Chapitre 40 : Mon Premier Vrai Gang-Bang Organisé Par Éric Mon Mari. Episode 2/2

Bonjour, c’est Caroline, je suis ravie de vous retrouver pour notre douzième rendez-vous, aujourd’hui je vous propose de vous raconter l’épisode 2 de mon premier vrai Gang-Bang organisé par Éric mon mari pour mon anniversaire.
Un petit conseil vous devez lire l’épisode 1 avant celui-ci.
Un petit coin cosy est préparé pour recevoir nos amis : Anderson, Joshua, Mahdi, Guillaume, Florent et Sébastien.
Éric fait les présentations de nos invités, lui seul, les a tous rencontré physiquement et propose à Anderson de s’installer à mes côtés en lui signalant de prendre bien soin de moi… Celui-ci ne tarde pas à effleurer de sa main ma cuisse, éveillant quelques frissons. Puis arrivent trois nouveaux compères que mon mari va accueillir lui-même, il sait que le désir monte en moi et préfère me laisser profiter de mes charmants compagnons…Nouvelles présentations d’Éric :
- Je vous présente les trois « derniers » amis de Caroline : Julien, David et Christophe.
Nous parlons de tout et de rien, mais aussi des expériences de nos invités, Anderson et Mahdi sont je dirai des « experts » en gang bang… Puis, mon mari innocemment propose, cherchant à me titiller, de continuer soit par un apéro dinatoire soit de le garder pour plus tard et d’honorer « la reine des abeilles » ! Ajoutant que le minimum de la courtoisie serait de m’honorer, je rétorque :
- Tu es bien insistant…Mon chéri !!!
Mais il comprend à mon regard que ce n’est qu’un encouragement…
Éric att ma main, m’attire vers lui et m’embrasse, ce baiser me fait bouillir, me sentir dans ses bras sachant qu’il va m’offrir à tous ces hommes…Nous nous embrassons langoureusement quand il me dit :
- Viens mon amour, nos jeunes invités sont impatients !!!
- L‘impatience de la jeunesse, mon amour, tu les as choisi bien jeunes nos amis !!! Lui répondis-je.
Il m’accompagne sur le matelas, m’embrasse, explore mon corps en se dirigeant vers mon sexe brulant.

Il invite alors nos invités à nous rejoindre… Il commence à effleurer mon bouton de sa langue, et j’observe mes hommes s’approcher. Je me suis retrouvée très vite en tanga et seins nus. Joshua est le premier à venir effleurer mon corps, de ses mains, puis aspire mon téton… Guillaume arrive son sexe déjà bien tendu que d’une main j’accroche.
Je sens l’excitation remonter mon corps, mes joues bouillir d’excitation et d’une petite gêne, « serais-je à la hauteur ? ».
Florent vient m’embrasser et je dévore ses lèvres, sa langue, instant d’oubli, d’abandon sous les caresses buccales de mon homme…
Le désir de sentir mon homme me prendre monte en moi, être sa coquine au milieu de ces hommes excités, de ces sexes tendus me désirant, voulant jouir de moi…
Je prends Guillaume en bouche et commence de l’aspirer, n’oubliant pas le sexe de Florent, l’un puis l’autre de ma langue je les titille…
Mon mari remonte mon corps, vient m’embrasser et me susurre :
- de ces hommes, Ma chérie !!! Ils sont pour toi !!!

Je l’embrasse furieusement, alors que des mains explorent déjà mes cuisses s’approchant de mon sexe inondé de désir…
Mon cœur bat, mon corps brule, mes lèvres et mes joues sont en feu. Oui l’envie de sexe et de débauche sont puissantes, enivrantes, envahissantes. J’aspire les sexes se présentant devant moi, l’un puis l’autre, puis l’un je ne sais plus qui, quand, mais je les aspire comme pour retenir le plaisir qui essaie de gagner mon corps. Agrippant la main de mon homme, subissant les caresses, des baisers imprévisibles, une bouche aspirant mon téton, l’autre jouant de mon sexe… un doigt, des doigts, une bouche venant prendre possession de mon « outil vaginal »… Victime consentante de tant d’abus… Résistant au vagues de plaisir venant tendre mon corps, l’envahissant au gré des attaques de mes hommes…
Puis Éric, « mon homme », s’approche de moi, m’embrasse et m’offre une petite coupe pleine de préservatifs et déclare :
- Profite ma Chérie !!! Puis s’adressant à nos invités.

- z d’elle, offrez-lui le plaisir que son sexe quémande !!!
Puis “sadiquement“ me passe un bandeau en me disant :
- à toi de découvrir qui vient en toi, ma petite salope !!!
Il me place le bandeau sur les yeux, j’ai alors de la peine à lui cacher mon excitation offerte par cette surprise.
Les mains continuent de parcourir mon corps, puis soudain je sens un sexe venir caresser mon bouton brulant, ma vulve… Mon bassin se tend comme pour l’avaler, affamé…
Je le sens me pénétrer, je plonge dans l’écume du plaisir, j’agrippe au plus fort un sexe et la main de mon chéri, engloutissant ce sexe afin d’échapper à la déferlante de plaisir qui roule en moi.
Je ne peux lutter, un premier orgasme, puissant, dévastateur emporte mon corps !!! Puis alors que cette sensation bien particulière bouillonne en moi, je sens ce sexe rythmer les vagues de plaisir, vagues réveillant la sensation de cet orgasme. Guillaume, (Éric m’a dit après qu’il fut le premier, mais quel premier…) continue de rythmer mon plaisir. Puis il laisse sa place, je l’att, j’att son sexe afin de le sucer, je veux le faire jouir, exploser, sentir ses vagues de plaisir éclabousser mon corps. Me venger du plaisir qu’il vient de m’offrir.
D’ailleurs il ne tarde pas à recouvrir ma poitrine de sa jouissance, comme une douche de plaisir sur mon corps brulant.
Pendant ce temps mon sexe explore le plaisir que peuvent offrir tous ces sexes différents, ces rythmes variés… Ils se succèdent en moi, faisant remonter des déferlantes de plaisir, interrompues par le mal que je me donne à les retenir, comme une enragée en dévorant leurs sexes, aidée par un pincement salvateur d’un de mes tétons par une bonne âme occasionnellement et moi qui pensait que je n’aimais pas qu’on les maltraite !!!
Les hommes s’enchainent. Pour pouvoir jouer avec mes neuf coquins, je préfère me mettre en “missionnaire” : les quatre fers en l’air sur le dos. C’est la position la plus pratique pour un gang-bang et celle qui entraîne le moins de surchauffe de mon minou.
Ça permet d’être plus disponible et de pouvoir jouer plus longtemps. Pourtant, je préfère la levrette, mais c’est plus approprié pour une petite pluralité. Au moins, dans cette position, il n’y a pas d’hésitation à avoir : c’est droit devant !!!
Les coquins se succèdent rapidement et jouent le jeu du gang-bang : pas de tendresse ou de gros câlins. Ils vont et viennent, jouissent vite et ne s’attardent pas à me prendre vingt minutes chacun. Toutes les sept/huit minutes, je change de sexe en moi. Les hommes viennent littéralement se vider et j’adore ça !!!

Ce que j’aime dans le gang bang, c’est justement la diversité des sensations. Aucun sexe ne procure le même ressenti et aucun homme ne baise de la même manière. Chacun a un petit truc que l’autre n’a pas, un petit truc qui change, qui fait qu’il n’est pas celui d’avant et qu’il ne sera pas celui d’après. L’intérêt du gang bang est de faire varier les plaisirs en un minimum de temps.
Certains de mes neuf coquins m’ont prise plusieurs fois, d’autres ont essayé et ne sont pas parvenus à bander suffisamment fort pour pouvoir pénétrer. Pour en avoir déjà parlé avec mon Chéri, il m’a expliqué que c’est vraiment difficile pour les hommes de bander devant les autres. Même si la situation est excitante, la bandaison est aussi cérébrale et l’intimidation peut prendre le dessus. Il est certain que c’est plus facile pour une fille : il suffit d’écarter les cuisses, mettre du lubrifiant et se laisser porter par le plaisir.
Je suis caressée, léchée, embrassée par toutes ces mains, par toutes ces bouches. Je gémis de plus en plus fort. Je me fais enfoncer des doigts dans chaque trou. Je me trouve les jambes écartées, avec deux doigts dans la chatte, trois dans le cul, une bite dans chaque main et une autre, énorme, dans la bouche. Je me fais défoncer par tous les orifices, des phalanges m’éclatent le trou du cul, ma bouche est complètement déformée par le sexe géant d’Anderson. À un moment, la position devenant inconfortable, je me retourne.
Là, Mahdi, notre ami Sénégalais avec un sexe comme je n’en ai rarement vu, épais et très courbé, me l’a enfoncé dans le cul pendant que je continue à lécher le gros membre d’Anderson.
Je suis sodomisée énergiquement. Anderson, que j’ai en bouche lâche son sperme sur mon visage. Joshua prend la place de la bite ramollie dans ma bouche chaude, et puis un deuxième. Je pompe les deux en même temps, mais c’est un peu maladroit, d’autant que Mahdi me défonce toujours le cul. A un moment, Mahdi se retire de mon petit trou et ôte son préservatif pour se vider les couilles sur mon visage. Puis, un autre prend sa bite en main et se présente à l’entrée de ma chatte béante, qui coule de plaisir et d’envie. Il entre sans ménagement, et me baise avec force, avec de grands coups pour s’enfoncer le plus loin possible. Pendant ce temps-là, je suis toujours occupée à sucer les deux sexes que j’ai en bouche, et ils se vident tous les deux, à quelques secondes près, eux aussi sur mon visage. Je suis tapissée de sperme, ça coule jusque dans mon cou, mais mes seins sont également douchés
Je me suis occupée de tous les gars en une heure trente. Rapide et efficace !!! C’est du bon travail, ma fille !!! J’avais la santé pour en faire davantage, mais ils sont tous K.O !!!
Une fois les coquins fatigués, Éric, mon mari, toujours à mes côtés, vient de ses lèvres abreuver les miennes, d’autres viennent fougueusement les dévorer également. Certains reprennent de la vigueur en se branlant énergiquement et jouirent sur mon corps offert, recouvrant ma poitrine de leur jouissance, et puis quelqu’un m’a enlevé ce bandeau que j’ai oublié, envahie par le plaisir à l’affut de mes sensations en oubliant mes sens...
J’attire alors mon chéri pour qu’il vienne reprendre possession de mon corps, de mon sexe, de mon ventre, le sentir en moi, moi qui ai joui avec tant d’hommes, les neuf qu’il m’a délicatement sélectionné, je veux le sentir venir en moi !!!
C’est alors qu’il explose en moi, léchant mes seins encore maculé, me faisant défaillir de plaisir, aspirant sa bouche encore salée du plaisir de mes hommes… Un moment rare de plaisir, de plaisir intense, de débauche, en communion !!!
Tous, alors m’embrassent, ma bouche, mes seins, mes joues reçoivent ces baisers qui remercient mon corps, me remercient du plaisir partagé !!!
Nous nous levons les uns après les autres, moi bien après mes hommes, pour nous délecter de quelques coupes de champagne avant qu’Éric aidé de comparse prépare un petit apéritif dinatoire, nos fameux sushis qu’Éric avait tout préparé !!!
Une ambiance feutrée, amicale, voire presque empreinte de romantisme semble flotter autour de moi, entourée de mes étalons et de mon petit mari. De petites caresses volées viennent faire frissonner mon corps occasionnellement. Nous parlons, nous revivons les instants passés… Puis la soirée avançant une partie de mes « galants » nous quittent, pour finir avec Anderson le beau Brésilien, Mahdi l’athlétique Sénégalais et Guillaume un charmant Belge très cultivé… Je ne vous en dirais pas plus, la suite fut-elle sage ou torride, les femmes savent probablement…
Mais, merci mon amour de m’avoir permis de découvrir des plaisirs nouveaux et si puissants…
- Je t’aime Éric…
- Bon anniversaire ma chérie !!! J’espère que mon cadeau t’a plu  !!! A conclu Éric. J’ai dit oui, tout en imaginant avec délice ce qu’il pourrait bien me réserver l’année prochaine !!!
Mon désir d’être baisée jusqu’à l’épuisement s’est clairement réalisé. Je ne me suis jamais sentie aussi salope. J’adore cette performance de nos corps et je suis, décidément, bel et bien en train de vivre un anniversaire inoubliable…
Petit message d’Éric :
« Je ne vous raconte pas la suite, car ce serait beaucoup trop long. Mais je peux vous dire que la soirée a duré jusqu’à quatre heures du matin, et que Caroline s’est faite baiser par tous les trous, et que nos trois lascars lui ont joui dessus, dedans, elle a même eu droit à de très longues doubles pénétrations. Encore une fois, Caroline est sollicitée par ces trois sexes qui en redemandent. Mais, bien sûr, ma « miss salope » est parfaitement ok pour prendre à nouveau du plaisir et jouir encore et encore.
Caroline n’en a jamais assez, c’est une gourmande. Enfin, pour clôturer notre soirée, je lui fais une sodomie d’enfer. Moi, son mari, je n’en peux plus de regarder sans toucher… Alors, je lui défonce tout simplement son petit cul en lui donnant une fessée magistrale ».


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