Leslie La59
Leslie LA59 Laure, le journal intime Un week-end au camping, avec Stéphanie
Avec Stéphanie, mon amie du moment, nous avions décidé de partir pour le week-end dans un camping près de Montpellier pour profiter du soleil en ces premiers jours de septembre. Cela faisait trois mois que nous étions ensemble et, comme nous nous entendions très bien, sans savoir ce que lavenir nous réservait, nous avons décidé de passer, ensemble, les quatre jours de ce week-end prolongé et profiter de notre relation.
Nous nous étions rencontrées lors dune soirée de marketing, et avions tout de suite eu un coup de foudre lune pour lautre.
Stéphanie était brune, de taille moyenne, bien dans sa peau, avec une belle poitrine et un corps fin, entretenu par une pratique régulière de la course à pied. Cétait dailleurs un de nos points communs, à cette époque je pratiquais mais de façon moins assidue que Stéphanie, qui avec quatre à cinq entraînements par semaine, la plupart du temps en solitaire souvent sur les mêmes parcours, pour ma part, je me contentais de laccompagner que deux à trois fois par semaine.
Nous sommes donc arrivées dans notre camping en voiture avec nos sacs pleins sur les épaules, et avides de profiter de cette semaine off, en amoureuses. Nous avions acheté une tente assez grande, intégrant une chambre et un coin salon, ce qui nous permettait davoir un peu despace et dintimité. Le camping était situé au bord de la mer, et comprenait un espace commun douche et bar, et des sanitaires partagés.
Cétait la fin daprès-midi, nous avons vite monté la tente, posé nos affaires, enfilé nos maillots de bain, pris nos serviettes, et en route pour la plage. Ne tenant plus, nous nous sommes jetées dans leau, en faisant la course à celle qui arriverait la première à une bouée à quelques centaines de mètres du bord.
Stéphanie arriva la première et me regarda lair narquois quand je touchais la bouée.
- Jai gagné, tu as un gage.
Je la serrais un peu plus fort contre moi, frottant mon bas-ventre contre le sien.
- Et quel sera ce gage ?
- Tu dois me faire jouir là, ici, sans jouir toi-même.
- Humm, cest un gage agréable, ça, tiens-toi bien à la bouée.
Je descendis mes mains derrière son dos pour caresser ses fesses, tout en frottant mon sexe en érection contre le sien. Je lembrassais tendrement, roulant ma langue autour de la sienne, la suçant par intermittence. Mes mains continuaient à la parcourir, caressant lintérieur de ses cuisses, frôlant son sexe et contournant son petit trou. Mon sexe montait et descendait légèrement, frottant son petit bouton à travers son maillot. Les yeux fermés, sa respiration se faisait plus forte, et je sentais son désir monter. Je baissai alors mon maillot et, une main autour de son cou afin de me maintenir, tout en lembrassant jécartai les lèvres de son sexe pour entrer doucement en elle. Les préliminaires avaient eu leur petit effet, et son sexe était trempé. Jentrais complètement mon sexe, puis le ressortais. La sensation était divine, entre leau fraîche de la mer sur mon sexe et la douceur chaude de son sexe. Je lui pris la tête à deux mains, et tout en lembrassant plus nerveusement, jaccélérai le rythme de la pénétration. Je commentais laction doucement dans son oreille.
- Tu es bien avec mon sexe contre le mien ?
- Oui, dit-elle doucement.
- Tu sens la douceur de mon sexe contre le tien ?
- Oui
Je descendis une de mes mains vers ses fesses.
- Tu sens mon doigt qui caresse ton anus ?
- Oui.
- Tu le sens qui appuie sur ton petit trou ?
- Oui.
- Tu aimerais quil te pénètre ?
- Je
- Dis-moi que tu voudrais quil te pénètre !
- Oui, pénètre-moi.
- Te pénétrer où ?
- Dans mon cul, vicieuse !
Je la pénétrais avec mon doigt.
- Et maintenant tu sens mon doigt qui te pénètre lillet ?
- Ohhh, oui, vicieuse ! Oui.
- Tu aimes ça, te faire sodomiser ?
- Oui, jaime ça !
- Tu aimerais être sodomisée par un vrai sexe ?
- Arrêtes tu vas me faire jouir !
- Cest mon gage, ma jolie, maintenant assume et réponds à ma question !
Jaccélérais encore, en lui demandant :
- Tu aimes jouir de partout ?
- Oui.
- Tu vas jouir, maintenant.
- Oui, je jouis !
Et je sentis son corps se contracter et son anus se resserrer sur mon doigt, je continuais à lembrasser doucement en la regardant. Elle ouvrit les yeux et me dit :
- Je taime
- Moi aussi
Je crois que jai réussi mon gage !
Elle me regarda en souriant et dit :
- On peut dire ça. Il faudra que tu patientes jusquà ce soir pour en profiter, toi
Et elle lâcha la bouée, reprenant sa nage rapide pour retourner vers la plage, sans se retourner. Je la suivais, le désir dans la tête, impatiente dêtre déjà à ce soir
Arrivées sur la plage, nous nous sommes allongées sur nos serviettes, la main dans la main, en somnolant. Javais lesprit plein dimages de sexe, pénétrations, caresses
Vers dix-huit heures, nous nous sommes levées pour retourner à la tente et faire quelques courses à la superette du camping, en préparation du dîner. Ayant un trop-plein dénergie à évacuer, je partis faire un jogging pendant que Stéphanie préparait le dîner.
En revenant, je trouvais Stéphanie tout excitée. Elle rentra dans la tente en me disant de la suivre et chuchota :
- Avant de préparer le dîner, je suis allée au coin douches pour me rincer du sel et me faire belle pour toi. Lorsque je suis arrivée, jai entendu des chuchotements, alors, jai tendu loreille, et jai vu une porte entrouverte au fond de la pièce, celle dune grande douche.
Je me suis rapprochée doucement et jai vu un homme et une femme dune quarantaine dannées, nus.
Elle a mis ses mains derrière ses fesses à lui, et je sentais quelle appuyait afin de le prendre entièrement. Elle avançait lentement, et cet énorme sexe est rentré petit à petit, jusquà être complètement absorbé. Elle recula ensuite, et recommença. Après plusieurs allers retours, sans un mot, elle se leva, se retourna, posa ses mains contre le mur de la douche et écarta les jambes.
Lhomme prit son sexe en main et lapprocha du corps de la femme. Il caressa lentrée du sexe avec le sien, puis remonta vers son petit trou. Je narrivais pas à détourner mon regard, et ma main droite était descendue vers mon ventre, je me caressais lentement. Puis lhomme a mis son gland en position et poussa. Je vis cet énorme sexe rentrer petit à petit dans les fesses de cette femme. Javais le souffle coupé. Je ne voyais plus quune bite qui écartelait lanus de cette femme.
Elle avait les yeux fermés, on avait limpression que son esprit était entièrement tourné vers cette pénétration. Le sexe était maintenant intégralement rentré. Lentement, il le ressortit. Son trou était béant, je navais jamais vu ça. Je continuais à me caresser, javais le sexe trempé. Puis il rentra de nouveau son sexe dans les fesses de sa partenaire. Le rythme augmenta, et elle commença à haleter, les chuchotements se transformant en petits cris. Il la labourait violemment maintenant pendant quelle se caressait, au même rythme que moi. Lintensité des cris augmentait, ma jouissance se rapprochait également, puis elle cria sa jouissance, et au moment où il allait jouir, il tourna la tête vers moi en souriant. Je jouis, et il sortit son sexe de son anus et laspergea de sperme.
Je me suis retournée et suis partie en courant vers la tente.
Je regardais Stéphanie, elle était toute rouge, mon sexe était humide et je me sentais terriblement excitée, Stéphanie me regarda et vit la petite auréole sur mon short, et sans un mot baissa mon short et se rua sur ma vulve pour la lécher. Elle aspira mon clitoris en me faisant gémir et menfila un doigt dans lanus et commença des va-et-vient, en me regardant dans les yeux.
Je sentais la pression monter, mon souffle se fit plus fort afin de lui indiquer que jallais jouir. Elle continuait à me regarder dans les yeux tout en me léchant et je jouis presque aussitôt. Puis Stéphanie se releva et membrassa, mélangeant nos langues et lodeur de ma jouissance
Le reste de la soirée fut très romantique, plutôt calme, et cest les rêves pleins de nos émotions de la journée que nous nous sommes endormies dans les bras lune de lautre
Nous nous sommes réveillées de bon matin, pleines de bonnes résolutions et nous avons décidé de faire un petit jogging matinal, une bonne mise en jambes pour commencer la journée.
Courant le long de la plage, le bruit des vagues accompagnait nos foulées, au bout de trente minutes, alors que je décidais de continuer, Stéphanie décida de sarrêter là et me proposa de la rejoindre aux douches quand jaurais terminé de courir.
Vingt minutes plus tard, je me suis dirigé pleine denthousiasme vers les douches heureuse de cette belle journée qui sannonçait.
En arrivant dans les douches, je tendis loreille afin de vérifier si Stéphanie était encore là, je vis ses sandales sur le sol à lentrée des douches et en entrant dans le bloc, vers le fond mon regard fut attiré par une porte légèrement entrouverte.
Je devinais que cétait la grande douche dont Stéphanie mavait parlé hier. Elle était visiblement occupée, si jen croyais les fesses masculines et musclées qui me faisaient dos, légèrement cachée derrière la porte, jai observé la scène.
Une autre forme, à genoux devant lhomme debout, jai compris que quelquun était visiblement en train de sucer lhomme, je me suis dit que décidément certains couples nétaient pas très discrets, et jimaginais quil sagissait du couple quhier dont Stéphanie mavait parlé.
Pressée de retrouver Stéphanie, je rentrais dans une douche et, excitée par la situation, je commençais à me doucher en me caressant, imaginant le sexe de cet homme entrer et sortir de la bouche de sa femme, et je luttais pour ne gémir en me masturbant sous les jets deau.
Après un peu deau froide pour remettre mes idées en place, je me séchais, remis mon short et le tee-shirt et sortis de la douche. Les sandales de Stéphanie étaient toujours là, et je jetais un il par la porte toujours entrouverte de lautre douche, mais je ne vis plus personne dans un premier temps, mais en tendant un peu plus le cou, je vis de nouveau les fesses de mon inconnu.
Je trouvais une position plus confortable afin de voir sans être vue, car jétais très curieuse de voir le visage de cette suceuse, que jimaginais très appliquée.
Elle était accroupie, et je voyais derrière les jambes de lhomme, les deux jambes de la femme, bien écartées. Son sexe était parfaitement épilé, et je voyais ses mains, posées sur son clitoris, le massant doucement.
Je limaginais faire une superbe fellation, plus que je ne la voyais. Puis lhomme se tourna légèrement, me permettant de voir la scène de profil. Je vis tout dabord son sexe, effectivement bien long et bien large, avec cette bouche qui glissait du gland vers la base, presque au ralenti et mon sang se figea dun coup.
Cette bouche, je la connaissais et ces yeux fermés aussi, cétaient ceux de Stéphanie
Comment pouvait-elle être là, en train de pomper cet inconnu, au membre certes impressionnant, mais me trompant effrontément sans men avoir parlé
Je narrivais pas à bouger, mes yeux étaient fixés sur ce visage que jaimais tant, appliqué à sucer ce sexe avec avidité et application, prenant apparemment du plaisir.
Jétais tellement captivée par cette scène que je ne me suis même pas rendue compte quune femme sétait agenouillée devant moi et écartait mon short pour commencer à ma sucer avec application. Je pensais immédiatement quil sagissait de la femme que mavait décrite Stéphanie.
Elle remonta la main le long de ma jambe, sous mon short, et commença à me caresser les fesses tout en aspirant mon sexe et agaçant mon clitoris, javais beau être captivée par lautre scène, dans la douche, mais je dois reconnaître que les caresses de cette femme ne me laissaient pas indifférente, car elles étaient divines.
Je descendis mes mains sur la chevelure de ma suceuse et lui massais doucement le haut du crâne. Elle me suça avec encore plus dintensité, et menfonça un doigt dans lanus, sans que je my attende.
Je dois reconnaître que cette pénétration associée à laction de la bouche de la femme, mont donné des frissons, mais en regardant une nouvelle fois vers la douche, je vis que lhomme avait repris la maîtrise des événements.
Il tenait la tête de Stéphanie de ses deux mains et enfonçait son sexe au plus profond de sa gorge, il lui baisait littéralement la bouche et je me demandais comment elle faisait pour ne pas .
Ma suceuse sembla vouloir me montrer que cétait ici quil se passait quelque chose. Elle commença un rapide va-et-vient dans mon fondement, tout en accélérant ses coups de langue et je sentis la jouissance monter, et au bout de quelques secondes je hurlais mon plaisir.
Après avoir enculée Stéphanie, lhomme soccupa de moi, et me sodomisa à mon tour, lhomme était endurant et le week-end se passa dans la débauche totale de nos sens.
En fait, quand lhomme sodomisait lune, les deux autres se gouinaient sans vergogne, allant utiliser les accessoires de la femme.
En rentrant à la maison, je ne vous décris pas létat de nos anus
A suivre
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