Dans La Salle De Bain
J'étais dans la salle de bain devant un grand miroir contemplant, avec nostalgie, l'outrage des temps sur la fermeté de mes seins.
Heureusement mon petit minou, non rasé, me donnait encore des satisfactions esthétiques, j'aimais bien sa forme naturelle en "ticket de métro" me dispensant d'un rasoir pour lui donner une forme agréable. Il me suffisait de manier les ciseaux pour maintenir les poils à une longueur acceptable.
Un peu narcissique je trouvais l'ensemble encore acceptable avec quelques poils argentés qui soulignaient le brun du reste. Je caressais mes seins en les remontant pour qu'ils reprennent la place de mes vingt ans. Presque involontairement mon pousse a commencé à tourner, lentement, sur mes aréoles à la peau légèrement grumeleuse.
Je ne fus pas surprise de sentir les pointes s'allonger et durcir. Mes pouces continuant leur promenade circulaire, mes index vinrent titiller les pointes pour les faire durcir encore. Ces petits exercices eurent pour effet que j'ai senti ma fente commencer à devenir humide et qu'un besoin irrésistible de jouir commençait à m'envahir, d'autant plus que des gouttes tombaient de ma fente sur mes cuisses, prémices d'un orgasme que je ne me donnerai plus tard.
Mais comment faire tomber la chaleur qui inondait mon corps ? Un bain froid serait, sans doute un bon remède?
Je me suis donc installée dans la baignoire à remous qui ne demandait qu'à m'aider. La pomme de douche était d'un grand diamètre et la poignée agrémentée de nombreux boutons permettant de faire varier, à plaisir, la puissance, la forme et même à la température du jet.
J'ai commencé à inonder mon corps d'une fine pluie et j'ai voulu tester les autres fonctions de cet engin futuriste. Le jet pouvait se régler en forme, en intensité, en puissance.
J'ai commencé à me messer les seins avec un jet moyen, alternatif, le seul résultat obtenu est que les pointes devinrent encore plus dures, que des fourmillements dans mon bas ventre me faisaient savoir qu'il ne voulait pas être en reste.
La sensation était merveilleuse d'autant que je sentais que ma fontaine à cyprine était ouverte à son plus grand débit.
Repassant sur mes seins et changeant le rythme du jet j'ai introduit un doigt dans ma fente pour bien l'humidifier, le portant à ma bouche j'ai eu la certitude que le liquide qui l'enduisait n'était pas l'eau de la douche, l'effet fût que mon clitoris devint douloureux et turgescent. J'ai donc dirigé le jet, à sa puissance maximale, en le concentrant sur lui. Je me suis arquée, inondée par une vague d'orgasme comme j'en avais peu connu.
Haletante j'ai empli la baignoire d'eau en activant les remous afin de me relaxer du plaisir intense que je m'étais donné.
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