Phantasmagoria
Salut les gars,
Certains dentre vous me reconnaîtront peut-être car jai déjà commencé un récit sur ce site, mais celui-ci ne me satisfaisait plus. En fait, je nai pas envie décrire une fiction à la première personne, plutôt de vous proposer une confession « 100% real story ». Pour vous, je serais Mowgli, en tout cas cest ainsi que je me nommerais. Pourquoi ? Parce que je lui ressemble et que javais le choix avec Jésus, mais jaurais eu limpression den faire trop. La deuxième chose à savoir est que je suis encore un petit puceau malgré mes 28 ans
La plupart des gens ont du mal à y croire, même sils ont affaire à la vérité dans sa plus simple nudité. Et cest cette histoire de ma virginité que jai envie de vous conter.
Je vous laisse le temps de sortir vos bites des paquets un peu trop serrés dans létroitesse de vos entrejambes. Tenez-là bien en main, on ne sait jamais si elle décidera de vous écouter ou de jouir quand bon lui semblera.
Sachez que ma virginité est un choix, ce nest ni une contrainte religieuse, ni une erreur de la nature. A vrai dire, jai déjà eu deux relations, où jai pu tester quelques pratiques, mais elles furent soit pas assez satisfaisantes, soit trop courtes pour que je puisse en découvrir plus. En clair, je suis puceau uniquement parce que mon cul ne sest jamais fais pénétrer. En ce qui concerne ma queue, elle ne pourra jamais pénétrer parce que jen suis incapable, suite à un phimosis que je nai pas envie dopérer. Une partie de moi a envie de passer à lacte avec quelquun qui acceptera mon corps tel que Dame Nature la crée ; et une autre partie plus perverse aime lidée dêtre un actif ignoré, coincé dans le corps dun passif.
Au-delà de cette facétie de Dame Nature, je crois avoir eu de la chance quant à mon physique. Certes jai un corps de petit minet avec mon 1 mètre 80 et mes 60 kilos, mais jai une gueule qui vaut le détour. Les cheveux longs et noirs comme les ailes dune corneille, un regard de Gorgone aux yeux bleus, une peau aussi blanche que la crème et une bouche cramoisie à damner un saint.
Comme chaque nuit où linsomnie sabat sur la proie de ma personne, je fantasme sur ce que pourrait être ma sexualité si je devais y succomber. Jai beau avoir un corps pur, du moins redevenu après plus de cinq ans de solitude, jai lesprit très porté sur la chose comme un adolescent en rut
ou comme nimporte quel gars en fait. Cette nuit même, je réfléchissais à la manière dont jaurai pu perdre ma virginité dans mon adolescence. Face à ce fantasme, je fus dans lincapacité de dormir tellement il mobsédait, je bandais comme un âne au point de choper mon traversin entre les cuisses pour le violer. Encore maintenant, je suis obligé de me stopper dans lécriture afin de me masturber frénétiquement et dévacuer un trop plein dexcitation.
Jai limpression de le voir devant moi, ce mec avec qui jaurais eu ma première expérience. Ce nest pas le beau gosse du lycée, il est plutôt du type lambda, un adolescent commun dont le corps à peine dessiné présente encore les stigmates de la puberté. Dailleurs il est nimporte quel adolescent puisque Robin, de son petit nom, pense au cul en mode continu. Chaud et bandant en permanence, quelque soit lendroit même en pleine salle de classe. A chaque fois que mes yeux tombaient sur son paquet, javais limpression quil était trop plein de sa turgescence. Et moi ? Jétais du style plutôt naïf dans ma jeunesse, alors ça maurait fait mourir de rire ou jen serais peut-être impressionné, mais je ne me serais jamais approché de sa queue. Sauf que
En tant que vierge qui se respecte, jai beau avoir une grande part de naïveté que je traîne avec le temps, elle se mélange avec une putain de perversité.
Je ne pourrais pas dire comment les choses sont censées dér, mais jimagine les clichés saccumuler.
Personne ne sattend à ce quil va se passer, mais les jeux vidéo sépuisent et la conversation se limite, il faut bien trouver quelque chose à faire pour passer le temps. En fait, je vois le sérieux partir en vrille lorsquun défi est lancé de purs mâles.
« Arrête mec, je suis certain que tu es incapable de me maîtriser. »
« Tu es sérieux. Putain, je vais te mettre à lamande. »
Comme à mon habitude, je réagis au quart de tour, surtout que la légèreté de ma tenue massure la triomphe. A vrai dire, mon orgueil me voit toujours sortir vainqueur même contre ceux avec qui je nai aucune chance de rivaliser. Peu mimporte, car mon corps se noue dans tous les sens afin de tordre ma proie tel un serpent senroulant autour pour mieux l.
Toutes griffe dehors, je me jette sur Robin. Effet de surprise garanti. Un guépard sur sa gazelle, sauf que lanimal est moins farouche que je ne lespérais, se défendant avec assez de fougue pour taire mon arrogance. Heureusement que nos corpulences sont à arme égale car je réussis à bloquer ses jambes avec mes genoux et mes mains sagrippent à ses poignets dans un étau. Il a beau se débattre, il est pris au piège de mes membres, même si jai beaucoup de mal à le garder en respect. Nous haletons tous les deux devant leffort fourni, surtout que nous ne sommes pas des sportifs aguerris.
Je réussis entre deux souffles à dire : « Maintenant, dis-moi qui est le maître. »
« Pas question. Tu peux continuer à me retenir, je suis très bien dans cette position.
Et en effet, je constate que le mec en profite pour frotter sa queue contre mon corps. Je ne sais pas depuis combien de temps dure son petit jeu, mais sa bite présente une grosseur assez importante pour quelle me fasse rougir de la tête au pied. Surtout quil ne se gêne pas pour y aller franchement, alors que jessaye de trouver une position qui arrête son mouvement. Il est même assez débrouillard pour que mes fesses se positionnent avec précision sur son membre viril. Rien ny fera jusquà ce que je succombe à mon tour.
De le sentir aussi vorace de sexe mexcite grave, au point que je le ratt vite dans la turgescence avec ma queue. A moins que ce ne soit les nouvelles sensations, que me procure sa bite coller à mon trou, qui me mettent dans un état second. Pour mieux assurer ma prise sur son sexe, je décide de masseoir carrément sur son bas-ventre, afin de le faire coulisser contre la raie de mes fesses. Immédiatement le résultat escompté se fait jour par la violence avec laquelle il se sert de mon cul pour se masturber comme si jétais une vulgaire poupée gonflable. Ses mains sagrippent sur mes hanches pour mieux contrôler le rythme de mes mouvements, mais le sentant prêt à venir, je me rejette en arrière pour lui laisse goûter un moment de répit.
Ses yeux me crient de continuer, mais je préfère le frustrer en allant à la découverte de son corps. Je relève son tee-shirt pour découvrir un corps plus musclé quil ny paraît, aux pectoraux bien plus saillant que les miens. Je ne peux résister à venir y coller ma bouche pour que ma langue y parcours la rondeur, avant daller mordre son téton tout dur dexcitation. Je plaque mon corps contre le sien et commence un va-et-vient qui ne le laisse pas de marbre à lentendre gémir avec férocité. Mon ventre danse à un rythme frénétique pour que mon déhanché puisse épouser la forme de son sexe avec plus de force. Soumis au plaisir, la pupille de ses yeux se dilate au point que jy lis le désir ardent qui lhabite.
En effet, Robin veut profiter un maximum de la situation, en partant à la conquête de mes fesses où il vient y déposer une main délicate, mais pleine de sens. Lui aussi y parcourt la rondeur de la courbe, pour sattarder plus longuement sur la raie du boxer qui dissimule mon trou. Je trouve étrange quil ne tente pas de glisser sa main sous le tissu afin dêtre en contact direct avec la chair. Au contraire, il continue de jouer comme si le sous-vêtement nexistait pas en me doigtant rigoureusement. Je me surprends à gémir comme une bête assoiffée et il ne tarde pas à comprendre le message en profitant de la situation. Perdu dans lenvoûtement de son regard, je ne mattendais à ce quil me culbute sur le côté pour mieux me dominer de sa hauteur.
Avec une adresse brutale, mon pote me choppe par le cul et me renverse la tête contre le sol. Je me retrouve à quatre pattes, on ne peut plus ouvert à la merci de sa bite. Encore une fois, il prend son temps pour conquérir ce territoire vierge avec sa langue, fourrageant son visage dans le creux de mes fesses. Curieusement, il laisse toujours mon boxer en place, le mouillant avec abondance de sa salive. Ce ne sont plus des gémissements qui sortent de ma bouche, ce sont des cris, à tel point que Robin est obligé de me fourrer une de ses chaussettes dans la bouche pour me faire taire. Je nai jamais rien ressenti de pareil, jai limpression que mon bas-ventre va exploser sous ses caresses ; je me vois obliger de lui demander darrêter, car jai la sensation que je vais jouir sans même me toucher la queue.
Je mallonge sur le dos dans lattente que la pression retombe. Haletant comme des coureurs après un marathon, nous reprenons notre souffle en vue de la ligne finale. Dune douceur inattendue, Robin samuse à masser mon corps, nen laissant aucune partie susceptible dêtre jalouse des autres. Ses mains se rapprochent de mon visage, allant de ma joue jusquà mes cheveux en bataille. Je ne me fais pas prier pour le laisser se poser sur mon corps, quitte à lui laisser le temps de trouver sa place idéale. Sans quil némette la moindre résistance, jatt sa bouche de mes lèvres gourmandes, se laissant fondre comme sil nattendait que ce moment depuis le début. Nos corps semballent pleine dune intense électricité, à limage de nos langues qui se tordent avec violence pour exprimer cette sensualité contenue.
Si vous pensez quil est impossible de faire venir un mec rien quen se frottant à son pénis dans la volupté, vous avez beaucoup plus de choses à apprendre que moi sur le sexe. Sachez que les deux seuls mecs avec qui jai eu un semblant dexpérience ont joui dans leurs boxer plus dune fois. Croyez au pouvoir de mon déhanché puissant et ravageur ! Or, comment Robin pourrait y résister ? Jai beau être en dessous, il mest impossible de mimaginer en étoile de mer. Je suis peut-être rien quun petit passif, mais certainement pas inactif. Jagrippe de mes mains avides ce corps abandonné pour mieux le sentir contre le mien, ce qui nous fond dans une seule vague dont je contrôle le rythme avec précision. Peu à peu, lampleur se fait plus grande, la vitesse plus rapide et la force plus agressive dans un crescendo harmonique. Afin de le rendre plus accro à la jouissance, japproche ma bouche de son oreille pour lui faire entendre mon souffle animal. Comme ensorcelé, Robin se lance dans une frénésie pleine de fougue, sa queue battant contre la mienne cherchant à y défoncer le mur de mon corps pour y creuser un trou où se loger. Prêt à craquer, je soulève mes hanches dans un dernier effort, qui ne lui laisse pas le temps de réfléchir
il est déjà en train de venir. Jouissant à grandes eaux, nos corps sont pris de spasmes incontrôlables alors que nos boxers trempent dans le mélange de nos spermes. Ayant déchargé ses batteries, Robin sécroule sur moi, soulagé de la frustration adolescente. Je ne peux revenir sur la scène passée, que je mendors sous le poids dune fatigue accablante. Plus rien nimporte, hormis le sommeil dans les bras lun de lautre.
Je ne peux pas vous dire le nombre de fois où jai été obligé de marrêter décrire parce que javais besoin de me branler. Rêvant aux litres de sperme éruptives durant vos lectures, je fus traversé par une idée au génie pervers, ce dinclure le lecteur comme acteur de lhistoire. Certes vous pouvez commenter lépisode en menvoyant un mail (wildmowgli@outlook.com), mais vous pouvez en choisir la suite. Que ce soit à travers une photo, une vidéo ou quelques mots, imposez-moi vos fantasmes, vos délires, vos trips ou vos envies. Incrustez vous dans mes fantasmes, donnez moi de la substance pour écrire une histoire qui vous appartient. Et sachez que jai Robin et plein dautres qui tournent dans la tête, vous navez quà en sélectionner un
ou plusieurs. A vous de voir !
Sachez que quelque soit le message, je répondrais à tout le monde. A ma prochaine !
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