Leslie La58
Leslie LA58 Laure, le journal intime Aventures dans le train, le retour à Paris, la bourgeoise
Après le voyage de Paris à Toulouse et celui de Toulouse à Nice, je prenais à nouveau le train pour rentrer à Paris.
Il faisait chaud ce jour-là, une de ces fins daprès-midi où lon ne rêve quà une chose, celle dêtre nue au bord dune piscine, mais pas une journée à faire des galipettes et surtout dans un train
Lorsque je suis montée dans le train, je ne mattendais pas à voyager dans un compartiment vide, enfin quand je me suis installée, car juste avant que le train ne démarre une femme est venue sinstaller en face de moi.
- Bonjour mademoiselle, nous allons voyager ensemble !
Je lui ai répondu par un bref :
- Bonjour !
Pensant que cela suffirait à la satisfaire et me laisser tranquille dans mon coin, mais la femme continua par :
- Moi cest Deborah
et vous ?
Je répondis tout aussi brièvement par :
- Et moi Laure.
Elle a dû penser que je ne devais pas être très loquace, ma naïveté me montra aussitôt quil en fallait plus pour la décourager.
La dame, une fois installée, sest mise à parler et sest montrée vite captivante, le temps de sinstaller et la voilà qui me raconte sa vie, tout en me regardant et en me déshabillant des yeux, faisant monter en moi des frissons de la pointe des pieds jusquà la racine de mes cheveux, en passant par bien des détours je vous lavoue.
Mais son regard acier qui me scrutait au fur et à mesure quelle me confiait sa vie, ne me laissait pas indifférente, si bien que je nentendais même plus ce quelle me disait.
Est-ce quelle avait dit quelle était lesbienne, non je ne crois pas, juste quelle était séparée, mais la conversation à vite tournée aux questions intimes, voire parfois très intimes, cest ainsi quelle ma demandé en me tutoyant :
- Tarrive de le faire toute seule ?
Faire ça, faire quoi, mais je voyais bien ce dont elle voulait parler, alors sans trop savoir pourquoi, je lui ai répondu :
- Ben, ça dépend des jours et des idées aussi.
Nous étions dans lintime et je sentais, à ce moment que quelque chose allait se passer, sans trop savoir quoi, et continuant dans le même sens elle ma demandé :
- Et là, tu aurais envie ?
Trop étonnée de sa question, je ne sais plus si jai répondu ou si jai piqué un fard avant quelle nenchaîne, peut-être en voyant un début de gêne ou de confusion sur mon visage, ou même qui sait un peu de curiosité à entrer dans son jeu :
- Finalement la masturbation, nest-ce pas faire lamour à celle quon aime le plus ?
Je ne savais quoi dire, alors elle a rajoutée :
- As-tu déjà goûté à une femme comme moi, cela te tente-t-il ?
Ses questions étaient ciblées et sans équivoque, elle me proposait de faire un petit tour avec elle sans détours et, même si je la trouvais désirable et certainement ayant de lexpérience, je ne pouvais répondre « pourquoi pas », car ceût été reconnaître mes inclinations un peu facilement.
Elle sétait aperçue que les images quelle avait savamment distillées avaient fait leur petit effet sur moi et sans pudeur elle a relevé sa jupe pour me monter son intimité glabre quaucune étoffe ne cachait, mais mise en valeur par des jarretelles qui retenaient ses bas à coutures.
Une bouffée, de plaisir ou denvie, me submergea et sans réfléchir ma main se porta sur lourlet de mon short pour me caresser, rêvant quun pouce et un index se promène sur mon ventre, profitant de lespace nu entre mon short et mon débardeur, certainement trop court qui sarrêtait au-dessus de mon nombril et que ses doigts, remontant vers ma poitrine, effleurent le bout dun sein avant de venir caresser mon intimité consentante.
Javais pris un plaisir pervers à jouer les ingénues et maintenant jétais piégée, attendant que ses mains sessaient à mouvrir les cuisses.
Elle sétait levée, dans sa jupe étriquée et sur des escarpins à talons mi hauts, les jambes fines aux mollets bien dessinés, peut-être à peine plus grande que moi.
Il flottait, dans le compartiment, depuis un moment ce quelque chose de très troublant et dinfiniment plus cérébral qui pousse à lindécence sans sobliger dêtre amoureuse. Ajoutez au mélange un zeste de curiosités partagées, sans compter laspect amoral de la différence dâge, qui force à la retenue mais qui attise aussi les perceptions et aussi de lendroit quelque peu non conventionnel.
Dailleurs, le train maintenant roulait et nous nous étions aperçues quil avait démarré sa course folle nous menant à Paris.
Puis appuyée contre la porte du compartiment, ce fut dabord le tissu noir de la jupe qui se relève, le blanc du pubis et un sexe entièrement épilé, deux longs doigts aux ongles bruts qui écarte les chairs et se glissent entre les lèvres et sévertuent à faire jaillir un clito que je trouve soudainement démesuré.
Comment décrire ces instants sans risquer les clichés ?
Je souris, pensant au cliché que javais, car la toison était pour moi le symbole de la maturité, et là je me retrouve devant ce pubis glabre de quoi se remettre en question.
Toujours assise sur la banquette je nai pas à vous préciser que dans ma poitrine, ça sétait mis à battre la chamade, ma respiration était saccadée et mon corps parcouru par de petits tremblements. Ma main sest glissée sous mon débardeur et jai commencé à me toucher les bouts des seins, et cest là quelle ma dit :
- Montre-moi ta poitrine, maintenant !
Je me doutais bien quà cet instant, elle mévaluait, voulant connaître mes limites et savoir si jallais lui obéir
- Alors Laure, tu veux bien me montrer ce que tu sais faire maintenant ?
Le ton était redevenu doux, voir à peine suppliant, certainement pour mapprivoiser, car toujours adossée contre la porte, elle mobservait comme si cétait la première fois quelle allait regarder une jeune fille se donner du plaisir.
Jai relevé mon débardeur pour lui montrer mes seins et elle se montra ravie de me voir faire et lui obéir, et elle ma dit :
- Mais tu es toute menue, caresse-toi les bouts car jai envie de les voir se dresser.
Comme sils nétaient pas déjà tendus mes tétons, mes doigts me confirmaient quils étaient durs comme lacier et jai lu dans son regard quelle avait envie de me peloter, mais elle ne bougea pas, continuant de se caresser.
Puis après un instant, elle sest approchée, ma mise debout devant elle et a commencé à me malaxer les seins, dabord à pleines mains, sattardant autour des aréoles, membrassant sur la bouche et reprenant le périple du plat de la main, mais cette fois bien plus fermement quau début.
Elle sacharne sur un sein et sur lautre à tour ensuite et sa bouche sécrase contre la mienne et sa langue sinsinue entre mes lèvres et je sens un genou qui senchâsse entre mes jambes.
Mon souffle est court et dès lors tout va très vite
- Ouvre
donne ta langue
mieux que ça !
Elle trépigne dimpatience, une main me prend la nuque pour mobliger à ne pas quitter mes lèvres des siennes, tandis que lautre sacharne sur mon short, et me caresse la vulve.
- Mets-toi nue !
Lordre est tombé, cinglant, elle veut que je me foute à poils dans le compartiment, lenvie tout à coup de lenvoyer au diable, de forcer la porte et de menfuir avant de devenir sa petite chienne obéissante !
Mais elle redevient douce et câline, et me dit :
- Cétait seulement pour tapprivoiser, voyons.
Jétais là debout, les cuisses encore serrées, le débardeur au-dessus de ma poitrine, alors jai craqué et je me suis foutue à poils devant elle.
Son regard sur ma chatte, ses mains qui se pressent sur mon corps cherchant les zones sensibles pendant que ses yeux guettent mes réactions. Elle sapplique à mécarter mes grandes lèvres sans trop de ménagement, puis à introduire un doigt en moi, comme ça pour voir si jaccepte, puis des aller-retours savamment dosés de son doigt en moi en surveillant toujours mes réactions et en appréciant mes immanquables contorsions.
- Là, ça glisse et tu mouilles bien, tu aimes les femmes petite vicieuse
Son doigt presse sur mon clitoris, insiste longuement puis, se réinsère en moi et me pénètre, arque ses phalanges jusquà me faire sentir ses assiduités au plus profond de mon vagin, peut-être à la recherche de ce point G qui en tant que tel métait encore inconnu.
Puis un mouvement qui soudain saccélère, la main mécrase la vulve au rythme dun métronome devenu fou, presse mes chairs et irradie en même temps mon clito, lenflamme de mille feux.
Je chavire dans une jouissance incroyable, elle me fait poser le pied sur le bord de la banquette et jentends comme dans un souffle à mon oreille :
- Juste pour bien técarter !
Puis le bruit rythmé et caractéristique du va-et-vient du doigt dans mes lymphes trempées, elle me malaxe un sein de lautre main, je me raidis, me cambre à lextrême, et lâche de petits cris, qui se mêlent au souffle rauque dans mon cou.
Elle guette le moment, et continue jusquà lextase sans plus de ménagements et je mécroule soudain sur ces phalanges de sorcière quelle retire lentement.
Satisfaite, elle lèche ses doigts puis les tend vers ma bouche encore entrouverte.
- Petite salope, jouisseuse et soumise !
Oui, elle me soumet et elle me sent réceptive à ses désirs, alors elle me dit :
- Jai de jolis objets chez moi, pour ton plaisir et si tu viens, tu vas aimer.
Une proposition, saurais-je refuser cette invitation
- Tu dois être belle quand tu te caresses, jaimerais te voir le faire !
Jai dû rougir un peu, et devant mon hésitation, elle redit :
- Je veux te voir !
Je viens de me faire tripoter par une vieille et qui, maintenant, voudrait minciter à me masturber devant elle, une vicieuse qui teste ma soumission.
A nouveau adossée à la porte, les bras croisés, elle attend en prenant son temps et sûrement plaisir à me sentir aussi mal à laise devant son impudeur.
- Tu es terriblement excitante avec tes allures dinnocente, mais je suis certaine que tu aimerais te caresser en même temps que moi, alors fais-le !
Le ton est cinglant, pas une demande mais un ordre. Je vais certainement me caresser, me toucher car elle ma bien excitée, et elle le sait. Je me sens coincée entre me faire plaisir et lui obéir, mais pas disposée à accepter toutes ses excentricités, enfin je ne sais plus
Le temps quelle dégrafe sa jupe, la suspende au crochet de la porte, défasse son chemisier et se retrouve pratiquement nue, la culotte à mi-cuisses, et la voilà qui commence à se caresser, sûre de leffet quelle fait sur moi.
Le bout des doigts se promène sur les parties intimes de son corps, elle soupire et je mallonge sur la banquette, indécente jouvre les cuisses et commence à me caresser, elle me regarde dans les yeux en me faisant comprendre daller plus loin
Peu de temps après nous jouissons ensemble et excitée, je me redresse et mapproche delle, elle meffleure la peau de ses mains, puis enserre ma taille, une pression sur mes reins, alors quelle tend elle aussi son bassin, et nos monts de vénus se touchent, se frottent obstinément lun contre lautre.
Puis elle saccroupit, me tenant les cuisses, inspecte ma vulve que ses doigts écartent, et sa bouche se plaque sur mon intimité. Elle me lèche, sa langue se promène le long de mes lèvres, joue par petits coups autour, puis sur le clito presque aussitôt, et je jouis en hurlant.
Puis me quittant, elle sassoit au bord de la banquette, les cuisses grandes ouvertes, me regarde et me dit :
- Fais-moi jouir, maintenant !
Je me place à genoux entre ses jambes et plonge ma tête entre ses jambes, et je me suis mise à la lécher, la sucer, exciter son clitoris gros et dur, la faisant gémir de plaisir.
Ma langue dardée à explorer les moindres recoins de son intimité et elle a inondé ma bouche de cyprine quand elle a jouit en hurlant.
Elle ma prise et en mallongeant sur la banquette, elle ma dit :
- Viens
laisse-toi aller
ouvre bien les cuisses.
Lordre est cinglant, je renverse une nouvelle fois la tête, totalement engloutie dans linstant de cette soumission, et jouvre les cuisses pour recevoir des petits coups de langue rapides sur le clitoris, et dun geste rapide mais direct, elle menfonce un doigt dans lanus, me faisant me tendre et gémir de plaisir.
Ma bouche entrouverte, est fouillée par sa langue, je gémis encore plus quand son doigt sagite dans mon rectum et que son autre main me triture le bout dun sein entre le pouce et lindex, essoufflée, je me tords dans tous les sens.
Elle sourit presque méchamment, continuant de me fouiller et de me triturer, puis cest lorgasme qui menvahit, dévastateur tel un tsunami, je me tends, ruisselante, et je lentends me dire :
- Petite vicieuse, tu es une bonne élève, il faudra que nous allions plus loin, tu seras une bonne soumise, crois-moi !
Il est temps de se rajuster, le train entre en gare, le voyage se termine, je suis crevée et elle est heureuse de cet instant.
Dehors, il faisait chaud et nous avons marché sur le quai côte à côte en direction de la sortie, on aurait pu se tenir un moment par la main comme pour esquisser un semblant de tendresse, mais elle était redevenue une femme du monde, oubliant presque quelle était une sacrée vicieuse !
- Viens, on va boire quelque chose avant de nous quitter, me dit-elle.
Une petite table ronde au bar de la gare, au milieu des vacanciers en partance, deux verres avalés en trois gorgées.
- Oh Laure, un stylo et un papier sil vous plaît ?
Elle me tendit le papier après y avoir inscrit son numéro de son portable, en me disant :
- Appelles-moi, je te ferais connaître les plaisirs de la soumission !
- Je vais y réfléchir, dis-je.
- Comme il te plaira, au revoir Laure !
Et elle a disparue dans la foule de la gare...
Je lai appelée la semaine daprès, juste pour savoir si elle était bien rentrée, mais pas pour quelle méduque à la soumission
A suivre
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