Ma Femme Sur La Plage Vue Par Un Complice
JACQUES ET ANNE
Un jour que je regardais des annonces un site sur lequel je déposais parfois des textes érotiques, je tombais sur une annonce qui me plut particulièrement.
Un homme, Jacques, cherchait un complice, avec qui parler et à qui il pourrait dévoiler sa femme, lui envoyer des photos delle et quelques vidéos.
Il souhaitait en retour avoir des commentaires et éventuellement des histoires dans lesquelles elle serait mise en scène.
Il disait aimer sa femme plus que tout et ne souhaitait pas quelle soit mal traitée, e, ni malmenée, mais plutôt traitée comme une reine, avec douceur.
Il se définissait comme « candauliste » et souhaitait partager des moments dexcitation avec un homme plutôt voyeur et imaginatif.
Intéressé par ce profil, je décidais donc de répondre à Jacques et reçus un mail favorable
Sa femme, Anne, est une très belle femme.
Brune, un corps splendide, des pointes de seins qui nhésitent pas à bien grossir quand elle est excitée, une chatte un peu poilue mais qui souvre bien et qui coule dabondance
une belle femme, très bandante en somme.
Au fil de nos échanges épistolaires, il apparut que nous étions complètement sur la même longueur donde Jacques et moi. Les histoires que je lui contais lemmenèrent petit à petit dans mon univers érotique et il me dit rêver de me rencontrer et de me voir jouer avec son épouse.
Il me disait quelle aimait vraiment beaucoup le sexe. Les photos et les vidéos quil mavait envoyées le prouvaient dailleurs ! Il suffisait de la voir sécarter devant son objectif pour exposer sa belle chatte mouillée dexcitation pour en être convaincu. Mais elle navait jamais accepté de faire ça devant un autre que lui.
Je lui dis que jétais persuadé quelle aimerait se sentir admirée et désirée, pour peu quon ne la brusque pas, quon la traite bien, avec respect, quon prenne le temps pour quelle y trouve son compte, sans lobliger à rien dautre que ce qui lui plaît à elle.
Lidée de lamener à sexhiber devant moi lexcitait au plus haut point, mais il ne savait pas comment faire pour que cela se passe au mieux.
Je lui parlais des plages naturistes que nous fréquentons parfois ma femme et moi, et sur lesquelles jaimais beaucoup lexhiber à des voyeurs occasionnels, quand ils lui convenaient. Je lui racontais un peu comment je my prenais pour lamener à se laisser admirer nue, à sexposer volontairement devant des hommes qui se masturbaient devant elle, comment son plaisir prenait le pas sur sa pudeur.
Ça laurait bien tenté dessayer ce genre de scénario avec moi. Je lui suggérais alors de prendre leurs prochaines vacances près de là où jhabite, dans le sud de notre beau pays de France.
Lidée lui parut très tentante, il lui fallait en parler avec Anne, sans toutefois lui en dire trop pour ne pas la bloquer. Quelques jours plus tard, il mannonça tout heureux que laffaire était conclue et quils avaient réservé un Airbnb à Montpellier pour le mois de juillet prochain.
Voilà pourquoi, par ce beau jour de juillet, je me promène sur la plage, seul à la recherche de Jacques, mon complice et de sa tendre et innocente épouse Anne.
Je marche nu, bien sûr, puisquil sagit dune plage naturiste, un petit sac sur le dos, les pieds dans leau, je longe la plage. Je dépasse la zone familiale bondée et continue mon chemin pendant une bonne demi-heure, jusquà une partie beaucoup plus déserte (il faut la mériter et ne pas craindre de marcher, parfois chargé, dans le sable brûlant) si Jacques a bien respecté mes conseils, ils ne devraient pas être bien loin.
Japerçois à une centaine de mètres un paravent de toile, tendu au bord de la plage, avec un parasol multicolore
ça devrait être eux.
Ralentissant le pas, je dépose mes affaires quelques mètres avant, étale ma serviette sur le sable sec et sans plus tarder, vais me tremper dans la mer de façon à voir enfin qui se cache derrière la barrière de tissu qui se dresse entre eux et moi.
Je marche face aux vagues qui méclaboussent, leau parait un peu fraiche après le soleil, mais cest agréable. Je fais quelques brasses dans leau et reviens vers la plage. Je peux enfin les voir
Un couple est allongé, la cinquantaine, lui, en appui sur son coude caresse sa femme, tout en me regardant arriver dans leur direction. Elle, sur le dos, un linge posé sur ses yeux, les cuisses largement écartées, les doigts de son homme fouillent son intimité et elle semble aimer ce quil lui fait. Son corps ondule doucement au rythme des caresses prodiguées.
Je mapproche doucement pour ne pas les déranger.
Mon érection me précède, je ne sais pas résister à lexcitation devant une telle scène. Il sagit bien deux je les reconnais daprès les photos quil mavait envoyé.
Jacques murmure des mots, à son oreille. Il lui dit dimaginer quun homme les regarde, un homme, nu comme eux, qui caresse un beau sexe bien raide, bien excité par son corps offert à sa convoitise. Il lui dit dimaginer un homme mur, qui la regarde sexhiber et de penser que cest pour lui quelle est là, pour lui offrir sa jouissance en spectacle
Ses fesses se décollent du sol, elle se tend vers moi sans me voir il me regarde et lui décrit ma queue bandée, lui demande de limaginer
« Une queue comme tu les aimes, bien grosse, bien dure, ses couilles semblent pleines
tu sens ses yeux fixés sur ta chatte ? »
Un gémissement de plaisir contenu lui répond : « Huuuuuuuuuuuuummmmooouuiii »
Ses doigts remontent sur sa poitrine, pince ses bouts de seins, les fait rouler entre le pouce et lindex, les lui tord tandis quil lembrasse dans le cou
« Ecarte tes lèvres pour lui avec tes doigts, montre-lui bien ta chatte ma poulette, excite-le, donne lui envie de toi
Tu as envie quil vienne te prendre
!?! Tu as envie de sentir sa grosse bite entrer dans ta chatte. Pas vrai ? »
« Noooonnnnn tu es fooooouuuuu »
Elle continue de souvrir, de se tendre, tout son corps dément ses paroles.
« Non, tu en as envie, je le vois bien
ta chatte coule comme une fontaine, tu es prête à jouir en pensant quil te baise, là, sur la plage
tu sais que ça mexcite moi aussi de limaginer te prendre là, devant moi, laisse-toi aller et jouis en pensant à lui
»
Il tend le bras vers un petit sac et en sort un gode réaliste, assez gros, de grosses veines ressortent à sa surface. Il le présente à lentrée de son sexe gluant.
Dès quelle le sent, elle le prend et se lintroduit brutalement jusquau fond de ses entrailles.
« Ooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhoooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Regarde comme il me baise
ça texcite hein, de me voir baisée par une autre bite plus grosse que la tienne ?
Huuummm, je le sens bien
il me remplit
Ooooooohhhhh que cest boooooonnnnnnnnnnn »
Je nen peux plus de me branler devant eux elle est si bandante quand elle est excitée comme ça, si sexe ! Je nose pas mapprocher plus de peur de rompre le charme et de tout interrompre, dailleurs, Jacques ne ma fait aucun signe pour minviter à dévoiler ma présence. Je continue donc à jouer le jeu.
Puis, voyant que sa femme sapproche du point de non-retour, il me fait signe de jouir sur ses pieds
je magenouille donc devant elle et tandis quun long râle de plaisir séchappe de sa gorge, je gicle de longues salves de sperme sur ses pieds tendus par les spasmes du plaisir.
Jacques me fait ensuite signe de méclipser rapidement, ce que je fais.
Je retourne donc discrètement sur la serviette à quelques mètres seulement deux, mais derrière labri de leur paravent.
Anne seffondre sur son drap de plage, balayée par la vague de plaisir qui la laisse anéantie
elle reprend peu à peu conscience. Sa main qui ne tenait pas le gode est encore crispée sur celle de son époux
elle sort lolisbos de son corps, doucement, comme à regret, elle regarde Jacques, les yeux embrumés damour.
« Merci mon minou, cétait géant, tu as vu comment jai joui ? »
« Oui, je suis content que ça tait plu autant ! »
Soudain
elle regarde ses pieds, incrédule.
« Mmmmmmais ! Jy crois pas ! Il y avait vraiment quelquun ? »
« Je crois en effet que tu as eu un admirateur, mais, très respectueux, tu vois, il ne ta pas dérangée, il a juste profité de spectacle, cest moi qui lui ai fait signe de jouir sur tes pieds pour te laisser une preuve de sa présence discrète.
Tu vois, tu peux tautoriser à te laisser regarder prendre du plaisir par un homme respectueux, et du même coup le laisser en prendre lui aussi. Ne me dis pas que tu nas pas aimé y penser, tu vois bien que ce nest pas compliqué quand on est entre gens « bien élevés » ! Pourquoi se priver de ce petit plaisir ? »
« Alors tu las laissé me mater pendant que tu me branlais, puis tu mas encouragé à me montrer à lui, et
en plus cest pas ce que jappellerais un « petit » plaisir !!!
Oh jai honte
tu mas fait lui dire que javais envie quil me prenne !!!
Quest-ce que tu mas fait faire ?
Jai trop honte !!!
Quest-ce que tu vas penser de moi maintenant ? tu vas plus pouvoir maimer comme avant ! »
« Tu ne penses pas ce que tu dis, tu sais très bien que jen rêvais depuis toujours. Je taime comme un fou, et plus que jamais. Et puis tu nas encore rien fait, tu as juste imaginé des choses et, involontairement tu as donné beaucoup de plaisir à un homme qui sest très bien comporté »
« Parlons-en de cet homme, il va penser que je suis une putain oui !
Et il est où dailleurs ? Il sest sauvé comme un malpropre ! »
Elle parle si fort, sous le coup de lénervement, que je peux entendre toute la conversation, aussi, je crois bon de devoir me lever pour aller la rassurer un peu sur lopinion que je me fais delle.
Elle me regarde arriver, tout à coup un peu gênée de sa colère.
Je lui parle avec bienveillance :
« Je suis désolé madame, de vous avoir mis dans une pareille posture, je pensais que vous saviez que cette plage était souvent le lieu de ce genre dexhibitions et que vous étiez venue pour ça. En effet bien des couples viennent ici pour sexciter un peu et il ny a aucun mal à ça.
Je vous présente mes excuses si je vous ai blessée par mon comportement, mais je tiens à ce que vous sachiez bien, quen aucune manière je ne porte de jugement sur vous, quant à ce qui vient de se passer, je trouve naturel quune belle femme comme vous puisse éprouver du plaisir à se sentir admirée et désirée. La beauté nest pas faite pour être cachée ! »
Anne commence à comprendre quen fait il ne sest rien passé de grave, que nous avons tous pris du plaisir entre adultes consentants (consciemment ou pas) et quen fait elle en avait très envie elle aussi mais nosait pas se lavouer.
Ce nest finalement pas aussi compliqué quil y paraissait
Il suffit de passer le pont ! comme aurait dit tonton Georges !
Finalement, sur la demande de Anne, après un moment à discuter tous les trois, je vais chercher mes affaires et minstalle à ses côtés, elle est donc allongée entre son mari et moi, tandis que nous devisons comme si rien de plus ne venait de se passer entre nous.
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