rentrons au manoir à 8h00 du matin. De suite couchés après une bonne douche, je dors toute la journée.
Jémerge vers 17h30 et je flâne au lit une bonne heure à répondre aux nombreux texto reçus depuis la veille. Je téléphone à ma famille
Je me lève et je mange un morceau avant de me plonger dans mon journal intime pour y raconter la soirée.
Ce nest que le sur lendemain que je revois Marie, Michel est déjà parti très tôt au travail. Nous déjeunons ensembles le midi, et nous passons laprès-midi au lit toutes les deux. Bien sûr nous faisons longuement lamour. Mais nous passons la plupart de la journée à parler de la soirée du 31.
A un moment, je parle à Marie de mon étonnement quand elle mavait parlé des professionnelles qui étaient présentes à la soirée. Je finis par lui dire :
- « Moi, pour 5000,00 je passe la nuit avec nimporte qui !
- Tu es sérieuse ?
- Ben oui !
- Tu aimerais essayer où cest pour largent ?
- Ben, un peu des deux ! Je trouve ça excitant de se faire payer pour faire lamour. »
Nous en rigolons un peu et Marie me dit :
- « Cest marrant que tu me dises ça car justement on me las proposé.
- Quoi de vous payer ?
- Non de te payer toi.
- Ah bon ! qui ça ?
- Tu te rappelles en quittant la soirée, Martine ma prise à part pour me proposer de te payer pour passer une nuit avec elle et Jean. Je lui ai dit que je verrais ça avec toi, je ne comptais pas ten parler, mais comme tu abordes le sujet.
- 5000,00 pour passer une nuit avec eux deux ?
- Non peut-être pas 5000, mais la moitié.
- Ben, je vais voir, je ne sais pas
- Tu fais comme tu veux, ma chérie, prends le temps dy réfléchir quand même, et si tu veux le faire jappellerais Martine.
- Et ça ne vous gêne pas Marie ?
- Pas du tout, cest ta vie et ton corps, tu fais comme tu veux. Je naimerai pas que tu fasses ça que pour largent par contre, si tu as besoin tu sais que tu peux me demander.
- Je sais Marie, cest gentil, mais jai besoin de rien. » Bien sûr en disant cela je mentais un peu. Javais dépensé beaucoup lors de notre séjour à Paris, bien quelle nait pas voulu que je paye quoi que ce soit entre lhôtel et les restaurants. Mais javais acheté pas mal de fringues, de bijoux
Si bien que mon compte était à découvert. Mais je ne voulais rien demander à Marie car elle me payait très largement en salaire, sans compter le logement gratuit et des montagnes de cadeaux. Je lui dis donc que je réfléchirai et quelle aura une réponse dans les jours qui suivent.
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