Réveillon (4)
Félix laissa les autres dans le salon, et alla dans la salle de bain prendre une douche. Erwann ne lui avait pas menti quand il lui avait parlé de sa sur et de ses amis. De vrais fous de sexe. Sil avait déjà baisé avec deux mecs, une seule fois, jamais il navait participé à une partouze. Trois gars, trois filles. Tous bi. Enfin presque tous, lui navait jamais fait lamour à une femme. Certes il sétait déjà fait sucer, une fois, par une cousine éloignée, lors dun repas de famille interminable, pour les 80 ans dun grand-oncle. Cétait pas mal, même très bien, la cousine savait sy prendre, et il avait même aimé lui jouir au visage. Mais depuis cette expérience, il navait pas touché une femme.
Félix laissa couler leau sur lui, tête posée contre le mur, il la laissait effacer la fatigue, la transpiration, les traces de foutre. Il se vidait la tête après sêtre vidé les couilles.
Tu baises avec mon frère depuis longtemps ?
Il coupa leau, ouvrit la porte de la douche et découvrit Émilie assise sur le lavabo. Erwann lui avait parlé du tempérament de feu de sa sur, et même de leur secret. Ce matin où ils avaient cédé à leur désir mutuel et avaient fait lamour ensemble. Erwann navait pas caché quil avait encore parfois envie de sa sur. Félix ne jugeait pas et même comprenait en voyant Émilie, nue, jambe écartée, belle comme le jour, et transpirant le sexe.
Ça fait deux mois quon se connait, à peu près autant quon baise, dit-il en attrapant une serviette pour sessuyer.
Cest un bon coup ?
Tu dois le savoir, dit-il sans réfléchir et regrettant aussitôt.
Émilie se figea un instant. Elle repensa un instant à ce matin malheureux, mais délicieux. Erwann devait tenir à Félix sil lui avait confié son secret. Elle hésita un moment, puis se leva et attrapa la serviette que Félix avait passée autour de ses hanches.
Toi en tout cas tu es bien équipé, dit-elle en saisissant le sexe de Félix.
Félix sentit la main dÉmilie sur lui, et lérection qui montait alors quelle le branlait.
Tu me laisserais gouter, lui demanda-t-elle en se mettant à genou devant lui ?
Sans lui laisser le temps de répondre, elle prit sa bite en bouche. Jamais elle nen avait pris une aussi grosse. Elle la sentit grossir encore sous ses lèvres, et suffoqua un peu en commençant à la sucer.
Félix ne résista pas. Il sappuya contre le mur et laissa Émilie le pomper. Goulument. Sauvagement. Avidement. Elle le suçait avec envie, lui léchant le gland, les couilles. Le branlant de ses deux mains. Sa bouche était chaude et douce. Sa langue agile faisait monter son plaisir. Elle savait jouer avec sa bite comme avec un instrument. Cassant le rythme, jouant de son désir, de sa frustration. Il ne voulait pas se lavouer, mais jamais on ne lavait sucé comme ça.
Émilie sentit Félix sur le pont de jouir. Son sexe dur, tendu, impatient ne demandait quà exploser dans sa bouche, linonder de son foutre chaud et gluant. Elle ralentit le rythme, plongea son regard dans celui de Félix, et lui mit un doigt au cul. Dans un dernier soubresaut, il jouit. De longs jets de spermes maillèrent dans sa bouche. Elle les avala.
Félix glissa le long du mur et sassit sur le carrelage froid de la salle de bain. Émilie se leva, sessuya la bouche. Elle se positionna de telle sorte que sa chatte soit juste au niveau de son visage.
Tu as déjà gouté à une femme ?
Il ne put répondre que non. Jamais il navait gouté à une femme. Jamais il nen avait eu envie. Pourtant, alors quÉmilie se rapprochait de lui, jusquà coller son sexe sur lui, sans réfléchir il le mit à la lécher. Cétait étrange. Il sentait en lui un désir pour elle. Lenvie de la faire jouir. Sa langue écarta les lèvres dÉmilie, goutant pour la première fois de sa vie le jus dune femme lui qui depuis toujours navait éprouvé du désir que pour les hommes.
Il se souvenait très bien de ses premiers émois dado. Quand ses copains parlaient de nana, il pensait mec. Quand ils disaient se branler en pensant à une actrice, une chanteuse, un mannequin, lui se branlait en pensant aux footballeurs, aux acteurs, et même parfois il pensait à ses copains se branlant. Il navait jamais regardé les filles, et navait fait lamour quavec des mecs. Mais après quelle lui avait sucé la bite, il avait envie dÉmilie.
Sil avait déjà vu des nanas à poil, en photo, ou sur la plage, il découvrait le sexe féminin pour la première fois. Sa douceur, sa complexité, tous les recoins, les replis.Le gout suave. Si différent dune bite. Cétait simple une bite. Évident. Dressée elle nattendait quà se faire avaler. Une chatte cétait plus mystérieux.
Émilie guida Félix dans sa découverte. Linitiant à la femme. Elle lencourageait, lui donnait des conseils, des indications. Puis au bout dun moment le laissa faire. Se laissa glisser sur le sol, sentant quil prenait de lassurance. Elle aimait cette position dinitiatrice, le petit pouvoir que cela lui donnait. Et lidée aussi quelle était sa première femme. Elle aurait voulu quil devienne fou et quil la baise sauvagement, à même le sol, se vidant les couilles en elle.
Félix sentait Émilie frémir. Cela lencourageât, il intensifia ses caresses buccales, se fit plus entreprenant. Il ne pouvait pas dire quil aimait ça. Cétait étrange, mais pas déplaisant. Et puis il sentait quÉmilie aimait. Quil pouvait la faire jouir !
Si elle navait pas jouit avant, Émilie aurait sans doute eu du mal à jouir grâce à la langue, à la bouche de Félix, mais elle était chaude, excitée. Elle poussa un cri et plaqua le visage de Félix sur son sexe vibrant de plaisir.
Félix se releva, tendit la main à Émile pour laider à en faire de même. Elle lembrassa. Une première aussi pour lui. Les seins dÉmilie sécrasèrent sur sa poitrine.
Si josais, dit-elle en sécartant, je te demanderais de menculer. Jaimerais trop sentir ta grosse bite dans mon cul. Et puis un cul, cest un cul, mec ou nana cest pareil.
Cette fille était extraordinaire. Comme ça elle lui proposait de lenculer. Elle venait de jouir sous sa langue, lavait sucé et avaler, savait quil était homo, mais elle ne se démontait pas et lui offrait son cul. Le pire, cest quil en avait envie, il sentait son sexe se dresser en pensant à ça. Émilie ne pouvait pas ne pas le voir. Elle sen empara et le caressa pour le faire durcir, puis se mit en position , appuyée contre le mur, jambes écartées.
Va y doucement, même si jai lhabitude, tu es plus équipé que mon mec.
Il se glissa derrière elle, lécha ses doigts et lui caressa lanus, se glissant doucement en elle. Il lui massa le trou, louvrant, le préparant. Il caressa ses fesses, des fesses lisses, rondes, si éloignées de celles de ses mecs. Un cul cest un cul, mais ce qui va autour change.
Émilie sentit la bite de Félix sinsinuer entre des fesses. Il lavait préparée, mais elle regrettait de ne pas avoir de lubrifiant pour laider. Elle frissonna en sentant le gland pousser contre sa rondelle. La pression de fit plus forte, et dun coup de reins la bite de Félix fut en elle. Elle ressentit une brulure profonde, plus intense que jamais. Elle retint un cri, une larme coula sur la joue. Félix commença à lenculer, sans attendre. Elle serra les dents. Cest elle qui avait demandé, elle ne voulait pas passer pour une petite nature.
Mains sur les hanches dÉmilie, Félix la bourrait comme si elle était un mec. Fermant les yeux il simaginait baisant Erwann. Il entendit Émilie soupirer. De plus en plus fort. Son corps se tendait de plus en plus, lencourageant, offrant de plus en plus son cul à sa bite. Cétait bon, il aimait ça, il aimait le cul de cette fille, cette nana osant tout, soffrant, se livrant.
Son corps tout entier nétait que plaisir. Cette grosse bite qui lavait presque déchirée au début ne lui apportait que du plaisir désormais, des vagues de plaisir intense, une sorte dorgasme absolu, continu, permanent. Elle hurlait désormais. Elle sentit alors que Félix jouissait en elle, un long flot sécouler de sa chatte béante, une éjaculation totale, incontrôlable, magnifique.
Félix se retira, son foutre sécoulait du cul dÉmilie, tombait sur le sol, se mêlait au jus de sa chatte, une flaque de jouissance sur le carrelage dans laquelle seffondra Émilie. Elle se roula dedans en se caressent tout le corps.
Il la regarda, et sut quil la baiserait encore.
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