Soirée Soumission
Certains dentre vous, mes lecteurs, vont penser que je suis une salope, mais je lassume pleinement. Quand cest un homme on dit que cest un tombeur, bizarre cette façon de penser ! Moi jaime faire lamour, avec des femmes, avec des blacks, en groupe aussi et ce nest pas prêt de changer. Dautres, parmi mes lecteurs, diront que je suis une pute car je fais payer les hommes pour coucher avec moi. Ce côté-là aussi je lassume totalement. Je considère que je rends un service à ceux qui nont comme moyen que de payer très cher pour ça. Je ne vole personne, et ils sont contents de ce que je leur donne, sinon ils ne demanderaient pas à me revoir. Toujours est-il que je vis aujourdhui dans le monde qui me faisait rêver quand jétais adolescente en lisant les revues people. Mes revenus sont supérieurs à certains PDG et me permettent denvisager lavenir avec sérénité.
Mais revenons à fin 2012. Marie et moi sommes plus proches que jamais, et toujours très amoureuses lune de lautre. Michel et Greg me font souvent lamour aussi, parfois ensembles. Nous participons à quelques soirées échangistes de temps en temps. Jai remis un peu dordre dans mon emploi du temps et nous avons aussi pas mal de travail, car Marie achète pas mal dappartements en ce moment. Nous nous déplaçons pas mal sur le sud, Montpellier en particulier, mais toute la côte en général. Les prix de limmobilier sont en baisse et les biens à acheter sont légion. Après les fêtes, Nous partons 15 jours à New-York avec Marie et Michel. Michel à des rendez-vous professionnels, et il veut en profiter pour prendre quelques vacances et nous emmener. Cest pendant ce voyage que je commence à tutoyer Marie.
A notre retour, Michel nous propose dorganiser une soirée avec plus dhommes que de femmes. Nous sommes bien sûr partantes toutes les deux. Trois semaines plus tard, la soirée est prévue pour le samedi, et Marie et moi sommes impatientes. Michel nous demande si nous accepterions davoir les yeux bandés durant cette soirée, et dêtre traitées comme des vicieuses soumises.
Le soir venu, Il nous demande de porter des bas avec des porte-jarretelles et rien dautre sous nos manteaux. Il nous fait asseoir à larrière de la voiture et nous place un large bandeau sous les yeux. Nous roulons environ 1h00, et nous passons le voyage à nous caresser, excitées de ne pas savoir où nous allons. La voiture stoppe enfin, Michel passe un coup de téléphone pour dire que nous sommes arrivées. Les portes souvrent et on nous fait descendre de la voiture, plusieurs personnes dont une femme, nous tiennent pour nous guider, on descend des escaliers et jentends une lourde porte se refermer derrière moi. Il y a du brouhaha dans la pièce et jentends des verres sentrechoquer.
On me retire mon manteau, on met une paire de menottes et la femme qui est avec nous me pousse en me guidant vers le brouhaha. Elle dit à la cantonade : « Messieurs, mesdames, nos putes sont livrées ! » Me sentant ainsi exposée, je commence à mouiller et il me tarde que ça commence. Mais une voix répond : « Met les au clou et on sen servira si on a envie de se vider les couilles ! » Je me sens portée vers une autre salle, je ne sais pas si Marie est avec moi, je me sens humiliée, mais tellement excitée. On me lève les bras et je suis accrochée par les menottes, bras tendus vers le haut. Puis on mentrave les jambes avec une barre, je suis ainsi écartelée à la vue de tous. Des mains viennent me toucher, me caresser, mais à chaque fois cela ne dure que quelques secondes, cest suffisant pour faire monter le désir dun cran, mais pas pour jouir. Dun coup, je sens quelque chose de froid pénétrer mon ventre, Un godemiché, qui se met à vibrer. Il est attaché à la barre qui mentrave les pieds. La sensation est agréable, il tient seul en place et plus personne ne me touche. Jentends la voix de Marie à quelques mètres de moi, elle demande à ce quon la fasse jouir entre deux gémissements. Jentends des voix autour de moi dire : « Allez les putes faites-vous gueuler, défoncez-vous la moule ! » Toutes ces paroles de plus en plus salaces, ce godemichet qui vibre en moi, que jessaie denfoncer plus profond en bougeant mes pieds et mon bassin.
Puis on me retire le godemiché et je reste là pantelante, on me laisse récupérer. Une femme sapproche de moi, elle me caresse délicatement, le désir est fort, jai envie de jouir. Elle me masturbe, je sens que lorgasme monte, je vais jouir. Elle mabandonne dun coup, juste avant que ça vienne, jessaie de me contorsionner pour serrer mes cuisses très fort, je jouis souvent comme cela toute seule. Mais je ny parviens pas, cest douloureux, je nen peux plus. Puis elle revient et approche une coupe de champagne, elle me fait boire deux gorgées de champagne. Elle me parle, jentends jouir autour de moi, elle me demande ce que je veux ! Je lui réponds que je veux jouir, que je veux quon me baise. Elle continue :
-« Et ton cul, tu veux pas jouir du cul ?
- Si je veux, nimporte où, mais je veux jouir.
- demandes le alors, dit que tu veux quon te baise et quon tencule !
- Je veux être baisée et enculée !
- Plus fort, ils ne tentendent pas là, ils baisent ta copine ! »
Je me mets à crier le plus fort que je peux. Des hommes sapprochent de moi en minsultant, en me traitant de pute, ils me font répéter ce que je veux.
Puis je suis détachée et tirée vers des matelas posés au sol, je suis prise sans ménagement, et en étant copieusement insultée. Je crie mon plaisir en quelques secondes, des mains partout sur mon corps. Celui qui me baisait sest retiré, un autre le remplace, puis un autre prend mon cul
Je suce sans arrêt, certains giclent dans ma gorge, je suis manipulée, retournée, prise dans toute les positions, des fois une bite dans chaque trou. Je jouis comme une folle sans arrêt, à un moment je sens deux bites dans ma chatte en même temps
. Puis une accalmie, juste une femme qui me caresse, et rentre des doigts dans ma chatte, jentends des commentaires autour de moi qui lencouragent à mettre sa main.
Le lendemain matin, nous sommes restées toute la matinée au lit, bien que réveillées. Nous avons longuement discuté de la soirée, et je constate que Marie à comme moi adoré cette soirée. Nous parlons aussi beaucoup de fantasmes respectifs. Chacune dentre nous à les siens, mais nous en avons quand même pas mal en commun.
Dans les semaines qui suivent, Michel organise une seconde soirée, mais nous ne retrouvons pas la même sensation que lors de la première. De plus ce soir-là, un homme décide de me mettre une fessée, et je napprécie pas du tout la chose. Si jaime bien quelques claques sur les fesses pendant que je suis baisée, je naime pas quon me fasse mal. Jaime être dominée par les hommes ou les femmes, jaime que lon utilise mon corps. Mais ce qui est excitant, cest la situation, je ne suis pas masochiste. Le fait daccepter dêtre prise par des hommes qui nauraient aucune chance hors du contexte échangiste rajoute à ce sentiment dappartenance qui me plaît. Hors de ce contexte, un homme doit me plaire au moins un peu pour que jaccepte de le satisfaire. Mais ce que je préfère avant tout ce sont quand même les blacks que je trouve en général plus beaux, et surtout mieux entretenus physiquement. Ils sont plus musclés et ils ont toujours une peau très douce. Ils sont aussi de meilleurs amants je trouve.
Jusquà lété 2012 il ne se passe rien de bien nouveau en dehors de quelques soirées classiques. Marie et moi faisons lamour deux à trois fois par semaine, quelques fois Michel se joint à nous. Je vois Greg de temps en temps, mais pas de nouveaux amants durant ces quelques mois.
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