Piegé Par Deux Filles 2/2

Les deux complices m’invitent à entrer, sans perdre de temps elles s’enlacent devant moi se dégrafant mutuellement la jupe, je me joins a elles pour leur flatter la croupe tandis que les soutiens-gorge volent, une fois nues elles se tournent vers moi pour me déshabiller, je vis un véritable conte de fées

- Assieds-toi Fred, nous allons te donner un mini spectacle, si tu te branles n’éjacule pas, réserve toi pour nos chattes
- Promis les filles

Murielle se laisse glisser jusqu'à hauteur de la vulve de Delphine qui se cambre pour offrir son bijou à la bouche vorace et aux doigts inquisiteurs, après deux minutes je suis impatient de participer, je me lève la queue tendue en avant

- Murielle ? Je crois que Fred est prêt
- Ok je vais me préparer, amuse le en attendant …
- Fred ? Vient entre mes cuisses, vient me brouter la chatte

Delphine quitte la chambre, du moment qu’il reste une fille avec moi, je ne me pose pas de question, bien installé entre le compas odorant, je lèche avidement les sécrétions incessantes, soudain, je sens une présence derrière moi, je vais pour tourner la tête, mais Murielle resserre ses cuisses, je suis pris dans un véritable étau, impossible de bouger une oreille, après tout le supplice n’est pas désagréable, sans me poser de question, je continue de laper la moule qui s’éclate comme une fleur
Soudain des doigts caressent mes bourses, j’adore ! Mais c’est de courte durée, un index vient titiller mon anus, une crème froide y est étalée, le doigt me pénètre, puis deux…La surprise passée c’est si agréable que je me détends et m’offre totalement, Murielle reprend de plus belle sa pression sur mes oreilles, je vais pour protester mais…

- Laisse toi faire Fred, je vais te sodomiser avec mon slip double gode, je vais t’en enfiler entre les fesses autant que j’en ai dans le vagin, c’est le prix à payer pour les garçons qui veulent nous baiser toutes les deux, es-tu d’accord ?

Murielle desserre son étreinte afin que je puisse m’exprimer

- Je ne me suis jamais fait sodomiser ! Il est gros ?
- Quatre centimètres de diamètre, vingt de long, et noir comme de l’ébène, il parait aussi vrai que nature, ma chatte adore en tout cas !
- Tu seras douce ?
- Je te le promets
- Dans ce cas, je veux bien essayer, mais je vais baiser Murielle en même temps
- C’est d’accord Fred, vient sur moi, enfile-moi ton membre jusqu’aux couilles, cambre-toi bien et soit docile

Je n’en mène pas large, mais l’appel su sexe est le plus fort, je ne vais pas rater l’occasion de me faire deux petites nanas, je ne vanterais pas de m’être fais enculer, c’est tout ! Je prends tout mon temps pour plonger ma queue au plus profond de la matrice bouillante, une fois mon membre enfilé à fond, je fais quelques allers-retours, mais la fille me bloque sur elle avec ses longues jambes

- Holà ! Pas triche ! Ne bouge plus et donne ton cul à Delphine
- Maintiens le bien, j’en ai pour deux secondes…

Un bout arrondit et glacé pèse sur me cible, a quoi bon résister, je me lâche… Une brulure m’indique que mon anus s’ouvre par la contrainte, je respire un grand coup et m’offre au maximum, cette fois, je suis emmanché de quelques centimètres par la bitte en silicone, je me crispe, ce qui fait raidir au maximum ma queue emprisonnée dans le vagin Murielle y répond en contractant ses sphincters, il ne m’en faut pas plus pour décharger

- J’le crois pas !! Delphine ! Fred vient de me balancer sa sauce ! Il est vachement réceptif !
- Je vais lui ramoner l’anus, ça va le faire rebander
- Oui, va-y encule moi, pousse sur ma prostate ça va m’exciter

La fille agrippée à ma taille me bourre sans ménagement, ma verge n’a pas mollit d’un pouce, les coups de reins qu’elle donne se répercutent dans la chatte de sa copine par l’intermédiaire de ma queue

- C’est bon ! C’est bon ! Tu le baise bien Delphine, ça fout des coups dans ma moule !
- Si je me démène comme ça, c’est parce ce que le gode qui est enfilé dans ma minette me fait du bien aussi ! Je mouille ! Je mouille
- Moi aussi ! Moi aussi !
- Allons-y, jouissons tous les trois ensembles !

Dommage qu’aucune substance ne sorte de cette bitte factice, mon cul est bien ouvert, finalement se faire sodomiser fait du bien….

Secrètement une pensée me traverse l’esprit… J’irais bientôt trainer vers un lieu de rencontre homo…. Une vraie queue doit glisser encore mieux que du plastique…..

- HAAAAAAAAAA !!!!! Je décharge les filles !!
- Je jouuuuuuuiiiiiiiiiis !!
- Moi ausssssssssiiiiiiiiiiiiiii- ooooouuuuuuiiiiiiiiiiiiiii !

Après avoir récupéré et s’être rafraichis, j’ai envie de voir les deux copines ensembles

- Si j’osais, je vous demanderais une faveur les filles….
- Dit toujours…..
- Faites l’amour toutes les deux devant moi
- Aucun souci, que veut-tu voir de spécial ?
- Ce que vous voudrez
- Un fisting ?
- C’est quoi ?
- Je vais entrer ma main dans la chatte de Murielle, elle adore ça
- Ho, oui, fais-le-moi !

Huuuuuummmmmmm très bon plan ! Ainsi je pourrais, soit la baiser soit la sodomiser lorsqu’elle auras emboité sa main entre les cuisses de sa copine
Sans attendre Murielle s’allonge et relève les cuisses, sa chatte est encore pleine de mon foutre, son amie à genoux ôte ses bagues, quatre doigts s’enfoncent verticalement entre les lèvres, son poignet tourne de droite a gauche afin d’assouplir et d’ouvrir le col, provoquant des bruits mouillés, le visage de Murielle se crispe, Delphine joints tous ses doigts en pinceau et son pouce au creux de sa paume, elle crache sur le dos de sa main et pousse en avant, bien que sa main sois fine, les os des dernières phalanges forment un diamètre imposant, ma bitte a coté parait étriquée, la fille grimace et soulève son cul, de mon côté je ne perd pas de temps, une main fourrée entre les cuisses de sa copine je masse la motte gluante et me prépare a la pénétrer
Mon gland et ma tige s’enfoncent dans le vagin brulant, je termine par un coup de reins sec, la réaction provoque une poussée décisive, c’est irréel, seul le poignet dépasse des lèvres étirées, l’avant-bras bouge comme si elle cherchait quelque chose dans cette grotte distendue qui émet des bruits incongrus, dans un ensemble parfait les filles se pâment
Mon cul me lance encore comme si j’avais un cœur à la place de l’anus, j’ai passé mes doigts sur ma collerette, elle est boursouflée et ce n’est pas des hémorroïdes ! Pourquoi ne lui rendrais-je pas la pareille ? Mine de rien, je teste sa rondelle

- Que fais-tu Fred ?
- Ça t’ennuie si je te la mets là ? J’ai envie de décharger dans ton cul
- Va-y met lui, elle adore ça
- Mêle-toi de ce qui te regarde-toi ! Si tu continues, c’est dans les fesses que je vais mettre ma main !

Sans écouter leurs jérémiades, je sors ma bitte du fourreau vaginale et la pointe sur la cible qui se défripe sous la poussée
Delphine garde le silence et ne cherche pas à esquiver ma progression dans son boyau, apparemment elle n’a ressenti aucune brulure, preuve qu’elles s’adonnent souvent à de petits jeux coquins entre filles, mon membre est comprimé dans ce tunnel, les demoiselles recommencent a couiner, ma queue s’active vigoureusement et le bras pistonne la chatte sans relâche, du liquide gicle par intermittences, Murielle arque le dos ses traits se crispent, un orgasme violent éclate, un jet doré qui parait intarissable nous arrosent tous les trois, c’est tellement voluptueux que je me lâche a longs jets dans le cul accueillant, ma maitresse se joint à nous pour un envol des sens…

- HOOOO que c’est bon ! Je pisse partout moi aussi, je jouis ! Je jouis ! JE JOOOOUUUUIIIIS HOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIII

Chacun reprend respiration, ma queue débandée sort lentement du cul ouvert, la main est expulsée de la chatte accompagnée d’un bruit de bouteille débouchée, épuisés, nous nous sommes allongés tous trois, j’ai une main sur les vagins encore gonflés par nos orgies, au petit matin je suis réveillé par une érection, les filles me branlent

- Tu ne vas pas repartir sans nous baiser une dernière fois Fred !
- Qui veut être la première ?
- Chacune notre tour ! Regarde…..

Avec un bel ensemble, elles se mettent cote à cote, le cul relevé, les entrejambes sont hideux, les poils amidonnés et collés, les lèvres entrebâillées enduites de glaires, l’anus de Delphine porte encore les traces de ma visite, pour rien au monde, je ne lécherais ces vagins ! Mais quel pied de les enfiler à tour de rôle !!!